La Conscience Selon Pascal

Jean GUITTON a écrit de nombreux ouvrages, dont ces quelques exemples : * 1933, Le temps et l’éternité chez Plotin et Augustin * 1942, Le jugement de la communauté française * 1948, L’amour humain * 1951, Pascal et Leibniz * 1960, La vocation de Bergson * 1962, Le génie de Pascal * 1976, Journal de ma vie * 1998, Ultima Verba | Sujet : | Ce texte vise à nous donner des méthodes de réalisation et de classement de fiches afin de nous organiser et d’être plus efficace dans notre travail

devons rappeler, ce que l'on entend par le mot morale pour comprendre le sérieux et l'ampleur du sujet dont nous avons à traiter. La morale est définie par la science des mœurs, l'art de vivre, ou plutôt l'art de soumettre sa vie à l'autorité de la conscience, à des principes assez hauts et assez puissants pour gouverner l'existence, tous, d'une manière ou d'une autre, tombent dans l’étude de notre sujet proposé par Bernard Roukhomovsky. Par le terme général de moraliste, nous entendons la morale non

l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien ». Blaise Pascal,1623-1662 http://slideplayer.fr/slide/1193078/ Je vous laisses méditer et me donner quelques raisonnements, quelques réflexions. D'autres textes : Page 5 2 2. L'homme, un être limité « Chacun de nous a un jour, plus ou moins triste, plus ou moins lointain, où il doit enfin accepter d'être un homme ». Jean Anouilh, 1910-1987 Page 6 3 3. La chute et la conscience du mal Chute: Borné dans sa nature, infini dans ses

plupart des gens passe une grande partie de leur temps à travailler . on peut se demander s'ils pensent de temps en temps à se détourner de leur travail habituel afin de se divertir .Mais qu'attend t-on vraiment du divertissement ? Est ce comme le dit pascal  « ne pas penser a soi ? » est ce tout simplement pour oublier ses problèmes ? Par ailleurs que signifie «  se divertir » ? Est ce se distraire ? s'occuper en s'amusant ?. Est-ce un caractère qui fondent l’Être humain ?Mais se détourne-t-on vraiment

garanties objectives selon les critères usuels de la raison ou de l’expérience commune. Le croyant sait que les données qui peuvent confirmer sa croyance sont loin d’être attestées mais il s’en tient pourtant à sa croyance car il la pense confirmer par une évidence supérieure. Il peut décider de tenir sa croyance pour vraie contre toute évidence et en vertu du fait qu’elle est sans évidences : « credo quia absurdum est ». Celui qui croit ne cherche pas de preuves. Pascal, Pensée 821 : « Car

directement (Pascal) PAGEREF _Toc185584886 h 2 3. Infrence et empathie (Descartes) PAGEREF _Toc185584887 h 3 4. Logique des concepts mentaux (Strawson) PAGEREF _Toc185584888 h 3 B. Autrui, mdiateur indispensable pour accder soi-mme PAGEREF _Toc185584889 h 4 1. La conscience de soi requiert la reconnaissance dautrui (Hegel) PAGEREF _Toc185584890 h 4 2. Autrui me permet de me connatre moi-mme (Sartre) PAGEREF _Toc185584891 h 4 3. Autrui est la condition de possibilit de la conscience elle-mme (Nietzsche)

Ci-dessous un cours sur la vérité. S’appuyant sur des éléments mis en place en classe, il touche et met en forme plusieurs thèmes du programme (la vérité, le sujet, la raison et le réel, la conscience, l’inconscient, la religion, la démonstration, la culture, la technique…) et donnera lieu en conséquence à des interrogations. Je recommande donc de le travailler méticuleusement. Naturellement je reviendrai en classe sur les éventuelles difficultés. Pour ceux ou celles d’entre vous qui ne pourraient

s’étend également à tout homme. Ainsi c’est le fait que la liberté soit égale pour tous qui constitue le changement le plus radical.Autrement dit, ce qui est nouveau, ce n’est pas la liberté mais l’égalité. C’est cette égalité des conditions qui définit selon Tocqueville la démocratie. Il ne s’agit pas d’une égalité matérielle, il y a toujours des riches et des pauvres mais le riche peut devenir pauvre et le pauvre devenir riche. Il n’y a plus de classes sociales rigides, les hommes se ressemblent de plus

unifier le phénomène religieux? 1/ La distinction entre le sacré et le profane Dans toutes les sociétés, on a la distinction au sein d'une religion entre le sacré et le profane. Le sacré c'est l'expression de la puissance divine. On prend conscience de la grandeur de(s) dieu(x) et on adopte une attitude de respect, de vénération, d'adoration parce que c'est un mystère qui fascine. Dieu =) transcendant (supérieur à nous) Transgresser la limite du sacré, c'est s'exposer à la colère de Dieu.

consubstantielle au politique ? Autant de questions qui font intervenir d’autres concepts comme celui de droit et d’obéissance, et qui s’étendent aux champs des passions humaines, et à la capacité qu’elles ont de s’auto régulées. Le « mal spécifique du pouvoir » selon l’expression de Foucault consiste à montrer que la dimension de violence est partie prenante du politique, avec le danger constant d’un pouvoir social qui masque les phénomènes de violence, ou qui les légitiment pour son propre compte. Il y a ici une