La Désobéissance A La Loi Peut Elle Se Justifier

36, cf. plan annexé à l’arrêté) : inscription par arrêté du 1er juin 2013." Cet immeuble était la demeure de Georges MARTIN, le Co fondateur de l'Ordre Maçonnique Mixte International Le DROIT HUMAIN. (léguée au DHI au décès de celui-ci) . Le Droit Humain dans la Cité Perspectives Sociétales Bioéthique ExtériorisationQuestions Sociales Expression publique . Accueil A quelles conditions peut-on ou doit-on désobéir

Pourquoi la loi? Tout simplement pour pouvoir vivre ensemble. Si les droits de chacun par rapport aux autres ne sont pas déterminés, c’est le chaos. C'est parce que le mal existe que les lois sont nécessaires. Le mal existera toujours puisqu’il s’agit d’une réalité humaine. Il existera toujours des individus menaçant la vie des autres, alors il faut des lois pour avoir des règles communes. Pourtant, le pouvoir impose souvent des lois et des sanctions injustes. Faut-il alors toujours respecter les

Problématique : Le devoir peut-il vraiment être libre où n’est-il consenti que sous la contrainte ? I/ Légitimité de la réduction du devoir à l’obéissance II/ Effet pervers de cette réduction III/ Vers un devoir de désobéissance Intro : Le devoir et l’obéissance sont deux notions différentes. Il n’est cependant pas rare de constater que les deux notions sont liées. Le devoir peut se définir comme un impératif qui impose à l’homme d’accomplir ce qui est prescrit en vertu d’une obligation. Pour

Dissertation Sujet : Peut-il être juste de désobéir ? " La désobéissance civile est le droit imprescriptible de tout citoyen ", Gandhi, militant nationaliste hindou et adepte de la non violence. Figure emblématique du pacifisme, il est bien effigie de la neutralité, de la non-violence et par la même occasion de la désobéissance. Oui, la désobéissance, car cet homme, par la force des mots, de la volonté, à réussi à s'opposer à l'autorité grandissante de l'Empire Britannique. Or, désobéir à quelque chose

CITOYENNETE ET OBEISSANCE Introduction Originellement liée à la démocratie dont elle est l’un des « rouages » essentiels, la citoyenneté moderne est néanmoins l’aboutissement d’une succession de conceptions. Par ce que représente la citoyenneté, c’est la question du fondement de l’autorité politique qui est soulevée, et par là même de son obéissance. Le civis romanus était défini en terme de statut juridique. La citoyenneté athénienne était l’expérience du primat du citoyen grec

obéir aux lois ? Au passage piéton, une mère apprend à son fils : « Tu dois traverser quand le bonhomme est vert, quand il est rouge c’est interdit ». Le gamin ne voit pas trop l’intérêt de ces règles jusqu’à ce, les oubliant, un 33 tonnes manque de l’écraser. Un élément de réponse vient alors se placer sous la question : Pourquoi obéir aux lois ? Au sens large, il convient de se demander pour quelles raisons et dans quels faut-il obéir, c'est-à-dire se plier consciemment et volontairement aux règles

l’honneur de son frère à Rosa Parks refusant de se soumettre, nombreuses sont les figures littéraires ou historiques aujourd’hui admirées pour leurs rébellions passées. Tant de figures qui nous mènent à questionner les différentes conceptions du droit, mais aussi à distinguer ce qui est juste de ce qui doit l’être. Qui d’entre nous n’a jamais ressenti ce sentiment intensément personnel d’injustice face à une loi paraissant illégitime ? Qui n’a jamais eu envie de transgresser la loi pour laisser triompher

liberté existe, à travers le droit d’expression, d’opinion et de pensée. Mais une manifestation peut dépasser la limite de l’obéissance. D’autres exemples le démontrent bien, comme la grève. C’est en cela que nous allons nous demander si la désobéissance est un accès direct à la liberté. Quel sens faut-il donner à la désobéissance ? S’imposer grâce à la désobéissance peut mener jusqu’à la liberté ? Peut-on être libre si on obéit ? Est-il possible d’allier obéissance et désobéissance ? La question de

INTRODUCTION L a question ne se pose que si l’infraction à la loi est possible, donc dans le champ du droit et de la cité (c’est ce qui distingue les lois de la nature et lois de la cité. L’interdit n’est pas l’impossible, en raison de la présence d’une médiation, par la volonté ou la liberté). D’un point de vue simplement formel, • Ou bien c’est la loi elle-même qui autorise la désobéissance, et par définition la loi ne peut pas permettre qu’on lui désobéisse (le principe même de la loi, c’est précisément

elle ne peut être aveuglement ( Geneviève KOUBI) Ces dernières années, une multiplicité de mouvements de résistance des agents des services publics a vu le jour. Ces fonctionnaires qui désobéissent s'opposent aux ordres, règlements, directives qu'ils jugent contraires à leur éthique, en opposition avec l'intérêt général et attentatoires aux principes supérieurs. Cette forme de résistance constitue une problématique bien à part des autres mouvements de résistance et de désobéissance civile :