La Mort De Tarrou

C. Statut particulier du narrateur

 - Distance étonnante du narrateur, qui parle de lui à la troisième personne : « Il se trouve que le narrateur, appelé ailleurs, ne les a pas connus. Et c’est pourquoi il ne peut citer ici que le témoignage de Tarrou. » => Stratégie littéraire qui consiste à s’appuyer sur un témoignage d’un personnage de l’histoire pour rendre les faits évoqués plus vrais.
 - Présence d’ironie qui montre sa prise de position : modalisateurs d’opinion (« naturellement », « A les

l’epidemie, aucun dialogue n’est retranscrit : la violence du fleau semble reduire au silence la population. - Devant les affrosites de la peste, tous les habitants sont ecrases par ce qu’ils voient et souffrent en silence, seuls : mort de l’enfant Othon, les yeux de Tarrou et de Rieux qui se fuient et Rieux qui « ouvrit la bouche mais il se tut » (page 218). - Avec la fin de la peste, les conversations reprennent : « Ce fait nouveau etait sur toutes les bouches » (page 271) - L’ouverture

peine de mort. Dans L'échafaud de Victor Hugo, on a l'image de la guillotine après une exécution capitale, l échafaud deviens un monstre sanguinaire grâce à de nombreux adjectifs ( hideux,.. ) ou à des images ( miroir effrois,.. ) donc la condamnation est implicite. De plus il exploit les ressources du vers,par exemple la musicalité avec les assonances en "ou" mais encore des allitérations en "t". Dans la Peste, Tarrou assiste à un procès dans lequel un homme est condamné à mort, il a honte

|le toit 2h |texte et image 1h |les 2 prêches du Père Paneloux. |Devoir :type 1 et 2 au | | | | | | |la mort de Tarrou : 5° partie p |Comment manifester |choix | | | | | | |261-262 1h |cinématographiquement

rats agonisé. Un enfant du juge Othon est malade. Cet extrait du texte relate les derniers instants de l'enfant. Il est accompagné de Tarou, du père Panouloux et des docteurs Rieux et Castel. Problematique: Comment la description boulversante de la mort d'un enfant amène un conflit d'idées qui sera depassé par une valeur superieur ? (la solidarité) I/Une description pathétique marquée par une dramatisation progressive: 1)La dramatisation progressive: Par le jeu des temporalités: Emplois des complements

peuvent plaire au lecteur. a. L’intrigue, l’histoire, des choix narratifs originaux : le récit peut être énigmatique ou original. Il suscite la curiosité du lecteur, indépendamment de la présence du personnage principal. (ex : choix de la mort comme narratrice dans La Voleuse de Livres de Markus Zusak, choix du langage populaire dans L’Assommoir de Zola ou Voyage au bout de la Nuit de Céline) b. La vision du monde que fait passer le roman : en choisissant d’insérer ses personnages

Chronologie des événements chapitre 1 et 2 L’histoire se passe a Oran, le docteur Rieux découvre le cadavre d’un rat sur son palier. Le concierge, monsieur Michel, pense que ce n’est qu’une blague et que des enfants s’amuse a déposer des rats mort dans son immeuble A midi, Rieux accompagne à la gare son épouse qui est malade et qui part se soigner dans une ville voisine. Quelques jours plus tard, une agence de presse annonce que plus de six mille rats ont été ramassés le jour même. L’angoisse

Un monde masculin Les personnages féminins sont présents seulement sur le mode l'évocation: la femme de Rieux l'ancienne épouse de Grand, la compagne de Rambert, la mère de Rieux. Les personnages masculins sont omniprésents: Bernard Rieux, Jean Tarrou, Joseph Grand, Raymond Rambert, Cottard, le père Paneloux, le juge Othon. Ce parti pris donne au roman une tonalité dure, implacable. On peut se demander si l'auteur ne voit pas le Mal se développer surtout par les hommes et leur attitude. Ces

désigner par existentialiste, toute question « existentielle » qui place l'homme, son devenir ou ses origines au centre des réflexions, par exemple avec sa mort. Le père Paneloux croit que la peste est un châtiment divin, Dieu puni les Hommes de leurs péchés, ce qu’il va d’ailleurs annoncer lors d’un premier prêche. Or lorsqu’il assiste à la mort d’un innocent, le fils du juge Othon, il remet en cause sa foi, basée sur le fait que Dieu ne punit que ceux qui se détourne de lui ou qui commettent des

peut-être plus que l’amour de l’idée de liberté. En temps de guerre, la violence ne doit pas, selon Camus, exclure le droit à des pauses sentimentales. Selon l’auteur, il ne fallait pas s’interdire de vivre, même en des temps obscures. (cf. La Peste : Tarrou et Rieux iront se baigner et profiteront de cette pause amicale, alors même que la peste a fait déjà périr la moitié de la ville) Conclusion : Dans cette scène, l’émotion est à son paroxysme : Dora et Kaliayev (qu’elle nomme Yanek) sont tous deux