La Constitutionnalisation Du Principe De La Libre Administration

recettes publiques 1-Les dépenses publiques Regroupent les dépenses des administrations publiques qui comprennent 3 composantes : Les administrations publiques « centrales » : l’Etat et les Organismes Divers d’Organisation Centrale (ODAC), qui sont financés majoritairement par des taxes ou des subventions de l’Etat. Exemple : les universités font partie des ODAC. Réunis, on en dénombre environ 800. Les administrations publiques locales (APUL) : collectivités locales, les établissements publics

limites. Ces limites prennent la forme de grands principes qui encadrent l'action administrative (Partie I). Par ailleurs le respect de ces principes est assuré par une organisation juridictionnelle spécifique (Partie II) Partie 1- Les principes encadrant l’action administrative Il existe 2 grands principes qui encadrent l'action administrative : Le principe de légalité = la soumission de l'administration aux règles de droit (Titre I). Et le principe de responsabilité = l'administration est dans

association d’Etats qui renoncent partiellement à leur souveraineté afin de créer un Etat fédéral qui se superpose à eux. Il implique donc l’autonomie politique des Etats fédérés qui s’exprime par le fait qu’il conserve en général une compétence de principe (autonomie politique des Etats fédérés). L’Etat fédéral se voit attribuer par la constitution des compétences plus ou moins étendues selon le degrés d’intégration de ce dernier. Par ailleurs, les Etats fédérés participent au pouvoir constituant,

outre, il est à l’origine de l’instabilité politique et institutionnelle. Enfin, il produit des « ventriotes », en l’occurrence des hommes politiques (et non des hommes d’état) dénués de patriotisme économique. L’Etat de droit, fondé sur le principe sacro-saint selon lequel « Nul n’est au-dessus de la loi », apparaît dès lors comme la seule alternative à ce type de régime rétrograde. 2.3.2. La qualité du logiciel mental collectif Le logiciel mental collectif(3) désigne un ensemble de

s’immiscer dans les affaires. L'art 13 de cette loi pose : un principe de séparation des fonctions judiciaires et administratives donc on sépare la fonction qui consiste à juger et celle qui consiste à administrer. Les juges ne pourront sous peine de forfaiture troubler les corps administratif de n'importe quelle façon, on interdit au juge de connaître de recours vis à vis des actes de l'administration. 2observations : ce principes d'observation sera observé dans le décret du 16 fructidor an

comptable. II - Délimitation des finances publiques A - Le critère organique des finances publiques Le critère organique s’intéresse aux acteurs des finances publiques. Les finances publiques ne concernent pas que l’Etat mais concernent : Les Administrations publiques (APU) au sens de l’UE  l’Etat. Le projet de loi de finances pour l’Etat est déposé par le gouvernement puis exécuté par ce même gouvernement. Les règles doivent répondre à des besoins d’intérêt général, d’envergure nationale. Le secteur

terminologie. Classiquement, on utilisait l’expression “principe de légalité“ pour appréhender ce rapport. On pouvait lui donner 2 significations : ➔ Au sens strict (stricto sensu) : le principe de légalité, c’est le rapport de conformité entre les règles et les comportements d’autorités inférieures avec la loi votée par le Parlement. Ex : Un décret d’application d’une loi doit respecter la loi. ➔ Au sens large (lato sensu) : le principe de légalité, c’est le rapport de conformité au droit,

Napoléon, école de l’Exegèse) Aujourd’hui, à cette vision classique on peut en opposer une autre : la constitution est un tronc commun auquel se rattachent toutes les branches du droit, toutes les disciplines juridiques Le Code civil pose le principe d’égalité juridique. A un moment, on l’appelait « Machine à hacher les sols » en raison des lois sur le partage des terres Longtemps, le Droit Constitutionnel était considéré comme un droit répressif, mais c’est aussi un droit protecteur *

Fiche n° 26 : L’existence d’un droit à la mort ? .................................... 184 Fiche n° 27 : Le principe de non-discrimination .................................. 191 Fiche n° 28 : La liberté syndicale ..................................................... 199 Fiche n° 29 : Le droit de grève ........................................................ 203 Fiche n° 30 : Le principe de laïcité ................................................... 211 Fiche n° 31 : La liberté de culte et la question

placé sous le contrôle du juge administratif. L’administration est soumise à un droit spécifique qu’on appelle le droit administratif. C’est le juge administratif qui est à la base du droit administratif. Le Conseil d’Etat a élaboré les grands principes du droit administratif. L’administration a le pouvoir de prendre des actes administratifs unilatéraux, càd qu’elle peut unilatéralement prendre un acte qui va s’imposer à l’administré. Deux types de décisions peuvent intervenir : Les décisions