La Dualité Du Pouvoir Exécutif

|Jean-Pierre Raffarin |6 mai 2002-? | C’est sous la IIème république que pour la première fois de l’histoire constitutionnelle de la France que le peuple délègue le pouvoir exécutif à un citoyen qui reçoit le titre de PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE. En effet le premier président n’est autre que Louis Napoléon Bonaparte en 1848. Et depuis, chaque république voit son chef de l’état attitré du nom de Président de la république

les activités administratives correspondent donc, dans un régime de séparation des pouvoirs, à la fonction exécutive. Elles consistent à réglementer la vie en société par des textes ; à fournir des prestations de tous ordres aux administrés ; et à assurer le maintien de l’ordre public. On a là les grandes catégories d’activités de l’administration que nous étudierons plus en détail par la suite : pouvoir réglementaire ; service public ; et police administrative. Pour être complet, il conviendrait

question de savoir ou est le pouvoir est une question naturellement citoyenne. Cette question anime la vie politique depuis que le peuple a pris conscience qu’il a un réel rôle à jouer, un rôle de source du pouvoir. L’habitude a depuis été prise dans les grandes démocraties occidentales de dire que le pouvoir appartient aux représentants élus du peuple. Le temps où le pouvoir tirait sa légitimité de dieu ou de la force semble en effet révolu. Malgré tout, penser que le pouvoir est aujourd’hui aux seules

régionaux sur le meme decoupage geographique. subsistent les commissions de développement économique régionales (CODER) crees en 1963, diposent d'un avis consultatif uniquement. IV Droit et libertés des coll territoriales de 82 à 2002. Gauche au pouvoir, relance de la decentralisation A. La region devient collectivité territoriale B. L'executif est donné aux présidents de departement et de region ( retiré au préfet) ce qui les distinguent pleinement de l'etat C. Suppression de la tutelle administrative

sanctions, prononcées par les juges, si non-respect de ce code.) La justice, c’est l’affaire de l’Etat. Section 1 : le monopole de l’Etat de rendre la justice. La justice, c’est l’attribut essentiel du pouvoir ; sous l’Ancien Régime : « toute justice émane du roi » : le roi incarne le pouvoir physiquement. La justice fait partie des compétences régaliennes (compétence indispensable pour un Etat. Un Etat n’en est véritablement un, uniquement parce qu’il exerce ces compétences régaliennes.) (> Latin

gouvernement) -> qui sont ceux qui disposent de ce pouvoir normatique ? Qui produisent les règles de droit. On va distinguer d'emblée trois pouvoirs d'élaboration de la règle de droit. Il y a d'abord le pouvoir constituant : c'est le pouvoir d'élaborer la Constitution et de la modifier. Le 2e pouvoir est le pouvoir législatif : produire des lois dans le cadre de la Constitution : détenu par le Parlement. Le troisième pouvoir : le pouvoir éxécutif (qui détient le pouvoir règlementaire) : une capacité à prendre

faire justice soit même, sanction mise en œuvre par la puissance publique. Possibilité d'exiger du juge le respect de la règle de droit. 1-Exécution forcée de l'obligation: on va pouvoir obtenir, svt dvt le juge, l'exécution de l'obligation prescrite par la règle ou le contrat qui n'a pas été respecté. On va pouvoir obtenir le paiement d'une dette, forcer le débiteur à payer. S'il ne s'exécute pas, on va obtenir la saisie des biens, saisie sur salaire, par l'intervention du juge qui a prononcé

existe indépendamment, c’est un concept en lui-même. PAS COURS LE 10 oct. QUI SERA REMPLACE LE 5 déc. INTRODUCTION Tous les pays ont un DA même si il ne connait pas la dualité de juridiction (l’existence de 2 ordre distincts de juridiction : ordre judiciaire et adm). La France depuis l’an 8 (1789) est un pays de dualité de juridiction, quand a été crée un ordre de juridiction adm comme les juridictions adm de 1ère instance (les conseils de Préfecture) et les juridictions d’appels (le Conseil

n'a pas le pouvoir des initiatives. Les pouvoirs dont sont dotés les organes européens sont des compétences qui lui ont été attribué par les états. On ne peut pas concevoir l'idée d'une supériorité, parce que c'est une supériorité qui a été crée par les états, c'est comme si un état disait à une entité « je vous ordonne de me désobéir. » On ne peut pas concevoir l'idée d'un organe qui est supérieur à celui qui l'a créé. Une cour de ce type aspire à une centralisation de ces pouvoirs. Il faut ajouter

d'un juge au delà de la compétence de juge de paix. Un appel d’un tribunal de district devant être posé devant un autre tribunal de district : technique de l’appel circulaire. Cette loi a posé les principes de l’organisation moderne : séparation pouvoir, unité des juridictions civiles et pénales, égalité des individus devant la justice, double degré de juridiction, unicité d’appel. La loi des 27 novembre et 1er décembre 1790, crée un tribunal de cassation : ancêtre de la cour de cassation. Sous