La Loi Peut Elle Etre Injuste

d’obéissance à leur égard et a droit d’user du commun recours que Dieu a destiné pour tous les hommes, contre la force et la violence. […] Certes, ces Messieurs peuvent bien estimer que cette thèse ne peut que provoquer des guerres civiles, ou détruire la paix dans le monde et que par conséquent elle ne doit être ni approuvée ni admise. Mais alors, à partir de ce même principe, ils doivent admettre que les honnêtes gens ne doivent pas s’opposer aux voleurs et aux pirates, parce que cela pourrait donner occasion

fidèlement,  à  partir  des  témoignages  intégraux2 dont nous disposons (Platon, Xénophon, Aristophane et Aristote), les grandes positions philosophiques du Socrate de l’histoire, il n’en demeure pas moins qu’une exégèse comparative de ces textes peut considérablement aider à notre compréhension dans la mesure où elle vient participer à une représentation philosophiquement cohérente de la figure de Socrate. Or, c’est dans cette perspective que  voudrait s’insérer ce texte. Sans aborder le problème

Suffit-il pour être juste d’obéir aux lois et aux coutumes de son pays ? Cette question pose de nombreux problèmes. Premièrement, parlons nous ici de lois au sens des Nomoï grecques, c’est-à-dire à la fois lois positives, lois intérieures, et valeurs ? Parlons noux bien de coutumes au sens d’éducation ou des mœurs, des manières, des habitudes sociales, des conduites valorisées ou des modèles ? Ces lois, ces coutumes suffisent-elles pour définir la justice ? Deuxièmement, n'est-ce pas contraire

à savoir  en promulguant  une loi qui exhorterait  à désobéir ? Une telle  loi  devrait  s’excepter de la  prescription  qu’elle  formule.  D’autre  part,  on  peut  sérieusement  se  demander  si  la  désobéissance  peut  bénéficier  d’une  caution  sociale,  voire  politique.  Afin  d’aller  plus  loin   dans  ce  questionnement,   nous  diviserons notre réflexion en trois moments bien identifiables.  Dans  un  premier  temps  nous  verrons  si  la  désobéissance  peut  être critiquable  en  tant  qu’elle est 

- Es que la loi est toujours juste I) La naissance du politique. *Qu’es que la politique ? Le politique au masculin nous surprend un peu, puisque la langue courant emploi d’avantage le féminin. Le politique est largement premier a la politique c’est son fondement. Le politique c’est l’espace publique à l’intérieur du quelle on peut exercer la politique

En ce sens, pour être pleinement libre, il faudrait échapper à toute loi. Cela nous le verrons, ne peut être complètement vrai. C’est pour cela, que nous pouvons nous demander si être libre, est-ce n’obéir à aucune loi ? Pour réfléchir à cette question, nous Nous pourrions alors nous demander comment concilier la liberté et l’existence d’un certain nombre d’obligation ? Ou encore pouvons-nous nous demander si quel que soit la loi, est-ce que l’obéissance de ces lois doit être pensée sous forme

NOTE Commencez la rédaction de votre travail à la page suivante. Premier Cas 1) Un dénonciateur divise la communauté de la sécurité des technologies de l’information Question 1 a) M. Lynn est avant tout un être rationnel pouvant être capable de raisonner et de différencier le bien du mal. Avant de défendre ou de critiquer les agissements de Lynn, il faut tout d’abord comprendre ce que signifie le concept de l’éthique. Celle-ci permet à l’être humain d’être en accord

le terme de « {text:bookmark-start} {text:bookmark-end} société démocratique » renvoie à une certaine conception de l’égalité entre les individus. Trois formes d’égalité : Egalité des droits : tous les hommes sont égaux devant la loi, celle-ci étant la même pour tous. Egalité des chances : la situation acquise par un individu ne dépend pas de celle de ses parents. Egalité des situations : suppression de toute forme d’inégalité et donc répartition uniforme des

Est-ce que la Justice équivaut au Droit ? - Est-ce que la Justice fait partie du Droit ? - Ou encore est-ce que c’est le Droit qui fait partie de la Justice ? - Est-ce une relation commutative ? Peut-on placer le Droit avant la Justice et vis versa ? - Peut-on par exemple inverser l’ordre et parler de « Justice et Droit » ? A notre humble avis, il nous semble opportun pour traiter un pareil sujet de commencer tout d’abord par poser un certain nombre de définitions

d’éclairer les débats et de mesurer l’efficacité des mesures qui sont choisies. Elle peut aussi mettre en lumière les avantages et les inconvénients des choix qui sont fait en matière de justice sociale. Par exemple, lorsque Différents penseurs proposent différentes conceptions de la justice sociale : - Pour Friedrich von Hayek par exemple, la justice sociale est « un mirage ». Aucune mesure des pouvoirs publics ne peut la garantir, il faut laisser faire les acteurs, ne pas intervenir et simplement