La Libre Esthétique

 La France de la « Belle Epoque » Esthétique & Libertés à la « Belle Epoque » Introduction : La société qui se constitua en France entre 1870 & 1914, se fondait sur 2 piliers : a) La revendication d’un esprit de liberté b) Le rêve de l’épanouissement de cette liberté Trait caractéristique de la « B.E » : la culture de masse, qui favorisa cet esprit de liberté, qui va peu à peu s’incarner dans le domaine artistique. Avec cette culture de masse : popularisation de l’art. A travers celui-ci

N’existe t-il pas un plaisir pur quand même ? Auquel cas dans ce plaisir pur on ne serait pas dans le champs de l’action : c’est alors dans l’art et de la nature. Il se demande ce que l’on vit des émotions ésthétique et qu’on est dans la nature. Les 2 types de jugement : * le jugement esthétique (étymologiquement c’est le sensible, mais c’est Le premier à employer le mot esthética pour désigner le beau dans l’art) que se passe t-il quand on dit : « c’est beau » * le jugement qui concerne la

verrons en quoi nous ne sommes pas les propriétaires exclusifs de notre organisme. Enfin si nous ne le possédons pas, nous pouvons néanmoins essayer de le maîtriser grâce à l’esprit. Mon corps m’appartient. Le corps, et surtout la revendication de la libre disposition de son corps, est devenu un fait banal dans le paysage contemporain et cela depuis quelques événements qui font date : en mai 1968, les jeunes femmes qui défilaient scandaient « notre corps nous appartient ». Depuis, des progrès considérables

de la sorte cela prépare à connaître le réel, cette fois-ci au « sens étroit », c’est-à-dire de la « connaissance de la vérité » (p. 314). Leibniz précise : même la lecture de « romans ingénieux » (c’est-à-dire inventifs, où l’imagination se donne libre cours) est instructive de ce point de vue, quand bien même « il n’y aurait pas un mot de vérité en tout ce qu’on lui a dépeint ou raconté ». Cependant, songeant à la possibilité que la lecture parfois ne brouille l’esprit (ce qui arrive à Don Quichotte

GLANDOR Sarah 201022Histoire de l’art et de l’architecture Art et architecture contemporains 17/09/2020 Prémisses de la modernité et avant-gardes (1860-1940) La période contemporaine = XIXe et XXe siècles —> caractère international Révolution industrielle :1860-1900 Modern style ou art nouveau :1880-1910 Avant-gardes du XXe s :1910-1940 De la révolution industrielle aux avant-gardes du XXe s 1. Qu’est ce que la modernité? La deuxième renaissance est une forme de modernité. Elle nait

consistant à plaire immédiatement. Les artistes eux-même ne sont pas d'accord sur la notion de beauté. Certains refuseront l'association entre beauté et harmonie, pensant qu'il y a un art de la disharmonie. D'autres soutiennent même qu'il y a une esthétique du non finit. D'autres encore s'inspirent de Kant en déplaçant la notion de beauté pour dire: "L'art n'est pas la représentation d'une belle chose mais la belle représentation d'une chose." Il ne veut pas dire que l'artiste rend beau une chose mais

 L’art Qu’est –ce qu’une expérience esthétique ? Comment qualifier ce moment où une œuvre , un tableau , un dispositif artistique s’offrent à nos sens , à notre observation ? Quel savoir peut-on retirer de la contemplation d’une œuvre d’art, de la fréquentation d’un musée , de la visite d’une exposition ? Et quelle est la finalité d’une telle démarche , que recherche-ton intellectuellement et personnellement dans le rapport à l’art ? L’art ne cesse d’interroger la pensée car

qui se plaignait de ne pas réussir à écrire des poèmes, alors qu’il avait des idées : « Ce n’est point avec des idées que l’on fait des vers … C’est avec des mots. » Autrement dit, le langage représente une matière à travailler, dans un geste esthétique[1], tout comme la peinture pour le peintre, le marbre ou la terre pour le sculpteur. Mais Mallarmé dépasse la conception parnassienne de «  l’art pour l’art ». Le souci du langage est chez lui au service d’une visée[2] ultime[3] qui relève d’une

toutes les différences, la faculté sensitive du goût et le goût esthétique ont en commun comme une sorte de spontanéité irréfléchie. «Le jugement de goût est (...) dont le principe déterminant ne peut être que subjectif. » (Emmanuel Kant - Critique de la faculté de juger ). Mais il ne faut pas confondre le Beau et l’agréable. Le plaisir de la satisfaction subjective sensitive est local et intéressé, alors que la satisfaction esthétique est totale et désintéressée. Si j’aime le foie gras, mon plaisir

technique en philosophie. Nous nous demanderons ce qui les oppose et les rapproche. L’artisan fabrique des objets qui remplissent une fonction spécifique dans notre vie quotidienne, là où l’artiste créé une œuvre qui a pour but de provoquer une émotion esthétique. Toutefois cette distinction mérite d’être nuancée. I-Les similitudes entre l’artiste et l’artisan : Comme le montre Alain, l’artiste dans la mesure où il travail la matière (la Pierre pour le sculpteur, les idées pour l’écrivain) peut être