La Décadence Des Mérovingiens

construite sur les vestiges de Byzance. Cette ville nouvelle est construite par Constantin à partir de 324 et ce dernier l'appelle Constantinople. Cette première division de l'Empire est un signe de la grandeur de l'Empire, mais aussi les prémisses de sa décadence. Celle ci va être particulièrement rapide en occident : l'effondrement sera plus rapide pendant le Ve siècle. 476 chute de l'Empire Romain d'occident, et aussi début du Moyen-Âge. L'empire byzantin très brillant et chrétien va avoir une histoire

international de l’Université de Paris et qui avaient fait la splendeur de ces nations universitaires. Mais plus encore que ce dépérissement de l’élément cosmopolite, international, c’est surtout le problème de l’usage des privilèges qui va accentuer la décadence de l’université. Les structures existent encore mais le grand Schisme. La rupture de l’université ecclésiale signifie bien pour les nations la ruine à plus moins long terme. Tous les étudiants qui ont une position différente et de l’université

ses années en mandats de tribun) Au Bas Empire, les tribun disparaissent en occident mais survivent à Constantinople où cette magistrature permet l’accession au Sénat. TITRE 1 : Les Royautés Carolingienne et Mérovingienne Chapitre 1 : Les caractères romains et francs de la royauté mérovingienne (5ème/7ème s) L’Empire romain d’Occident tombe face aux invasions barbares qui sont loin d’être nouvelles dans leur histoire. La division entre l’Empire romain d’Occident et l’Empire romain d’Orient remonte

d’autres cités en mettant en place avec un courant sportif. III. Du moyen-âge à la Renaissance, une nouvelle conception du corps : 1. Le moyen-âge (du 5ème siècle au 15ème siècle) : Le moyen-âge débute en 476 par la chute de l’empire mérovingien, l’invasion des Huns et Wisigoths. On peut distinguer trois périodes qui divisent le moyen-âge : * L’occident chrétien (jusqu’au 7ème siècle) * La dynastie carolingienne (8ème et 9ème siècle) * Période féodale (à partir du 10ème siècle)

Hughes Capet (+- né en 941 mort en 996) est le premier Capétien couronné en France. Les Valois et les Bourbons sont les descendants des Capets (Juan Carlos, Grand Duc Henri de Luxembourg) • Ordre des dynasties françaises - Les Mérovingiens (Clovis, petit-fils de Mérovée) - Les Carolingiens (Charlemagne) - Les Capétiens -> directs > Les Valois (François I) > Les Bourbons Capet a agrandi le royaume

réputée pour ses poteries et ses champs ne produira apres les reformes de Lycurgue que des objets élémentaires purement fonctionnels d’où l’adjectif moderne de spartiate pour qualifier une pièce dénuder. Spartes portait en somme les germes de sa décadence et Aristote remarquait que  « les états militaires n’ont de chance de survivre tant qu’ils restent en guerre tandis qu’il court à leur perte aussitôt fini de faire leur conquête. La paix détrempe leur caractère et la faute en réside dans un système

. Textes 4 : Le couronnement impérial de Charlemagne (Lettre d’Alcuin à Charles, juin 799 ; Le couronnement d’après le « Liber Pontificalis » ; Le couronnement d’après les « Annales de Lorsch ») Texte 5 : Ordinatio Imperii, 817 Texte 6 : La décadence du système monarchique et le retour au système électif (Richer, Histoire... ; Réginon, abbé de Prüm) Texte 7 : La médiatisation du pouvoir (Formulaire de Tours, second quart du Ville siècle ; Capitulare missorum générale, 802 ; Capitulaire de

Anjou = 1080. Autour du duc GEOFFROY LE BARBU. ( Normandie = 1066. Quand GUILLAUME LE CONQUERANT = roi d’Angleterre. 3. LA CHAPELLE La chapelle tire son nom de la cape (capa) de saint Martin, relique qui accompagnait les rois mérovingiens dans tous leurs déplacements. A l’époque carolingienne, chapelle = l’ensemble des clercs chargés de la conservation de la précieuse relique et de l’administration du culte au palais. Aux Xe-XIe siècles, chapelle = une institution composée de

français. — III. L’évolution : dans l’Empire. — IV. Les transformations du fief vues à travers son droit successoral. — V. La fidélité dans le commerce. CHAPITRE V. — L’homme de plusieurs maîtres : I. La pluralité des hommages. — II. Grandeur et décadence de l’hommage lige. CHAPITRE VI. — Vassal et seigneur : I. L’aide et la protection. — II. La vassalité à la place du lignage. — III. Réciprocité et ruptures. CHAPITRE VII. — Le paradoxe de la vassalité : I. Les contradictions des témoignages. — II

Réflexion sur l'étude des anciennes histoires et sur le degré de certitude de leurs preuves (t. VI): Vues générales sur l'origine et sur le mélange des anciennes nations et sur la manière d'en étudier l'histoire (t. XVIII); Observations sur les Mérovingiens (t. XX). Sur Freret, cf. infra, cours du 18 février. 5 Joachim comte d'Estaing, Dissertation sur la noblesse d'extraction et sur les origines des fiefs, des surnoms et des armoiries, Paris, 1690. 6 M. Foucault s'appuie essentiellement