La Mort De Tarrou

développer un vaccin contre la maladie. Raymond Rambert : journaliste parisien faisant tout son possible pour quitter la ville, car il veut rejoindre la femme qu'il aime. Il abandonne cependant ses projets d'évasion et aide Rieux dans son labeur. Jean Tarrou : double de Rieux, fils d’un procureur et étranger à la ville, il tient dans ses carnets sa propre chronique de l’épidémie avec toute la lucidité de l'homme absurde, s'étant rapproché de Cottard. Lui ne croit qu’en l’homme, son unique morale est la

bâclés, puis supprimés ; transport des cadavres dans des tramways, vers des crématoires en dehors de la ville. 2. La mort • La maladie est généralement suivie de mort. Celle-ci est décrite en tableaux poignants, qui vont crescendo : celle du concierge, puis celle du chanteur (qui joue Orphée). À l'épisode révoltant de la mort d'un enfant succède celle d'un prêtre puis celle de Jean Tarrou, l'un des principaux personnages. 3. La séparation, l'exil et la solitude • La ville pestiférée est coupée du monde

d’abord, le mal physique est très présent dans ce roman. Principalement à travers la maladie (et donc la mort) qui décime la population d’Oran. Dès les 30 premières pages, la notion de douleur est très bien décrite avec les ganglions durs et gonflés. Jusqu'à la fin du roman et la mort de Tarrou, ce mal physique reste très présent. Par exemple, le passage (à la page 291 du livre) où Camus décrit la mort de l’ami du docteur. Il décrit la douleur très précisément. « …à cracher du sang » ou bien « les ganglions

paragraphe, Tarrou, le personnage atteint par la peste est entre la vie et la mort et l’affronte physiquement, ligne 2 «Il commença à cracher du sang.» et ligne 6 «Ses yeux s’ouvrirent de moins en moins souvent.», Le champ lexical de la souffrance nous le précise également : «enfler» ; «durs» ; «vissés» ; «l’orage qui secouait ce corps» ; «mal surhumain». Il affronte la mort avec le soutien de ses amis, notamment le médecin Rieux. Dans le second paragraphe, Rieux, lui affronte la mort de son ami

tout juste évoqué dans la première partie. Par pudeur, par souci de ne pas révéler son identité, par son refus de toute complaisance narcissique, le narrateur ne se décrit même pas lui-même mais se contente de reproduire quelques lignes du carnet de Tarrou. C’est avec la même pudeur qu’il nous dévoile sa sensibilité, mais son portrait affectif s’enrichit de tout ce qu’il révèle involontairement de lui-même. Son action contre le fléau se fonde sur une énergie farouche et de grandes qualités intellectuelles

moment où l’épidémie de peste est entrée dans une phase de régression. L’œuvre peut être dite, jusque là, étouffante. La peste obsède les esprits, tue; mais cet extrait relate un moment d’apaisement, après la mort de l‘enfant, un moment où la peste semble oubliée: au nom de l’amitié, Tarrou propose à Rieux de prendre un bain de mer. Il s’agit d’un appel de la vie, d’un retour à la vie pour ces deux personnages qui ne cessent de lutter contre l’horreur de l’épidémie.   Lecture.  Nous  nous

neutre où tt pt arriver vise à faire ressortir l’intrusion de l’absurde cad la maladie et la mort. Avt d’être prisonniers de la peste, les hbts le sont de leurs habitudes.la description réaliste a pr fonction de préparer la suite du récit. b/ Une ville commerçante tournée vers le profit, les affaires, l’argent et pour cette raison symbole d’une modernité médiocre, sans idéal qui méconnaît l’amour et la mort .la description du mode de vie des habitants relève de la dimension satirique d’un roman- pamphlet 

Les personnages | Leurs évolutions | Dr Bernard Rieux | Décrouvit un rat mort sur son pallier, le soir meme il voit un rat en train d'agoniser, il commenca son enquete sur les rats morts, sa mère arriva, départ de sa femme, dicussion avec m. othon, le journaliste, jean, partout ou il va il voit des rats morts, il revient voir le concièrge ilobtient la convocation à la prefecture d'une commission sanitaire, besoin de chaleur humaine | M, Michel, le concierge | Au début il

sens à leurs vies. Le narrateur qui ne dévoile pas son identité explique qu'il tire ses informations de différentes sources. Il utilise son témoignage personnelle (ce qui affirme qu'il est l'un des acteur du roman), ceux d'autres victimes de la mort noire ainsi que de nombreux manuscrits qui lui sont tombé entre les mains. Le médecin Rieux découvre des rats morts dans les rues, d'abord en petit nombre mais ils sont de plus en plus nombreux. Cette évolution est progressive mais flagrante. Tous

qu’il suit dans son quotidien de médecin. Le narrateur retrace alors les évènements de l’installation de la maladie : d’abord, quelques rats sont retrouvés morts devant l’immeuble du médecin ; le concierge soupçonne quelques garnements. Ensuite, la mort des rats se fait de plus en plus fréquente, jusqu’à atteindre des milliers de cadavres quelques jours plus tard. Alors, l’inquiétude commence à se propager, le lecteur sent que Rieux commence à se douter de quelque chose : les conditions sanitaires