La Connaissance Scientifique Repose T Elle Que Sur L Observation

" Toute connaissance est une réponse à une question " (G.BACHELARD) ... mais "L'accumulation de connaissances n'est pas la connaissance " (A. MANGUEL) ... ET :" Trop de connaissance ne facilite pas les plus simples décisions" (F.HERBERT) Retour Accueil ou Retour Sommaire CD SOMMAIRE: * Qu'est-ce que disserter. * Comment construire la dissertation. * Les données utiles. * Comment se préparer. * Rapports de jurys -Liens vers des corrections de devoirs et des devoirs

formes à partir des observations attentive des choses. Le réalisme privilégie la représentation exacte des choses. Même si Aristote a été le disciple de Platon, il a eu beaucoup de désaccords avec son maître. Platon défendait l’idée selon laquelle la véritable connaissance s’acquiert en accédant au monde des idées. C’est là qu’habitent les idées universelles et nécessaires, celles qui sont l’essence de tout ce qui existe. En revanche pour Aristote la connaissance scientifique ne peut s’acquérir qu’à

Éducation civique, juridique et sociale, séries générales Enseignement scientifique, série économique et sociale et série littéraire Histoire-géographie, série scientifique Mathématiques, option facultative, série littéraire et série scientifique Mathématiques-informatique, série littéraire Physique-chimie, série scientifique Sciences économiques et sociales, série économique et sociale Sciences de la vie et de la Terre, série scientifique VOLUME 5 : CLASSE DE PREMIÈRE 118 Le B.O. N°7 31 AOÛT

Habitants, gestionnaires, scientifiques, l’assemblage de ces trois points de vue à travers le temps, voilà le socle qui m’a amené à comprendre le processus qui a fait de la nature un point nodal et de ce fait lui confère une existence. Il me fallait outiller sur le plan théorique et méthodologique cette première approche exploratoire. Je me suis alors appropriée le travail de Latour, dont l’intérêt majeur est qu’il analyse dans un même mouvement, recherche scientifique, politique de la nature,

Le sujet étudié met en jeu deux notions, le savoir et la croyance. Le savoir est défini, selon le Trésor de la langue française informatisé, comme l'ensemble des connaissances d'une personne ou d'un groupe acquises par l'étude, par l'observation, par l'apprentissage et par l'expérience. La croyance est le fait de tenir quelque chose pour vrai, et ceci indépendamment des preuves éventuelles de son existence, réalité, ou possibilité. La croyance est une façon de penser qui permet d'affirmer, sans

pas développée chez le bébé. Elle permet de recevoir des renseignements sur le monde (connaissance empirique) et sur nous-mêmes mais permet également la reflexion. Je est un être corporel et a donc un rapport sensible aux choses ce qui le conduit à une connaissance confuse et empirique. Je est aussi un être doué de pensée capable d'autonomie (sa propre loi) par rapport au corps ce qui le conduit à une connaissance claire. Il faut se détacher de son corps qui est la principale source de nos erreurs

[pic] Pendant très longtemps, la question de distinguer parmi les connaissances humaines qui relevaient de la science et celles non scientifiques ne se posait pas. Ce n’est qu’au 19ème siècle que les premières réflexions organisées sur la scientificité ont vu le jour avec le positivisme d’Auguste COMPTE. La question qui se pose dans ce cadre était celle de la validité des théories scientifiques. Pour cela, la réponse initialement apportée a été celle du vérificationnisme.

l'Eglise vis-à-vis du progrès scientifique qui émerge et les conséquences pour les chercheurs de cette époque (bûcher…). I - La médecine au XVIème siècle Au XVIème siècle les humanistes sont pris de la passion de savoir «comment l'homme fonctionne», c’est-à-dire de savoir comment fonctionne le corps humain. De nombreux savants observent les phénomènes de la nature et font des expériences pour chercher à les expliquer ; c’est un véritable esprit scientifique qui est en train de naître.

diffusion de connaissances. Il est contre la propagation de nouvelles théories. L’obscurantiste n'agit pas au hasard : il vit pour retrouver des temps passés. Dans ce passé, le savoir pourrait prendre d'autres voies et de nouvelles énergies indépendantes -celles qui resterons après la "purge"- pourraient être levées. Par exemple, l'astrologie est aujourd'hui considérée comme obscurantiste. Car elle repose sur des interprétations peu compatibles avec les observations scientifiques modernes1. Il

Digression sur Bachelard Ainsi c’est dans cette variabilité même de l’esprit, qu’introduit Gaston Bachelard dans on ouvrage Le nouvelle esprit scientifique, on distingue deux types de pensées qui s’opposent au sein de « l’histoire humaine ». Cette opposition s’opère sur deux plans distincts : le premier est celui des pensées irréfléchies nées de réactions immédiates, spontanées « passions, […] préjugés, […] impulsions immédiates ». Le deuxième est celui des pensées qui elles sont réfléchies puisqu’elles