La Grande Vanité

Quelle(s) image(s) des rois et des puissants les liasses au programme donne t-elle ? Introduction : Pour Pascal, écrivain et janséniste du XVII ème Siècle , seul Dieu est grand et parfait .L'homme est faible et misérable comme il le montre dans les huit premières liasses de ses Pensées. Cependant, le roi et les puissants sont des figures récurrentes dans les fragments au programme. Les rois et les puissants sont t-ils des êtres d'exception ou bien ne sont-ils que des êtres comme les autres

 estimable  que  ceux  qui   ne   représentent   que   des   choses   mortes   et   sans   mouvement   ».   Pour   lui   c’est   une   simple   imitation   de   la   réalité,   sans  imagination,  sans  grand  intérêt.                Aux  prémices  de  son  apparition,  aux  alentours  de  l’antiquité  gréco-­‐romaine,  la  représentation   d’objets   inanimés   est   néanmoins   appréciée.   Prenons

sa taille. La périphrase « chétive pécore » (v. 9) qui n’est pas grosse en tout « comme un œuf » (v. 3), qui signifie petit animal ou encore sot, imbécile, est un animal faible, donc elle veut devenir grande pour être plus puissante et se faire remarquer. La connotation de la grenouille est la vanité, sa prétention à devenir ce qu’elle n’est pas, à avoir ce qu’elle n’a pas. Elle est mécontente de sa propre taille. La grenouille est également envieuse. Elle pense qu’en étant plus grosse, elle sera

l'époque. A cette époque, il peignit le tableau du maître-autel et le christ placé à l'entrée du chœur de l'église San Francisco el Grande de Madrid, et en 1780, cette œuvre permit à Goya d'être nommé membre de l’académie de San Francisco et surtout peintre ordinaire du roi. Après la mort de Charles III, Goya continua d’être protégé par Charles IV, et par les grands seigneurs de cette cour, notamment le comte de Benavente et la duchesse d'Albe, duchesse dont il devint le pensionnaire. Goya continua

montrant les références implicites de certains (le débat sur les « animaux machines » de Descartes fr.98 par exemple) mais surtout montrer d’autres occurrences des mêmes « thématiques » dans d’autres fragments parfois éloignés (comme les fragments 47 Vanité et 56 Misère) : cette observation permet de dessiner des points d’ancrage de la réflexion pascalienne et répondre par la même occasion aux interrogations des élèves. Travail préparatoire: faire rechercher aux élèves le vocabulaire récurrent des

l’aveu des vanités : Sc 3 : Trivelin a du mal à contenir l’animosité de Cléanthis et la colère de sa maîtresse face à sa nouvelle situation. La femme est selon lui plus sensible à l’humiliation car son amour propre est plus développé. Trivelin demande à Cléanthis de dresser le portrait d’Euphrosine. L’ancienne esclave ne se prive pas et décrit une jeune femme coquette et vaniteuse. Sc 4 : Trivelin encourage Euphrosine à reconnaître la vérité de son portrait. Elle finit par comprendre sa vanité et son

du nord (Flandres et Hollande), toujours très enclines à représenter un réel cru. Elle se propagea ensuite en Europe, et en France particulièrement. Au XVIIe siècle. En Espagne, les natures mortes, se présentent essentiellement sous la forme de vanités à la morale catholique, tandis que l'Europe du nord, protestante, renie les sujets religieux et se consacre à la peinture bourgeoise au travers des paysages et, eux aussi, de la nature morte. La nature morte devient alors un outil au service des deux

sur un défaut que les différents auteurs veulent dénoncer : La vanité de l’homme. Le premier extrait s’agit d’une pièce théâtrale (Le Misanthrope, Molière, 1666), le second c’est une fable de Jean de La Fontaine (La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf, 1668) et le dernier c’est une maxime de Jean de la Bruyère (Les Caractères, 1688). Ces trois extraits dénoncent l’image négative de l’homme en parlant de sa vanité. Jean de la Bruyère, Molière et Jean de la Fontaine montrent son

Chat-qui-pelote , de Honoré de Balzac, 1830 Le réalisme se caractérise par un refus d’embellir la réalité et une volonté de la représenter telle qu’elle est. Honoré de Balzac, auteur français du XIXe siècle et grande figure du réalisme, est l’auteur d’un gigantesque cycle romanesque, La Comédie Humaine , qui lui a valu sa renommée, et dans lequel il fait l’étude

Blaise Pascal Les Pensées Dans ses liasses, Blaise Pascal nous expose sa réflexion sur la misère de l’homme, sur sa vanité, sa misère, le pourquoi de ses actions et les raisons de ces actions. Les Pensées peuvent ainsi concrétiser une anthologie du genre humain, bien que contradictoire car défendant l’absurdité des vanités humaines et réfutant celles-ci, tout en les glorifiant. Blaise Pascal émet par ailleurs un certain nombre de réflexion sur la justice, et sur la force. Dans la pensée 56