La Conscience Chez Bergson

1. Conscience morale, conscience psychologique - Le terme "conscience" peut sembler simple, car il est d'un usage courant : prendre conscience d'une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent pourtant la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l'une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le "démon" l'invitant à telle ou telle conduite), l'autre est psychologique. - La conscience morale

D’AVOIR CONSCIENCE DE SOI POUR ETRE SOI-MEME ? René Descartes est le fondateur du raisonnement sur le conscient et l’inconscient ,son œuvre guidera les générations futures à philosopher, son empreinte la plus grande sera celle du « cogito ergo sum » pour Descartes la pensée est synonyme d’existence,sans elle toute compréhension de ce qui nous entoure est impossible. L’homme se prétend supérieur de par sa faculté, à être conscient des émotions présentes en lui même, à les définir, cette conscience même

la conscience et manifeste une liberté. Ainsi la station droite de l'Homme est le signe physique de son esprit, d'un esprit libre et volontaire. Selon Hegel, nous le savons tous : d'une part parce que le sommeil, la mort, l'évanouissement, le laisser aller rendent notre corps à la pesanteur ; d'autre part parce que le langage courant exprime cette idée d'un corps humain qui, soutenu par la volonté, manifeste la liberté.(l.9-16) Dans ce texte, Hegel articule, comme Rousseau, la conscience à la

l'homme dans sa nature → TEXTE DE PLATON PAGE 2. Elle bouleverse l'homme et son rapport au monde La technique ne trouble pas l'ordre des choses Les origines de la technique (RÉPONSE AU BESOIN) L'homme est doué par nature de la technique → TEXTE DE BERGSON PAGE 4. La technique, prouesse humaine au cœur du cosmos La technique permet à l'homme d'évoluer dans l'ordre des choses La technique est inhérente à la raison (freestyle) L'homme maîtrise mais doit rester maître de la T La technique : une compétence

FICHE PHILO CHAP 1 : L’Homme se définit-il par la conscience ? Chapitre 1 Introduction- thèmes principaux : conscience, devoir et inconscience¤ Définir homme par ma conscience = idée neuve (XVIIe siècle → siècle du rationalisme)Descartes : premier à affirmer que l’homme a une conscience. Être conscient c’est dire que l’homme est avant tout un individu, il est unique. L’homme est un sujet libre qui peut se détacher du monde, voire s’y opposer. Il ne se réduit pas à ce qu’il est pour le

numineux, du sacré ? 1) Par son ambivalence (deux valeurs) affective : crainte et tremblement, et fascination (latin : tremendum ou fascinans). Divin est de l'ordre du tout autre, il est hors d'atteinte. 2) Celui qui vit, possède ce sentiment a conscience de ne pas être sa propre source, d'avoir recu son être une réalité qui le dépasse infiniment. 3) La sacré s'accompagne en général ce que OTTO appelle de Mysterium (= la stupéfaction, l'absolue étrangeté du divin). OTTO cite ici l'épisode du buisson

1 Conscience morale et psychologique Les deux versants de la conscience Le terme « conscience » est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. Origine des valeurs morales ? La

quelles sont les caractéristiques du langage humain qui se retrouvent ou non dans les échanges des animaux. Jusqu’à quel point peut-on pousser la comparaison ? On a mis en évidence l’existence d’une communication gestuelle ou posturale, en particulier chez le chimpanzé. D’abord la conduite d’évitement : un singe qui ne veut pas en voir un autre baisse les yeux, il se cache la tête dans ses bras, il pousse un cri, jette les bras en l’air et se sauve en courant ou en rampant. La conduite de frustration

transmettent un message important : l’homme, dicté par la volonte d’innover, perdura dans l’histoire. Selon le philosophe français, Henri Bergson qui a rédigé « l’Evolution Créatrice », je cite : «  le monde va à l’aventure » qu'il « s'invente sans cesse » ; l'idée est que l'évolution est imprévisible et que l’homme ressent le désir de toujours faire mieux. Henri Louis Bergson nous rappelle souvent cet élan vital de l’être humain. Cela peut vous choquer mais le désir d’innover était l’idéologie principale

est mortel, et donc le travail (dans lequel on peut s’étourdir et s’abrutir) devient paradoxalement un divertissement… L’art, dans la mesure où il est hors de notre quotidien, ne satisfaisant aucun besoin nécessaire (et donc inutile) et suscitant chez celui qui l’apprécie un certain plaisir, ne peut-il pas être conçu comme un divertissement ? Mais le divertissement suppose, en même temps, une relative gratuité et, surtout, une absence totale de fin, de but. Or peut-on dire de l’art qu’il soit sans