La Firme Manageriale

investissements dont la portée stratégique est considérable et qui ouvrent la voie à des opportunités futures (Bellalah, 2000). Ainsi, Lautier (2002) affirme que les options de croissance sont des options qui s'intéressent au développement de la firme et elles regroupent, de ce fait, plusieurs options réelles. L’investissement est identifié à un droit d’entrée qui permet d’accéder à des opportunités futures. Ainsi la valeur d’un projet ne se limite pas à la valeur présente des cash-flows anticipés

Opportunisme • Actifs spécifiques • Types de transactions • L’organisation et le marché • La théorie de l’agence • Définition • Conditions • Fonctions • Normes • Ses implications • Conséquences dans les pratiques managériales • Conclusion Théorie des coûts de transactions Définition : Un coût de transaction est un coût lié à un échange économique, plus précisément une transaction sur le marché. Ce coût n'existe pas dans le cadre de la concurrence pure et

Page de garde Chapitre 1 : L’esprit et la dynamique de l’entrepreneuriat Chapitre 2 : La logique managériale Chapitre 3 : La finalité et la responsabilité sociétale de l’entreprise Chapitre 4 : La performance de l’entreprise Chapitre 5 : Direction et décision dans l’entreprise Chapitre 6 : Parties prenantes, contre-pouvoirs et gouvernance de l’entreprise Chapitre 7 : La démarche stratégique Chapitre 8 : Le diagnostic stratégique externe Chapitre 9 : Le diagnostic stratégique interne Chapitre

                       Année universitaire : 2005/2006 La théorie d’agence Introduction Depuis la fin du siècle dernier, le système capitaliste a connu plusieurs évolutions. Parmi ces évolutions il y a le développement d’entreprises du type managérial caractérisées par la diffusion de l’actionnariat et la séparation des fonctions de propriété et de décision. I/ La relation d’agence Jensen et Meckling (1976)  définissent une relation d’agence comme  « un contrat par lequel une ou plusieurs

l’optimisation de la décision et la promotion des coopérations, l’Intelligence Economique d’Entreprise est d’abord une affaire de culture managériale, c'est-à-dire une volonté singulière de penser, de décider et de coopérer afin de mieux agir collectivement. L’objectif est ici de décrire la raison d’être et les conséquences d’une telle démarche managériale, dont le Système d’Information (SI) constitue à la fois le support naturel et le véritable cœur opérationnel du dispositif d’Intelligence Economique

l’entreprise, non plus uniquement en tant que fonction de production, mais en tant qu’entité autonome et systémique. S’interrogeant sur les raisons d’être de la firme, Coase démontre que ce sont les coûts élevés encourus par les individus afin d’assurer la coordination commune ou la production coopérative dans un marché qui fondent la firme. Pour Coase, le processus d’échange est complexe et génère des coûts (coûts de transaction) qui doivent être pris en compte par l’entrepreneur pour organiser ses

comportement de ses consommateurs, pour mettre en relation les magasins entre eux, et pour une maîtrise de la gestion des stocks. Culture de l’entreprise : En premier lieu, c’est de proposer toujours moins cher à ses clients avec un culte de la firme prenant « chaque jour des prix bas » comme slogan. Elle repose donc tout d’abord sur l’orientation sur le client. C'est-à-dire comprendre la perception de la valeur par le client. Donc tous les salariés doivent participer à la création de valeur.

qualité : la satisfaction du client final Généralement, une entreprise doit avoir ses propres objectifs et priorités. Le SMQ constitue dans ce sens un moyen incontournable pour coordonner, piloter cette ligne managériale. Ce système doit se conformer à la réalité de l’organisation de la firme. Il faut toutefois considérer la culture, le contexte, les services, les différents acteurs ainsi que les produits de l’établissement. Autrement dit, le SMQ, est donc l’ensemble de directives qui permettent

progressivement s’insérer dans des formes d’organisation plus complexes, aussi bien intra qu’interentreprises, pour devenir le noyau dur d’une démarche véritablement stratégique de management de la supply chain, résolument ouverte sur l’environnement de la firme. L’ objet de cet article est de proposer une analyse de l’évolution des rôles joués dans l’entreprise par la logistique, puis, à partir du début des années 1990, par le supply chain management (SCM), qui relaye et enrichit la logistique. Nous

elle a évolué dans l’histoire du capitalisme industriel, et comment elle a caractérisé le type dominant 1 d’entreprise. On montrera comment la crise de la Société salariale, dite « fordiste » est avant tout celle de la très grande firme gérée de façon managériale, et quelles ont été ses conséquences pour les PME. 1 Qu’est-ce que la « modernité » ? Par commodité, on a coutume de démarrer les Temps Modernes en 1492, date à laquelle, par exemple, Colomb découvre l’Amérique. Ensuite, se met en place