La Modalisation

de l’énonciation : les pronoms, les adjectifs possessifs de la première personne ;  disposer les indices de l’espace et du temps qui situent l’énoncé par rapport à celui qui parle (ici, demain, il y a mille ans..)  utiliser les procédés de modalisation : celui qui parle évalue ce qu’il dit en le situant dans le domaine du probable (il arrivera peut-être un jour que…), du souhaitable (si tous les pays du monde parvenaient à s’entendre..), du doute (il semble que ce ne soit pas pour aujourd’hui…)

voix en contraposition Pour la plupart, le texte est composé de dialogues entre les trois personnages : Henri et la couple de M. et Mme Vernet. Renard met en scène la voix des personnages eux-mêmes à travers le discours direct. Il s’agit d’une modalisation automatique que permet de citer fidèlement les paroles d’autrui et que comporte l’emploi de marqueurs définis (guillemets, tirets) et la présence de déictiques (« Qu’y a-t-il là ? » [ligne 5]). Dès lors, le discours direct est aussi utilisé pour

superlatifs, gradations, rythmes croissants) - Amples périodes - Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux Donner aux êtres, aux choses, aux événements une dimension qui les dépasse (héroïsation). Fantastique - Expression du doute (modalisation, interrogation) - Ruptures de la narration et jeux sur la focalisation - Champs lexicaux de la peur, de l’étrange, du monstrueux Susciter l’incertitude, le trouble, l’angoisse, la peur. Lyrique - Marques de la première personne (forte implication

superlatifs, gradations, rythmes croissants) - Amples périodes - Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux Donner aux êtres, aux choses, aux événements une dimension qui les dépasse (héroïsation). - Expression du doute (modalisation, Susciter l’incertitude, le Fantastique Faire rire ou sourire interrogation) - Ruptures de la narration et jeux sur la focalisation - Champs lexicaux de la peur, de l’étrange, du monstrueux trouble, l’angoisse, la peur.

 :     • Niveau  de  langue  :  familier,  courant,  soutenu,  vocabulaire  spécifique   • Procédés   de   style   (recours   au   discours   rapporté   direct,   indirect   ou   indirect   libre,   modalisations,   tournures  interrogatives,  exclamatives)   • Rythme  de  la  langue  (longueur  des  phrases,  nombreuses  subordonnées)     • Emploi   des   figures   de   style  :   hyperbole,   litote,   comparaison

mais seulement lié par le mariage «  en vingt paroles ». Le baiser que Jean lance à madame Rosémilly en la regardant, en passant par son reflet dans l’eau, est trouble, on ne peut pas savoir si le baiser tombe sur elle ou à coté , il y a une modalisation car le baiser « sembler » tomber sur elle donc il est sûrement en train de passer à côté. Maupassant utilise l’idée de deux visages, du double et des différences, comme dans certains passage, ou madame Rosémilly répond d’un « ton sérieux » alors

différents sens (vue, ouïe, goût, odorat, toucher) : - L'objectivité ou la subjectivité, l' évaluation éventuelle par le narrateur : ton choisi, champs lexicaux, connotations (termes valorisants / dévalorisants), figures de style ( métaphores...). - Modalisation : doute sur le degré de netteté ou de vérité. • L'alternance des passages narratifs et descriptifs. • Les indications temporelles (en cas d'évolution) Une description peut avoir une ou plusieurs fonctions : • Fonction décorative, purement ornementale

concret->caracterise roman Nom d'homme qui ont bien exister : Sade, Bonaparte.... b. Presence du narrateur -> attire lecteur dans le recit et lance l'histoire Enonciation => "c'est son histoire" "il s'appelait" Modalisation très forte => Description, "assurement" "a l'epoque dont nous parlons" "les modernes que nous sommes" "naturellement" * Narrateur très present. Prend l'histoire en charge, emmene sin lecteur dans recit qu'il presente comme historique

de son entourage (« Jean Audeau »), Rabelais se met en place comme le traducteur, les références de Pantagruel qui deviennent des points communs (« pantagruélisant » « pantégruéline »), la morale rabelaisienne (boire, plaisir, connaissances). Modalisation. L’auteur montre son respect pour l’Antiquité. Il fait une digression (l.24). II- L’auteur prend en charge la présentation de son personnage On apprend les circonstances de la découverte, que Gargantua est riche, très grand et le fait qu’il

de l’exploit, du merveilleux Donner aux êtres, aux choses, aux événements une dimension qui les dépasse (héroïsation). ____________________________________________________________ _______________ Fantastique - Expression du doute (modalisation, interrogation) - Ruptures de la narration et jeux sur la focalisation - Champs lexicaux de la peur, de l’étrange, du monstrueux Susciter l’incertitude, le trouble, l’angoisse, la peur. ____________________________________________________________