La Motion De Censure Moyen De Controle Parlementaire

processus constituant. II- La loi Constitutionnelle du 3 juin 1958 et la mise en place des institutions de la 5e république. A- La loi constitutionnelle du 3 juin 1958 et le processus d’élaboration de la constitution du 4 octobre 1958. Les parlementaires ont réglé de manière précise la manière dont le général De Gaulle accomplira sa mission constituante. Cette loi pose des règles de forme mais aussi des règles de fond. La loi du 3 juin 1958 confie au gouvernement du général De Gaulle la préparation

Bayeux (16 juin 1946) ; élection du Président de la République par un collège le plus large possible ; nomination discrétionnaire du PM par le président de la République ; président arbitre ; art. 16  Michel Debré : rationalisation du régime parlementaire : délimitation domaine de la loi/domaine du règlement ; travail des assemblées sous la direction du gouvernement ; non-cumul des mandats  Guy Mollet et Pierre Pflimlin (ministres de De Gaulle) : mécanismes pour limiter les risques d’instabilité

- Parlementaire ↘ Séparation souple des pouvoirs ↘ Responsabilité du gouvernement devant les chambres ↘ Responsabilité des chambres devant l’exécutif  Armes dont disposent : Dissolution (art 12 ) / Motion de censure (art 49-1 2 3 4) De plus, Exécutif  bicéphale (deux têtes) (≠ Bicamérisme : deux chambres)  Collaboration des pouvoirs Ø exécutif / législatif ↘ Lorsque exécutif participe aux compétences réservées à législatif Ex : Art 39  initiative des lois : parlement / exécutif

CONSTITUTIONNELLES DEPUIS 1958 § 1. - La pratique de la révision § 2. - La procédure de révision A. Révision à l’initiative des parlementaires B. Révision à l’initiative du pouvoir exécutif C. Révision obtenue par l’utilisation de l’article 11 § 3. - La constitutionnalité de la révision CHAPITRE 2 : Normes de référence et hiérarchie des normes sous la Vème République Section I. LE CONTROLE DE CONSTITUTIONNALITE CREATEUR DE DROIT § 1. - Le Conseil constitutionnel A. Statut et composition B. Compétence et saisine

DISSERTATION Pourquoi la rationalisation du régime parlementaire de la IVème République a-t-elle échoué ? Intervention de M. Paul Reynaud à l'Assemblée nationale constituante, 28 septembre 1946 : « Le minimum que le peuple français a le droit d'exiger d'une Constitution nouvelle, c'est de ne pas y retrouver les tares du régime d'avant la guerre… » http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/histoire1946.asp RATIONALISATION : Expression élaborée par le doyen Boris MIRKINEGUETZEVITCH

cette assemblée et démissionne le 20 janvier 1946. Il dit « Il y a deux conceptions non conciliables : veut-on un gouvernement qui gouverne ou bien veut-on une assemblée omniprésente désignant un gouvernement pour accomplir ses volontés ? ». Les parlementaires ne veulent pas d’un gouvernement qui gouverne, ils s’opposent à la conception gaullienne et élaborent un premier projet de constitution le 15 avril 1946, dans la droite ligne de la loi du 2 novembre 1945 c’est-à-dire le régime d’assemblée, une

nation qui l'exerce par l'intermédiaire des représentants que celle-ci choisit. Cette conception érigée lors de la Révolution s'illustre réellement dans les constitutions de 1791 et 1795. Cependant de 1789 à aujourd'hui la place de l'institution parlementaire n'a pas arrêté d'évoluer selon les périodes et les époques historiques. Ainsi l'Assemblée Nationale a commencé à exister depuis 1792 avec l’instauration de la I ére République, sous le nom de Convention nationale. Cependant durant la I ére République

constituant et le pouv constitués. Le pouv constituant est à part et dc doit etre éxercé par une assemblé à part élue et la constit doit etre ratifiée par le peuple. Les juges peuvent sanctionnés la constit si la loi est jugé contraire à la constit c le contrôle de constitutionnalité L’apport de la révo amé : la constit est un doc écrit Elle est élaborée par une assemblée spécialement élue investie du pouv constituant La constit est soumise à une ratification du peuple La constit est sanctionné par

PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE. La primauté du chef de l’Etat est un signe distinctif de la Vème république car il est élu par la nation toute entière. Il a une autorité plus importante car il est chef d’Etat, chef du gouvernement, chef de la majorité parlementaire et chef de la guerre. Tout ceci en temps normal A- La désignation du président. Article 6 de la constitution : « Le président de la république est élu pour 5 ans au suffrage universel direct. Les modalités d’application du présent article

dans son ensemble, peut ponctuellement détenir une part du pouvoir législatif lorsque sont organisés des référendums (un vote par lequel les citoyens d'un pays peuvent approuver ou rejeter une proposition). Le pouvoir judiciaire a pour mission de contrôler l'application de la loi, de l'interpréter en examinant la concordance entre une situation concrète et la loi en elle-même, de sanctionner son non respect. Il arbitre les litiges qui lui sont soumis relativement à l'application de la loi.
Il est constitué