La Fille de l'eau

événement peu commun : la course d’un chien errant, sur la borne centrale d’une autoroute, contraignant les automobilistes à s’arrêter pour éviter l’accident. Six personnes (un camionneur, un prêtre, un cycliste homosexuel, une jeune femme, une mère et sa fille) témoins des faits et provisoirement réunis sur le bas-côté s’approprient cet épisode, l’incident déclenchant un besoin de s’épancher, de se libérer de ses préoccupations, de « se raconter » à soi-même dans un long monologue intérieur. 1.1. Un petit

Héro : la fille Agresseur : la marâtre Monstre : La Baba-Yaga Il était une fois un vieux et une vieille qui avaient une fille. Devenu veuf, le vieux se remaria. La méchante marâtre prit la fillette en haine, ne cessant de la battre et ne rêvant qu’à s’en débarrasser. Un jour que le père était absent, elle dit à sa belle-fille : « Va chez ma sœur, ta tante, et demande-lui une aiguille et du fil pour te coudre une chemise !» Or, cette tante n’était autre que la baba Yaga en personne. La fillette

printanière ; écrit simplement ; champ lexical de la nature très présent ; toute trâce d'humanité à disparu -> couple Edenique ; il anticipe sa caresse avec l'eau qui caresse la jambe - accord entre cette scène et la nature : nature traduit la sensualité ; femme est élément du décors ; elle est le symbole de la nature ; semble sortir de l'eau ; être imprévisible, libre -> mystérieux ; effet visuel fort ; relève de la scéne originelle ; rencontre dénué de pécher La chanson - libérté

J’étais sortie, un matin ensoleillé, pour m’asseoir sur un banc et contempler le paysage. J’étais seule. Un homme plutôt charmant sorti d’un des capots d’escalier. Il me fixait depuis plusieurs minutes, pendant que je brodais un gilet pour ma fille. J’étais vêtue d’un beau et large chapeau de paille, avec des rubans rosés qui auraient pu s’envoler si je ne les avais pas brodé plusieurs fois, avec cette robe, cette robe de mousseline claire, tachetée par des pois de couleurs rouge, elle se répandait

Jeanne, fille du Roy Chapitre 30 Un sifflement familier perce le silence. Jeanne laisse tomber le panier de fèves qu’elle ramassait et s’élance vers la rivière. Son cœur bat et comme autrefois, elle le presse à deux mains. Un canot s’avance, et un bras amical agite un aviron. Une voix de stentor ébranle les échos. Hé! Rouville, j’ai des nouvelles. D’une manœuvre habile, le voyageur arrête son embarcation près de la berge. Il a une magnifique barbe rousse, et Jeanne reconnaît le trappeur Charron

Le paysage dans le cadre des portières Paul Verlaine Le paysage dans le cadre des portières Court furieusement, et des plaines entières Avec de l’eau, des blés, des arbres et du ciel Vont s’engouffrant parmi le tourbillon cruel Où tombent les poteaux minces du télégraphe Dont les fils ont l’allure étrange d’un paraphe. Une odeur de charbon qui brûle et d’eau qui bout, Tout le bruit que feraient mille chaînes au bout Desquelles hurleraient mille géants qu’on fouette ; Et tout à coup

le marché des sodas, elle est seconde, derrière Coca-Cola Société : suntory Distributeur : orangina schweppes group 2003 : « Oasis is good » 2004 : « Oasis : de l'eau, des fruits, du frais » 2004 : « Oasis : de l'eau, des fruits, du FUN ! » 2005 : « Oasis : des fruits, de l'eau et du fun » 2007 : « Oasis : des fruits, de l'eau de source, du fun ! » 2012 : « Be Fruit » Les 4 critères de la marque : Notoriété : très bon taux de notoriété du au fort investissement Existence sensorielle :

le genre de l'autobiographie versifiée. Ce recueil est également un hommage à sa fille morte noyée. Vingts cinq années sont dans ce livre. Victor Hugo a laissé le poème ce faire en lui. Pour laisser filtrer goutte à goutte sa vie en nous montrons les événement et les souffrance qu'il a vécu et qui sont dans son cœur. Victor Hugo a écrit ce livre pour que chaque personne qui li se retrouve sa propre image dans l'eau profonde est triste qui c'est amplifier au fond d'une âme. Les Contemplations si

présente des caractéristiques essentielles du classicisme en ce sens où il fait preuve d’un idéal de vérité menée par la domination de la raison. En effet, la pièce respecte la règle des trois unités, dont voici celle du temps, quand Harpagon promet sa fille en mariage, à un seigneur inconnue, le soir même: [Au début de la pièce] Harpagon : Je suis votre très humble valet, mais avec votre permission, vous l'épouserez dès ce soir. [À la fin de la pièce] Anselme : Qu'est-ce, seigneur Harpagon

soupire) Ah ! La nature autre fois, c’était il y a bien longtemps, je m’en souviens encore, en ce temps on ne connaissait pas la pollution : les rues étaient propres, la mer était belle, les poissons étaient magnifiques, l’air était pur et l’eau était limpide. La fille  : Même dans les grandes villes grand-mère ? Grand-mère : Oui ma petite, jusqu’à ce que la pollution arrive. La pollution fait son entrée sur scène La pollution : (énervée) Qui parle de moi ? Qui parle de la pollution,… la pollution c’est