La Gestion Stock Dans Une Entreprise Industrielle

Introduction : Aujourd’hui les entreprises sont en pleine réforme radicale, en effet, la concurrence n’est plus industrielle mais désormais informationnelle. Et toute entreprise ne prenant pas ces changements en considération, risque d’être épargnée. Pendant des décennies et ce jusqu’aux années 70, la performance des entreprises se limitait à leur capacité de profiter des économies d’échelle afin d’optimiser la production. La technologie quant à elle était importante, sauf que n’on l’intégrait

bien défini : celui de toute entreprise qui vend des produits ou des services qui ne sont pas destinés à une consommation finale mais qui sont utilisés par ses clients pour les besoins de leur propre production. Contrairement aux achats que nous faisons tous dans notre vie courante, où nous sommes tout à la fois acheteur-décideur-payeur, en milieu industriel, il y a, à l'évidence, plusieurs intervenants dans un achat, quel qu'il soit. Si on ne trouve pas en milieu industriel des achats de pure impulsion

Gestion de production et système d’information 1. L’ÉVOLUTION DE L’OFFRE LOGICIELLE 1.1. Introduction La gestion de production manipule un nombre très important de données. Elle est donc par nature intimement liée au système d’information (SI) de l’entreprise et à l’offre logicielle présente sur le marché qui a considérablement évolué ces dernières années. En effet, alors que très longtemps elle a été concentrée autour de la GPAO (Gestion de production assistée par ordinateur) et des logiciels

18 3.4.2 Nouvelle organisation 19 4 PROBLEMATIQUE 21 5 ETAT DE L'ART 23 5.1 La différenciation retardée 23 5.2 Différence entre flux tirés et flux poussés 25 5.2.1 Production à la commande : flux tirés 25 5.2.2 Production pour stock : flux poussés 26 5.3 La centralisation des achats 27 6 DEVELOPPEMENT - REPONSE A LA PROBLEMATIQUE 28 6.1 La centralisation de la demande 28 6.1.1 Pourquoi une standardisation des processus 28 6.1.2 Les avantages de la standardisation

Gestion de Production Emmanuel Caillaud 1 jeudi 14 avril 2011 CV E Caillaud • • • • • • • Ingénieur ENIT et DEA Mécanique Université Bordeaux (1990) Ingénieur au CETIM (CIFRE 1990-1994) Docteur de l'Université Bordeaux (1995) Maître-assistant Ecole des Mines d'Albi, Département Génie Industriel (1994-2001) HDR INP Toulouse (2000) Consultant (2001-2002), PAST UAG Pr Université Strasbourg, Chercheur LGECO (2002- ) 2 jeudi 14 avril 2011 Plan du cours • • • • • • • • • • •

Pascal Degrelle – Marcel Duvant BTS Comptabilité et gestion des organisations 1re année Comprendre les principes fondamentaux de la comptabilité Mise à niveau Directeur de publication : Jean-Christophe Hibon Les cours du Cned sont strictement réservés à l’usage privé de leurs destinataires et ne sont pas destinés à une utilisation collective. Les personnes qui s’en serviraient pour d’autres usages, qui en feraient une reproduction intégrale ou partielle, une traduction sans le consentement

comptes d’une entreprise 6 Chapitre 1 : Lecture financière du compte de résultat 6 1.1 Justification de l’élaboration d’un compte de résultat 6 1.2 Principaux retraitements du compte de résultat 6 1.3 Dividendes 9 1.4 Effectif 9 Chapitre 2 : Lecture financière du bilan 9 2.1 Justification de l’élaboration d’un bilan fonctionnel 9 2.2 Principaux retraitements du bilan 10 Calcul du fonds de roulement : 16 BFR : 17 Trésorerie : 17 Partie 2 : Analyse financière d’une entreprise 18 Chapitre

d’Information :  Andersen Consulting (Accenture) : Maîtrise d’œuvre  Perspectives CG : Assistance maîtrise d’ouvrage  31 ans d’expérience – plus de 300 interventions significatives  Industries : Pharmacie & Cosmétique, BtoB  Métiers : Stratégie, Génie industriel et logistique, Research to Launch, Système d’Information, « mode projet »  Coaching de Comité de Direction et de Comité de Pilotage Projet  Enseignant  Professeur associé EM Lyon & CPA  Intervenant dans les Grandes Ecoles RA +FC + Masters

Vilanova Le cadre de réflexion de la finance d’entreprise Logique financière vs. logique industrielle: Multiplication des faillites de PME / Difficultés d ’accès au crédit bancaire Difficultés de grands groupes pourtant performants au niveau industriel et commercial (France Télécom) Variations importantes des cours de bourse Les entreprises doivent tenir compte des exigences des Les entreprises doivent tenir compte des exigences des apporteurs de ressources financières (créanciers, apporteurs

l'indique, le B to B est le modèle d'e-business qui concerne les relations inter-entreprises. Cette fiche définit le Business to Business et présente ses différents modèles, exemples à l'appui. 2 - Définition, aspects et classification Définition Le Business to Business (B to B) concerne l'utilisation de supports électroniques pour tout ou partie des échanges d'information d'une entreprise avec d'autres entreprises : fournisseurs, sous-traitants, clients, prestataires de services, organismes financiers