La Loi Expression De La Volonté General Rousseau

une loi universelle par leur propre volonté ou d’adopter des maximes qui sont valides parce qu’elles le sont pour tous les autres individus rationnels. Selon Kant, dans les Fondements de la métaphysique des mœurs, une loi moralement juste ou correcte doit être capable de résister à l’épreuve d’universalisation. Elle se présente sous la forme d’un impératif catégorique qui s’énonce ainsi : « Agis uniquement d’après la maxime qui fait que tu puisses vouloir en même temps qu’elle devienne une loi universelle

laïque, on a tendance a oublier l’importance du religieux) Ligne médiane = ligne terrestre, celle qui relie ttes les parties/provinces de l’empire. Mais la chine était plus universaliste que l’on ne le pense c’est ce qui relie l’humanité à l’hô en général. Troisième niveau = niveau souterraininconscient/ parfois même le niveau infernal. La croyance allant dessous détermine les comportements de l’ordre dessus. Cultures apparaissant très éclatées ont un niveau (qui n’apparaît pas clairement), où elles

1799 : la phase révolutionnaire. Période pendant laquelle lʼorgane législatif est lʼorgane suprême. Les chambres détiennent le pouvoir. Elles décident de la politique. Légicentrisme à son apogée. Une seule source du droit : la loi, étant lʼexpression de la volonté générale. Pendant cette phase différents régime po : monarchie, la république. 2eme période: va renverser la situation, la phase césarienne/ césariste. Cʼest la période napoléonienne. Revanche du pouvoir exécutif sur le pouvoir législatif

question sociale  1. La question politique et institutionnelle : la Révolution Française avait nourrit des débats mais c’est la IIIème République qui a offert des réponses parfois indépassables à l’ordre nationale, y compris à l’heure européenne. La volonté de trouver un ordre démocratique, d’avoir un suffrage universel : celui ci est devenu banal avec la IIIème république. C’est l’idée que les masses est un enjeu politique sur la scène politique nationale : il n’y aura plus de révolutions violentes

Définitions • loi : 1. (Juridique) Prescription promulguée par l'autorité souveraine d'un pays et dont la transgression est poursuivie ; synonyme de loi positive ; par analogie, lois divines : décrets supposés émaner de la volonté divine et gouvernant tant la nature que les actions humaines. 2. Par ext., règle suivie avec une certaine régularité dans une société, et dont la transgression est considérée comme une faute, même si elle n'est pas obligatoirement suivie de sanctions : les lois de l'honneur

pays de droit écrit. Le droit est codifié. La jurisprudence en Fr comme ailleurs une importance considérable, certains auteurs se demandent si elle est source de droit comme dans les autres pays. —> loi du précédent est appliquée, due à une obligation morale des sources inférieures d’appliquer la loi → Le droit privé, a pour objet de déterminer les statuts des personnes privées (individus, nous) et morales (entreprises…) et de réglementer les rapports de ces personnes entres elles. La branche

législatifs (faire les lois), exécutif (faire appliquer les lois) et judiciaire (appliquer la justice). Et de quelle liberté parle-t-on ? On prend ici la liberté au sens politique, c’est-à-dire pouvoir faire tout ce qu’on veut dans les limites de la loi, du droit. Mais, qu’es est-il de la liberté des autres ? On peut donc penser que recourir à la justice pourrait réduire la liberté d’autrui. La liberté est-elle contrainte par l’État ? Le problème se pose donc par rapport à ceci. Si l’État fait obstacle

 » une sorte d’accord générale là-dessus pour vivre ensemble, doit être réalisée afin de décider de ces choix pour faire face à ces difficultés. Ce constat de la nécessité de faire des choix implique l’existence d’un pouvoir, d’une autorité chargé de prendre les décisions. Il est qualifié de politique lorsqu’il s’applique à une communauté autonome d’individus, donc de la cité grecque à aujourd’hui. Ainsi, les exigences sociales, notamment la définition de l’intérêt général, qui est sa nécessaire

du droit édictées selon la constitution sont étatiques tout comme celle-ci. Les normes du système juridique : • CONSTITUTION • LOI • REGLEMENT [ Problème de régression à l'infini, les normes supérieurs sont les thématiques des normes inférieurs. Où sont les limites?] → Il y a ainsi une norme suprême, la CONSTITUTION (le règlement est conforme à la loi qui est elle-même conforme à la constitution). La validité est selon la constitution qui se voit être la limite supérieure. La constitution

politique a été créé par Dieu pour satisfaire ses créatures, sauf que cet accord cesse lorsque auteurs vont considérer que le prince ou le monarque est un représentant de Dieu sur terre, et d’autre vont considérer que le monarque gouverne contre la volonté de dieu. L’Eglise chrétienne va montrer une certaine préférence à la monarchie, alors que des auteurs comment Saint Augustin, Saint Thomas d’Aquin (13eme siècle) manifestent une certaine souplesse, donc si le pouvoir politique est divin, dieu a