La Firme Manageriale

Il écrit un livre basé sur son expérience de dirigeant qui connaît un grand succès. Il relate surtout les fonctions sécurité et administration qui sont la raison d’être du dirigeant. Mary Parker Follett (1868-1933) introduit dans la réflexion managériale le facteur humain. En s’opposant à la vision mécaniste de l’homme que suppose le taylorisme elle considère que chacun a sa dignité et sa compétence. Les 2 professionnels (directeur-ouvrier) sont aussi utiles à la société de part leur rôle distincts

compte : Du comportement de l’entreprise Des forces en jeu sur le marché De sa propre imperfection L’entreprise n’est pas une mécanique = le marché n’est pas un champ mathématique … B) L’approche néo-institutionnelle Intro : lecture managériale de l’entreprise On était la = « I’m the boss », « I’m my boite ». On est la = actionnaire / dirigeants / salariés séparés On va vers = ETAT - > actionnaires / fournisseurs / dirigeants / clients / salariés séparés. L’actionnaire veut =

changé d’opinion en faveur des grandes entreprises qui, selon lui, étaient les seules à pouvoir innover du fait de l’importance des ressources nécessaire à l’innovation (Vossen, 1998). Ce débat a été de nombreuses fois repris dans la littérature managériale. Il n’est pas encore tout à fait tranché. Il nous semble cependant important de rendre compte de ce débat et d’analyser les avantages et les désavantages des PME dans la course à l’innovation (1ère et 2ème partie). Cela doit en effet nous permettre

preuve de souplesse pour s'adapter aux évolutions de la demande. La petite taille est un atout, elle met à l'abri des fortes ↑ de salaires, des conflits sociaux médiatiques. Les marchés sont de + en + segmentés ce qui crée des créneaux. La grande firme peut ↓ ses couts fixes salariaux en les donnant à des sous-traitants. Selon WILLIAMSON: les capacités d'organisation obéissent elles aussi aux rendements ↓, la mauvaise circulation, de l'information, la ↑ des couts d'organisation aboutissent à une

et l’entrepreneur. --Intrapreneur versus Manageur : L’intrapreneur se distingue également du Manager qui se définit au travers d’un certain nombre de fonctions telles que prévoir, organiser, budgéter, coordonner et contrôler. Ainsi la fonction managériale renvoie à la gestion d’un temps récurrent alors que l’intrapreneuriat est, quant à lui, relié à l’invention de nouvelles combinaisons de ressources et donc à l’avènement d’une rupture. Plus généralement, l’intrapreneur se différencie du manager

valeur est un outil d’analyse des activités clé de l’E. En effet cette analyse peut mettre en évidence que certaines activités ne crées pas de valeurs ou même, en détruise… 2. L’analyse des ressources de l’entreprise (Edith PENROSE) Elle considère la firme comme un ensemble de ressources productives. Les différentes ressource intangibles et tangible doivent avoir de la valeur, être rares, inimitables et non substituables. Ressources intangibles : Ressources humaines Ressources technologiques Les autres

Introduction Dans la conception néoclassique et à travers le modèle de l’équilibre général et partiel qui sont considérés comme une référence essentielle de la théorie économique contemporaine, la firme comme on le montrera en détail par la suite, est une « firme point » et une  « firme automate » en lui attribuant une approche en terme de boite noire Cela réduisait sa dimension véritable à un agent passif ayant des réactions prévisibles qui une fois appliquées ne peuvent changer que de façon

FONCTIONS RH, Editions Pearson Éducation ), impose l’identification et le développement des processus RH massivement reconnus comme créateurs de valeur que sont la gestion des compétences clés, le développement stratégique des RH, des capacités managériales et de leadership, le management de la connaissance, de la performance, des valeurs et de la culture de l’entreprise. Quel que soit le secteur d'activité audité, de nombreuses études et observations menées par les DRH( ANDCP, Congrès mondial, juin

opérer ne souffrent, par rapport aux firmes en place, d’aucun désavantage sur le plan des techniques de production ou de la qualité des produits (les entrants potentiels peuvent évaluer la profitabilité de l’entrée à partir des prix de pré-entrée de la firme déjà installée). La sortie en est totalement libre, au sens de peu coûteuse. - Au concept de concurrence parfaite, chère à la théorie néo-classique, Baumol, Panzar et Willig substituent celle de contestabilité parfaite. De ce fait, un marché

en même temps que les risques qui en sont l’inévitable contrepartie. Les plans de marketing déployés sur les marchés étrangers s’appuient d’abord sur l’analyse approfondie des conditions externes qui constituent l’environnement incontrôlable de la firme. Ainsi, l’analyse de l’environnement marketing international peut être définie comme un ensemble de cadres de références interdépendants, d’origines et de natures très diverses, mais tous soumis aux pressions de la mondialisation, et qui ont un impact