La Monnaie Chez L Ecole Classique

Section I : L'école classique et les réponses au classicisme I - Les classiques L'école classique marque vraiment l'avènement de l'économie moderne. La période classique commence avec le traité d’Adam Smith sur la Richesse des Nations en 1776 et se termine avec la publication en 1848 des Principes de John Stuart Mill. Cette pensée est historiquement développée en France et en Grande-Bretagne. C'est Karl Marx qui inventera le terme classique en opposant les économistes classiques aux économistes vulgaires

pour être maniable et pouvoir construire une interprétation du monde réel à partir de ce modèle. On construit une théorie à partir d'une hypothèse simple : les dirigeants des entreprises cherchent à maximiser leurs profits. FAUX : Il existe chez les dirigeants d'autres motivations que le profit, cf. les "entreprises citoyennes". Le problème de l'économiste n'est pas de savoir ce qui se passe dans la tête d'un dirigeant, mais de construire un modèle de comportement lui permettant d'expliquer

les européens s’enrichissent sans limite par tous les moyens. On voit apparaitre une idée économique par la doctrine. La finalité = action = accumulation d’or. A cette époque la philosophie de la vie est de vivre pour s’enrichir. L’abondance de monnaie (or & argent) constitue le but de l’état et de l’individu. Le cryso-ethonismes = le bonheur par l’or. Cette doctrine préconise d’avoir par tous les moyens la possession de métaux. La possession de métaux consiste à détenir une quantité la plus

QUANTITATIVISTE : Monnaie insignifiante 3 a. Origine de la théorie quantitative de la monnaie 3 b. La théorie quantitative d’Irving Fisher 4 c. L’analyse de l’école de Cambridge 5 II. L’ANALYSE KEYNESIENNE : Monnaie active 6 1. Le motif de transaction 6 2. Le motif de précaution 6 3. Le motif de spéculation 7 III. REACTIONS AUX ANALYSES KEYNESIENNES 9 A. L’ANALYSE DES MONETARISTES 9 B. LES NOUVEAUX CLASSIQUES 12 1) Les hypothèses des nouveaux classiques 12 2) La politique monétaire des nouveaux classiques 14 C

mondialisation èPlan 1er semestre chap 1 : introduction : objet de l'économie chap 2 méthodologie économique 2.1 quelques illusions constructivistes : détour par la phénoménologie 2.2 critères d'analyse et grilles de lecture en économie (classique, néoclassique, marxiste, keynésienne) Chap 3 : notion de la comptabilité nationale 3.1 : le crircuit économique 3.2 : le crircuit des agrégats 3.3 utilité et les limites de la comptabilité nationale èQu’est-ce que la science économique ?

J F Hochet Introduction……………………………………………………………………………………………………p2 -L’analyse néo- classique -La révolution marginaliste -Vision différentes des classiques -3 grandes écoles Chapitre 1. L’offre et la demande………………………………………………………………………p5 I. La fonction demande II. la fonction d’offre Chapitre 2. Les équilibres de marché et la théorie des prix en concurrence pure et parfaite.p9 I. Les hypothèses de la concurrence pure et parfaite II. Détermination du prix d’équilibre en concurrence

l’émergence du libéralisme, qui sont les économistes classiques, le courant néo classique, la critique marxiste. 1. L émergence du libéralisme : Les premiers économistes non libéraux sont les mercantilistes : ce sont les auteurs qui prônent l’intervention de l’état et l’activisme monétaire. Qu’est ce que l’activisme monétaire ? Permettre la circulation de la monnaie, la créer, restreindre la diffusion de la monnaie disponible : quand une monnaie est trop dispo, elle perd de sa valeur. La Chine

------------------------------------------------- École néoclassique Aller à :Navigation, rechercher  Pour les articles homonymes, voir Néoclassique. L'école néoclassique est un terme générique utilisé pour désigner plusieurs courants économiques qui étudient la formation des prix, de la production et de la distribution des revenus à travers le mécanisme d'offre et de demande sur un marché. L'hypothèse de maximisation de l'utilité qui sous-tend ses calculs économiques la rattachent au courant marginaliste né

comprendre la théorie comme un cheminement discontinu avec des retours en arrière des recompositions permanentes. » Blaug Sans Pigoux, pas de Keynes et sans Keynes, pas de Friedman. En dehors de l’HPE, impossible de comprendre que le monétarisme nie la monnaie. - « HPE est parfois considérée comme une boite à outils classée des économistes » (Robinson). - (Pierce) « l’expression du choix d’une communauté très hiérarchisée ». - « Un marché d’idées plus ou moins parfait» (Anderson et Tollison) .

de la maison. Ce sont les philosophes qui traitent de l’économie, il n’y a pas d’économiste. Ce n’est pas un domaine fondamental contraire à la polis c’est-à-dire la politique. Les écrits grecs sont intéressants et percutants ce qui n’est pas le cas chez les Romains. . Scolastique et économie du Moyen-âge Installation féodale, une partie des écrits antiques a disparu. A la même époque s’est développée une culture arabe qui a conservé ces écrits. Pas d’économistes en tant que tels. Les