La Décentralisation Selon Alfred Sloan

quotidien, il peut prévoir et anticiper l'évolution de l'entreprise et de l'environnement Inconvénients : - Conflits entre hiérarchie et staff qui peuvent entraîner une baisse du niveau de l'entreprise I.4 Structure divisionnelle (Sloan Peter) Cette structure s'appelle également structure par produit, par projet. Elle permet aux entreprises d'évoluer de s'adapter, en fonction de leur marché, de leur projet, en fonction de leur demande. L'entreprise est divisée en unité autonome

en organisation industrielle, F. W. Taylor est le fondateur de l’organisation scientifique du travail (O.S.T). Ses vues, exprimées notamment dans Shop Management (1903) et PRINCIŸŸES OF SCIENTIFIC MANAGEMENT (1909), reÿÿsent sur l’idée directrice selon laquelle on peut augmenter la productivité de l’ouvrier sans augmenter sa fatigue et en le gratifiant de meilleurs salaires. 1.1.1. Principes La recherche systématique de l’amélioration de la productivité repose sur des principes de gestion de

Max WEBER - Conclusion * LE COURANT PSYCHOSOCIOLOGIQUE - Elton MAYO et l'école des relations humaines - La théorie des besoins et des motivations (A. MASLOW, D. MAC GREGOR, F. HERZBERG) * L'ECOLE NEO-CLASSIQUE - Alfred SLOAN - Peter DRUCKER - Octave GELINIER * LES THEORIES DES SYSTEMES ET DE LA DECISION - Théorie des systèmes : Présentation et hypothèses préalables - Les théories de la décision (H.SIMON, R.CYERT, J.MARCH) - La théorie

revues professionnelles. Mais, un simple regard vers le passé nous incite à prendre avec prudence cette « nouvelle ». Ainsi, dans la revue The Accountant, on pouvait lire dès 1969, « le contrôleur ne peut plus rester dans sa tour d’ivoire et jeter, selon son bon plaisir, des bribes d’informations à ses collègues de la fabrication, de la vente, de l’engineering. Il doit s’insérer comme un membre d’une équipe et reconnaître à chaque instant que son métier ne se justifie que par le service rendu » (Gerrard

travailler sont les paradigmes d'hier, et qu'aujourd'hui, les entreprises contemporaines sont confrontées à une concurrence accrue, à des clients de plus en plus exigeants, et à un rythme du changement technologique qui s'accélère. Le Reengineering est, selon eux, le seul espoir de restaurer la vigueur concurrentielle des entreprises. Dans le second chapitre, les auteurs définissent le Reengineering et pour illustrer ce à quoi il peut aboutir, font appel à trois exemples. Ensuite, ils décrivent quelques

les échelons subordonnés par délégation. Le principe de l’unité de commandement, Fayol qui subordonne l’autorité fonctionnelle à l’autorité hiérarchique, contrairement à Taylor qui soutient la seule autorité des compétences. Le principe d’exception, selon lequel les taches routinières doivent être confiées au niveau le plus bas, seules remontant au supérieur hiérarchique les taches exceptionnelles. Le chef est la pour faire faire et non pas pour faire. Le principe de la spécialisation organisationnelle

Schumpeter propose une interprétation des rythmes économiques à la lumière des rythmes ou vagues technologiques : les innovations sont à l'origine de cycles économiques : les cycles courts, ou cycles Kitchin, qui durent en moyenne 40 mois et s’expliquent selon lui par des variations de stocks, les cycles moyens, dits cycles Juglar, qui durent, eux entre 6 et 11 ans, les cycles longs, ou cycles Kondratieff qui s’étalent sur 40 à 60 ans. Ils seraient le résultat d’innovations majeures : machine à vapeur, automobiles

(1923-2000) Abraham Maslow (1908-1970) Cette école vient en opposition à l’école classique, elle est composée essentiellement de psychologues. c) L’école néo-classique et la direction par objectifs Alfred Sloan (1875-1966) : C’est un courant orienté sur la décentralisation du pouvoir avec des directions par objectifs et c’est ici qu’est née la notion de centre de profits : il a inventé ce concept d’entreprise avec le général Motors Peter Drucker (1909-2005) : 1) Fixer les objectifs

mise en œuvre des objectifs d’une organisation. On distingue PP primaire (lien productif et financier avec l’entreprise) et PP secondaire (influence sans être directement engagés). Elles peuvent s’analyser selon le modèle « pouvoir, légitimité, urgence ». b. Parties prenantes selon les types d’organisations ✓ Les entreprises Les dirigeants, les cadres, les personnes non cadres, les clients, les fournisseurs, les distributeurs, les organismes financiers, les banques, l’Etat

La sociologie des organisations …………………………………………………….……………………………..3 II. L’évolution du management……………………………….…………………………..4 III. Les nouvelles tendances : la théorie Z……………….…………………………....5 Chapitre 2 L’école néo-classique 1. Alfred P. Sloan.....................................................................................6 2. Peter Drucker.......................................................................................7 3. Octave Gelinier.........................