La Démocratisation Qualitative

guerre fait sens pour les membres du monde musical, quel est leur positionnement vis-à-vis d'elle et en quoi consistent les pratiques qu'ils développent dans son cadre. De cette manière, j'espère montrer que les méthodes « quantitatives » et « qualitatives », loin de s'opposer, peuvent se compléter de manière très productive. 3. Une méthode inductive qui a besoin d'hypothèses Étant donné le peu de documentation scientifique existant sur l'objet de ce travail, il me faut adopter une démarche davantage

par l’EPS. On passe d’une « réussite de l’enseignant » (où la réussite en EPS est relative à une mise en forme et un contrôle du corps de l’élève) à une « réussite des meilleurs » (la réussite sportive en EPS s’impose dans un contexte de démocratisation qui valorise l’idéologie du don), puis d’une « réussite de tous » (où la réussite en EPS est un moyen de lutte contre l’échec scolaire) à une « réussite de chacun » (où la réussite en EPS combine une « culture commune » et une appropriation individuelle)

l'histoire. Ces évolutions n'ont pas été continuées, mais cette histoire est marquée par un accès de plus en plus large à l'enseignement, depuis l'Ancien Régime jusqu'à nos jours. Longtemps réservé à une certaine élite, l'enseignement a connu une démocratisation importante. La question de l'enseignement est soumise à des enjeux politiques, idéologiques et économiques qui contribuent à nourrir son histoire. Citoyens, familles, État et institutions (religieuses, économiques...) constituent les groupes de

LA DEMOCRATISATION DU LIVRE L’éditeur conquiert son autonomie au XIXème siècle (il n’existait pas avant). Il devient la plaque tournante des métiers du livre puisqu’il commande le papier au papetier, il traite avec l’imprimeur et recrute les auteurs. Les maisons d’éditions sont au XIXème siècle de petites entreprises (10% emploient 200 personnes à la fin du XIXème). Vers 1850, on compte une centaine de maisons d’édition ; près de 200 en 1900 ; et 250 en 1914. Cette croissance s’accompagne de deux

raisons d’actualité nous ont poussés à faire ce choix. En effet le luxe se démocratise et doit faire face à un nouveau dilemme : «  assurer sa croissance en visant non plus une élite, mais la part élitiste de chacun » (Besson et Gurviez, 2000). La démocratisation du luxe n’est pas un mythe, mais une réalité. Ainsi la clientèle n’est plus exclusivement issue des catégories sociales CSP+, mais intègre des clients plus modestes qui ont une consommation occasionnelle. C’est ainsi que plus de 50% des européens

scientifique L’étude d’une société ne peut se faire sans avoir une approche scientifique des émotions qui la nourrisse. Ainsi, dès les origines de l’école de sociologie française, l’approche quantitative est corrélée à une approche qualitative. Emile Durkheim(1858-1917) analyse les conséquences de la peur sous forme de désespoir dans Le Suicide(1897). Il formule deux axes qui éliminent les facteurs extra-sociaux (la folie, alcoolisme)

son projet de thèse. Motivée par les systèmes d’organisation que peuvent connaitre le domaine des services de santé, elle étudiera minutieusement le mouvement anti-asilaire brésilien basculant ainsi dans une nouvelle gestion des services et une démocratisation des organisations publiques brésiliennes. Manipulant à la perfection un argumentaire issu des approches critiques liées au système de gestion, la candidate en doctorat de sociologie nous livre ici quelques éléments de compréhension sur le cas

Les différents produits, spécificités, appellations  - Les étapes de fabrication  - La mise au point des produits Les points de qualité et de valeur ajoutée * La demande La maroquinerie bénéficie d’un regain d’intérêt. La mode et la démocratisation des produits de luxe s’imposent comme les principaux déterminants de la demande. Les modèles des marques de luxe sont déclinés dans des matériaux plus accessibles et à un prix plus abordable.  Les  jeunes  filles  et  les  jeunes femmes entre

est élargie à l’ensemble des besoins qui permettent de mener une vie décente dans une société donnée, ce qui renvoie à la notion d’intégration/exclusion sociale. Cette « pauvreté des conditions de vie » ou « pauvreté d’existence », vision plus « qualitative » de la pauvreté, traduit une situation de manque dans les domaines relatifs à l’alimentation (déséquilibre nutritionnel), à la santé (nonaccès aux soins primaires), à l’éducation (non-scolarisation), au logement, etc. Mais la nonsatisfaction d’un

: conséquences qualitatives de la croissance durable qui se traduisent notamment par un accroissement du niveau et de la qualité de vie. Changement social : ensemble des changements profonds, massifs et durables des structures économiques, sociales, démographiques et culturelles. Il est le plus souvent la conséquence de la croissance et du développement économiques (ex : salarisation, urbanisation, diversification des formes de famille, émancipation des femmes, démocratisation des rapports sociaux