La Contradiction Du Relativisme

transition des pays d’Amérique latine, mais aussi d’Asie vers la démocratie, chute du mur de Berlin. Manque de légitimité des dictatures : La fascisme s’appuie sur un idéologie non universelle, où la guerre lui est une condition normale : donc contradiction si paix universelle, si nazisme triomphait totalement. Dans la plupart des cas, pour paraître plus légitime, la dictature se donne au moins un vernis démocratique, en organisant des élections (Pinochet, sandinistes), et perdent face à l’idée même

hommes ont tenté de répondre à travers les mythes. Enfin, nous verrons comment lier les mythes et les sciences. I-Les constantes des mythes Dans le cadre du récit des origines, nous nous devons d'être objectifs et de ne pas procéder à un relativisme culturel. Mais l'étude des constantes nous montre donc leurs aspects « récurrents » de ces mythes des origines que nous allons mettre en évidence. Cosmogonie Tous les mythes des origines expliquent la cosmogonie c'est à dire la création

l’entretient motivationnel). La rhétorique est une puissance et une arme. Cependant elle est neutre, c’est l’orateur qui est responsable de l’usage qu’il en fait, l’utilisant à de bonnes ou mauvaises fins. Mais dans le discours de Gorgias il y a une contradiction : la rhétorique sert la justice, mais pourtant elle peut être utilisée pour être injuste, ce qui est impossible.III. Socrate et Polos (461b-484b)→ de l’intérêt et de l’utilité d’être hypocrite→ le désir et la volonté→ la justice : le plus grand

la cité. Leur mandat dure 1 an, il ne peut être renouvelé et très souvent, les magistratures sont collégiales. Il existe des décrets simples. Le projet de décret appartient à l'ecclésia. Dans certains cas, des décrets peuvent être élaborés en contradiction avec les nomoï. En effet, n'importe quel citoyen peut déclencher une action publique d'illégalité: si les décrets présentés à l'assemblée sont contraires aux nomoï, tout citoyen peut engager une procédure pour dénoncer un décret contraire aux nomoï

« bien » ou de « fin » que semblent naître des morales hédonistes, ou utilitaristes; pourtant, fonder la « valeur morale » sur la recherche individuelle du bonheur, sur la satisfaction d'intérêts singuliers, n'est-ce pas condamner toute morale à un relativisme, qu'une doctrine intuitionniste même semble inapte à justifier? Si l'on accepte comme échec de telles conceptions de la morale, la recherche des fondements d'une morale universelle semble s'imposer: au fondement de ce mouvement se place l'éthique

Anaximandre, les deux disciples de Thalès ne sont pourtant pas d’accord avec leur maitre. En effet, pour le premier, tout se base non pas sur l’eau mais sur l’air (sur l’apeiron10 pour le second). La philosophie se situe donc dans le débat, dans la contradiction, il n’existe pas de philosophie dogmatique11. 1.2. Pythagore de Sicile Comme tous les philosophes, Pythagore a l’intuition que tout le réel s’explique par un principe. Pour lui, cet élément sera le nombre. La réalité devient donc un ensemble de

Kuhn se dit réaliste, ses critiques participent d’une posture idéaliste face à la connaissance, posture qu’un esprit scientifique peut difficilement accepter telle quelle ; alors, on peut dire qu’il a une position idéaliste. Paul Karl Feyerabend (Relativisme agressif) Paul Karl Feyerabend (1924 - 1994) est un philosophe des sciences d'origine autrichienne, naturalisé Américain. Il est une figure influente dans le domaine de la philosophie des sciences, notamment par sa théorie épistémologique dite

l’attitude infantile - des phrases grammaticalement et/ou sémantiquement absurdes (attention à l’usage des coordinations) - des phrases et formules absconses dans l’espoir de « faire philosophique », seul la clarté est une exigence. - des contradictions que l’on fait semblant de ne pas apercevoir - un discours appuyé sur l’autorité supposée d’un cours ou de textes qu’on n’a pas compris ou des exemples triviaux - des paraphrases juxtaposées - des topos qui remplacent des explications - des

bien, comme réalité indépendante des codes moraux particuliers, est une fiction pure et simple. Cette conclusion est la thèse de base du relativisme moral et culturel : chaque culture, chaque société possède une morale qui lui est propre, au moins pour un temps, et il n’existe aucune morale universelle susceptible de valoir pour tous les hommes. Le relativisme moral a deux conséquences. Premièrement, il peut déboucher sur l’exigence d’une tolérance radicale, fondée sur l’impossibilité de juger la

les systèmes juridiques. mais ce problème se pose avec d'autant plus d'acuité dans le droit hébraïque en raison de l'auteur de la loi et comment est-il possible finalement d'interpréter la parole de divine sans la trahir? Donc on voit l'une des contradictions possible à laquelle peut être confronter un ordre juridique qui est fondé sur des règles divines. Certes d'un côté on a une légitimité de la règle qui est solide. Mais d'un autre cote comment interpréter la parole de Dieu? On va voir comment les