La Logistique Des Firmes Multinationales

(a compléter en cour) Les facteurs et les processus * Interdépendance des économies (effet papillon) * Mutation du CI évoluant de l’échange de biens à l’échange de l’information et capitaux * Système de transport dont plate-forme logistiques et intermodalité des conteneurs. * Levée des obstacles tarifaires (GATT – accord général sur les tarifs douaniers et le commerce – 23 pays en 1947 – Doha depuis 2001) Les formules stratégiques Adaptation à la conjoncture par des alliances

IDE ET PRINCIPALES THEORIES EXPLICATIVES INTRODUCTION Chapitre 1 : IDE dans le monde SECTION 1 : Evolution de l'IDE dans le monde SECTION 2 : Facteurs de croissance de l'IDE dans le monde A. B. C. D. Les opérations de fusions-acquisition Les multinationales cherchant à diversifier leurs sites de production Privatisations L intégration régionale . ...7 ..9 .10 ..14 .14 14 ...15 15 ..18 18 ..22 .27 .27 .27 ..29 .30 .30 ...30 .. 31 .32 . .33 ..34 Chapitre 2 : IDE au Maroc SECTION 1 : Flux d'IDE au

observateurs à conclure que les acquisitions sont souvent des échecs pour les acheteurs. L’angoisse qui nous anime en abordant ce thème se résume en deux questions suivantes : 1. la dynamique de la fusion acquisition peut elle restructurer les firmes multinationales ? 2. L’Afrique est elle impliquée dans cette dynamique ? Nous allons tenter à travers ces quelques lignes répondre à ces deux préoccupations en vue d’éclairer nos lecteurs. ¹ Merdassi Ghaieth et Berrached Khawla, Les fusions acquisitions

PME : cas de l’accord Danone Djurdjura Algérie - Montpellier : CIHEAM-IAMM, 2006 – 121 p. (thèse Master of Science, IAMM, 2005, Série Thèses et Masters n°79) Résumé : L’objet de ce travail est d’analyser les alliances stratégiques entre des firmes multinationales et des PME. Il a été illustré par l’étude du cas de l’accord entre Danone et Djurdjura en Algérie. Après avoir examiné la configuration de l’accord, nous nous sommes intéressés aux motivations des partenaires et au déroulement des négociations

complexes imbriquées qui constituent l'organisation. La chaîne de valeurSommaire [masquer] 1 Enjeux d'une chaîne de valeur 2 Caractéristiques d'une chaîne de valeur 2.1 Les différents segments d’une filière 2.2 Le poids des groupes multinationaux 2.3 La répartition spatiale de la production 3 Les logiques spatiales de l’économie 3.1 Concentration des activités et logiques cumulatives 3.2 Spécialisation ou Diversification des espaces 3.3 Les relations entre les territoires d’une

- Robertet CA 2002: 0.217 milliards $ - Rush, Gucci Les acteurs du marché : Les marques Concentration des marques en groupe multi-axes Dans le domaine du sélectif, les PME sont dominantes mais ce sont les marques détenues par les firmes multinationales qui sont leaders. Top 25 Total Marché France (en valeur, cumul janvier – aout 2002 ) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 Christian Dior Lancôme Chanel Clarins Guerlain Yves Saint Laurent Estée Lauder Sisley Clinique Mugler Kenzo 12 13 14 16

on tend vers une entreprise virtuelle. Le métier de cette entreprise serait sa capacité à mettre en relation ses partenaires en vue de concevoir, produire et distribuer les produits. Une entreprise réseau regroupe contractuellement un ensemble de firmes juridiquement indépendantes reliées verticalement au sein duquel une firme principale, qualifié de firme pivot, noyau ou d’agence centrale, coordonne de manière récurrente des opérations d’approvisionnement, de production et de distribution. L’entreprise

varie dans le temps et dans l’espace. Parmi les entreprises qui sont loin d’être anodine comme Fiat par exemple, produisent aussi des normes, des croyances… on a des entreprises qui ont un pouvoir structurant très important qui sont les firmes multinationales qui créent des filiales de productions à l’étranger. Elles exportent des croyances, des normes, des conventions… vers un territoire d’accueil qui va l’affecter. Une entreprise est autre chose qu’une fonction de production, il y a des choses

l’oligarchie mondiale de l’eau et le contrôle des agences de l’eau par le politique, le lobby agricole ou certaines multinationales. De l’autre, les multinationales de l’eau ainsi que les agences d’aide, notamment la Banque mondiale, mettent en avant l’efficacité et la rentabilité de la gestion d’activités très capitalistiques. Les multinationales capables d’apporter la logistique et le savoir-faire ont subi de nombreux revers dus largement aux crises nationales sur lesquelles elles avaient peu de

p 178-179). Agri fr : première place euro (surtout céréales, élevages et prod à forte VA). 5ème exportatrice mondiale de prod agri. Présence filière agro-alim modernisée, intégrant prod I (engrais) et banque (amont) et transfo, logistique et distribution (aval). Firmes transnationales comme Limagrain, Danone, Doux,… (4 p 167, 4 p 173) Place modeste dans éco : 4%PIB en 1980, 1,8% auj. I agro-alim = 1,6% PIB Rôle majeur export : 9 Milliards de bénéf, vers Euro et Am du Nord (vins, fromage) et Af/MO