La Conception Gaullienne Du Pouvoir

Introduction au droit public Le droit public est le droit qui régit les rapports collectifs : État, nation, séparation des pouvoirs, Constitution. On s'interroge sur la présence de l’État, comment fonctionne-t-il, comment est-il maintenu ? L’État peut être caractérisé comme un système qui n'est pas acquis, cette affirmation se vérifie du fait de périodes instables au cours de l'Histoire → Vichy. Adhésion de chacun à l'idée qu'il existe un État et ce qu'il compose. Le droit public

Hachette, « Pluriel », 2002 La Mémoire, entre histoire et politique (s.d. Yves Léonard), Cahiers français n° 303, juillet-août 2001. « Les historiens et le travail de mémoire », Esprit, août-septembre 2000. Le « présentisme » est l’abandon de la conception d’un passé éclairant l’avenir au profit de son instrumentalisation notamment au service des émotions du présent. L’étude du regard de l’historien sur le patrimoine et les mémoires est l’occasion d’une fructueuse réflexion sur l’apport de la démarche

l'état. a) la transmission de la parole politique Jusque dans les années 60/70/80 le politique faisait des meetings. Aujourd'hui les meetings sont filmés mais pas par la presse, le parti politique donne l'enregistrement aux médias gardant ainsi un pouvoir dessus. Dans les années 60 la télévision fait irruption en politique, en 65 l'élection présidentielle voit apparaitre un conseiller en communication (Michel Bongean pour le candidat Jean Lecanve) puis en 74 le premier débat télévisé entre G. D'Estaing

8 février. Hors, le thème de la campagne électorale ne va pas être la Q des institutions, mais la Q va être portés sur le pour où contre de la guerre, il est etrange que les électeurs sont amenées à voter est une assemblée constituante (qui a le pouvoir de prendre un acte, pour élaborer et voter une constitution). Les élections vont être favorable aux monarchiste aux détriment des républicains car les monarchistes ont fait campagne sur la paix, alors que les républicains ont fait campagne pour la

parlementaires (3 h) • Chapitre 3. La IIIème République et l’enracinement d’un ordre politique républicain (4 h) • Chapitre 4. La IVème République, une nouvelle République ? (3 h) • Chapitre 5. La Vème République (1958-1969) : une République gaullienne ? (4 h) • Chapitre 6. 1969 - 1981 : la Vème République entre partisanisation, nationalisation et européanisation (3 h) • Chapitre 7. 1981-2007 : « Alternances » : le retour de l’instabilité ? (4 h) • Conclusion générale. Depuis 2007, les grandes

peuple et des partis politiques sous la Ve République III. L'exécutif sous la Ve République : le Président de la République IV. L'exécutif sous la Ve République : le Premier Ministre V. Le Parlement VI. Le Parlement et la collaboration des pouvoirs VII. La hiérarchie des normes VIII. Le Conseil constitutionnel IX. Le contrôle de constitutionnalité X. La Constitution et ses révisions CD 1 – Présentation générale de la Ve République Piste 1 - La fin de la IVe République

mouvementée de la Vème Rep. Naissance mouvementée car la naissance de ce régime a pour point de départ le retour au pouvoir du Général de Gaulle pour cause d’évènements insurrectionnels.  C’est pcq conscient du problème que les législateurs ont voulu légitimer le processus de transition qui était en train de s’établir entre la 4ème République et la 5ème.  A. L'arrivée au pouvoir du Général De Gaulle, sous la pression d'évènements insurrectionnels La 4ème République se meurt sous la conjonction

commandement.    Une fois sacré, le Roi sortait au milieu des acclamations du peuple, et était investi d'un pouvoir de guérison. Il touchait les malades et guérissait les écrouelles (maladie des poumons) . Le Roi d'Espagne guérissait les possédés, le Roi d'Angleterre l'épilepsie. De cette cérémonie du sacre d'écoule l'idée que la Royauté est une fonction.   La fonction royale.   La légitimation du pouvoir.   Le Roi sacré est désormais légitime. La légitimité, c'est le droit de commander et d'être obéi)

en compte l’importance croissante qu’occupe désormais l’histoire de la mémoire dans l’historiographie. Il répond également à une forte demande sociale, exprimée tant par les associations de résistants et de victimes de la guerre que par les pouvoirs publics. On a ainsi assisté ces dernières années à une multiplication des actes de commémoration et des lieux de mémoire consacrés au souvenir de la Seconde Guerre mondiale. Le programme comprend deux dimensions principales : on étudiera, d’une

n’y en aura t-il plus » C’est faux. Dès qu’il y eut un chef non imposé par la violence il y a toujours eu un droit constitutionnel car il suffit qu’il y ait un pouvoir pour qu’il y ait constitution et donc droit constitutionnel. Cette constitution nécessite un État (même cités grecques) et un gouvernement doté du pouvoir suprême. Ce pouvoir suprême est ce qu’on appelle la souveraineté. A partir du moment où il y a un droit constitutionnel, il y a une souveraineté. Titre 1 : Les manifestations