La Jamais contente

aient des désir mène a notre malheur. Dans ce sens avoir des désir = malheur Le fait de ne pas avoir de désir implique que l'on est satisfait de son état présent, donc que l'on est content de sois même donc on est heureux. Par exemple: Si une personne est content de sont état il ne désirera rien don il est content... Inde... « Rien n'est suffisant pour celui pour qui le suffisant est peu » Mais peut-on vraiment s'empêcher de désirer? Peut-on avoir un arrêt complet des désir. Et aux contraire

précises. On parle par exemple de «META Description» pour la balise suivante: <meta name="description" content="Une description de la page..." /> Voici un deuxième exemple avec une META Content-Type et une META Keywords: <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=ISO-8859-1" /> <meta name="keywords" content="péniche, écluses, paquebot, crise, décroissance" /> Vous l’aurez peut-être remarqué, le nom que l’on place juste

pas avec ses femmes, il s'occupait à philosopher. Près de sa maison, qui était belle, ornée et accompagnée de jardins charmants, demeurait une vieille Indienne, bigote, imbécile, et assez pauvre. Le bramin me dit un jour : « Je voudrais n'être jamais né. » Je lui demandai pourquoi. Il me répondit : « J'étudie depuis quarante ans, ce sont quarante années de perdues; j'enseigne les autres, et j'ignore tout : cet état porte dans mon âme tant d'humiliation et de dégoût que la vie m'est insupportable

nous tenons jamais au temps présent ».Le verbe « tenir » doit s’entendre en plusieurs sens et ce sont tous ces sens que Pascal entend reprendre ici.-« tenir » c’est d’abord « se tenir en place » en quelque sorte, être. Nous ne nous tenons jamais dans le temps présent car nous fuyons vers d’autres temps ( le passé et l’avenir) plutôt que de le vivre. Nous sommes toujours dans la fuite, dans l’imaginaire ou dans l’oubli.- Se "tenir" à quelque chose c'est s'en tenir à lui et s’en contenter. Or nous fuyons

papillon ». C’était l’histoire d’un papillon qui voulait devenir un humain.Mais malheureusement jamais il ne réussit. Après avoir été malheureux pendant de nombreuses années, il comprit qu’il fallait se résoudre etse contenter de ce que l’on possédait. Ses dernières années de vies furent les plus belles. En sortant de cette librairie, j’avais comprisla morale de ce conte et me suis dit qu’elle me servirait à jamais. Je l’appliquerais dans des situations de la vie quotidienne mais aussilorsque je devrais

Deuxième partie : savoir se contenter de peu Toujours dans cette optique de calcul, Epicure va ensuite développer, dans la partie suivante, les avantages qu’il y a à se contenter de peu. Epicure donne la thèse de sa deuxième partie « c’est un grand bien à notre avis que de se suffire à soi-même ». Faut-il y voir l’idéal autarcique grec tel qu’on le trouve chez les prédécesseurs d’Epicure ? Se suffire à soi-même, c’est ne pas dépendre d’autre chose (comprendre les plaisirs non nécessaires). Epicure

perpétuellement insatisfait car dès qu'un désir est satisfait, d'autres apparaissent. L’Homme ne pourrait donc jamais atteindre l'objet de son désir. Il semblerait donc que le désir soit l'ennemi du bonheur ; le bonheur étant un état de totale satisfaction et durable dans le temps. De plus, l'impossible désigne ce qui ne peut pas être, ce qui n'est pas réel, qui ne l'a jamais été et ne le sera jamais. Désirer l'impossible semblerait donc totalement absurde, c'est-à-dire, dénué de sens dans la mesure où

La nana en question je l'ai aimé comme jamais j'ai pu aimer une nana. Pendant des mois j'ai été confident, à veiller sur elle, une fois en soirée elle s'est mise carpette, elle avait envie de gerber, j'ai été même jusqu'à l'accompagner aux chiottes, lui tenir les cheveux, même si elle me gerba dessus. Je lui donnais ce que je pouvais. Je ne faisais pas le caniche assoifé, pour une fois je partais sans être le gros crevard quoi. J'ai essayé de tisser quelque chose, de construire quelque chose avec

- On n’est pas bête, reprit la Belle, quand on croit n’avoir point d’esprit : un sot n’a jamais su cela. - Mangez donc, la Belle, lui dit le monstre, et tâchez de ne vous point ennuyer dans votre maison ; car tout ceci est à vous. J’aurais du chagrin si vous n’étiez pas contente. - Vous avez bien de la bonté, dit la Belle. Je vous avoue que je suis bien contente de votre bon cœur : quand j’y pense, vous ne me paraissez plus si laid. - Oh ! dame, oui, répondit

I) Dans le premier moment, Pascal expose sa thèse qu’il développe ensuite. Sa thèse est la suivante : « nous ne nous tenons jamais au temps présent ». Le verbe « tenir » doit s’entendre en plusieurs sens et ce sont tous ces sens que Pascal entend reprendre ici. -« tenir » c’est d’abord « se tenir en place » en quelque sorte, être. Nous ne nous tenons jamais dans le temps présent car nous fuyons vers d’autres temps ( le passé et l’avenir) plutôt que de le vivre. Nous sommes toujours dans la fuite