La Multinationalisation Des Firmes Et Recherche De Compétitivité

trouver des débouchés hors du territoire national. On observe aujourd’hui deux faits nouveaux qui sont tous d’abord, que la mondialisation ne concerne plus uniquement les firmes multinationales mais également les petites et moyennes entreprises, surtout dans les secteurs de hautes technologies et l’internationalisation de la recherche et développement. Ces deux faits se traduisent alors par l’élaboration de nouvelles stratégies internationales. La stratégie est une combinaison d’objectif que s’efforce

remarqué 1 LA NOUVELLE DIVISION INTERNATIONALE DU TRAVAIL 11/12/2013 qu’« on fait plus et mieux et plus aisément, lorsque chacun ne fait qu’une chose, celle à laquelle il est propre ». On peut aussi parler d’Adam SMITH qui a écrit en 1776 dans ses Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations : « Dans chaque art, la division du travail, aussi loin qu’elle peut y être portée, donne lieu à un accroissement proportionnel dans la puissance productive du travail. » dès lors, La division

succession d’étapes logiques Quand on parle de mondialisation, il faut savoir qu’il n’existe pas une définition qui soit admise par tout le monde. On entend parler de plusieurs choses, comme l’internationalisation, multinationalisation, globalisation. Internationalisation et multinationalisation L’internationalisation a souvent été confondue avec l’accès à la mondialisation alors qu’elle n’en est que le stade préliminaire. L’internationalisation se définit, comme la mondialisation, par une ouverture

GESTION DES RESSOURCES HUMAINES ET PME INTERNATIONALES : UNE PROBLEMATIQUE DE RECHERCHE Christine CHEYLAND-HACCURIA* Étudiante en thèse - Convention CIFRE RÉSUMÉ Cette communication se propose d'explorer les liens entre le développement international et les pratiques de gestion des ressources humaines (GRH) en petites et moyennes entreprises (PME). L'engagement international représente pour les PME un enjeu important et suppose la mise en place d'une stratégie. Ces petites entreprises sont de

environ 3 fois supérieur du TCAM de la production mondial ce qui traduit bien une accélération des échanges. Doc. 5 p 296 Q1 La mondialisation se définit comme processus d’intégration de l’économie lié au dvlpt des échanges à la multinationalisation des firmes et l’interconnections des marchés financiers. Internationalisation est un phénomène plus restreint qui consiste en un élargissement du champ d’activité dune éco au delas du territoire national. Synthèse : La mondialisation est

organisatrices d’une nouvelle forme de spécialisation (recherche de main d’œuvre bon marché…) C’est pour cela que la plupart des échanges intrabranches correspondent à des échanges intrafirmes. La croissance des flux intrafirmes : Intrafirme : circulation de produits entre les filiales d’une FMN ou à la maison mère (résultent du choix de la délocalisation). . La croissance des flux intrafirme va suivre celle de la multinationalisation croissante des firmes.  La circulation intrafirme horizontale

7 : Quels sont les fondements du commerce international et de l'internationalisation de la production ? Notions : Avantage comparatif, dotation factorielle, libre-échange et protectionnisme, commerce intra-firme, compétitivité prix et hors prix, délocalisation, externalisation, firmes multinationales, spécialisation. En partant d’une présentation stylisée des évolutions du commerce mondial et en faisant référence à la notion d’avantage comparatif, on s’interrogera sur les déterminants des échanges

organisationnel………………….14 ❖ La rivalité / association …………………………………………14 La typologie des alliances stratégiques…..……………… Les partenariats entre firmes non concurrentes ❖ Les joint-ventures de multinationalisation……………………16 ❖ Les partenariaux verticaux …………………………………….26 ❖ Les accords intersectoriels……………………………………..36 Les alliances entre firmes concurrentes ❖ Les alliances pseudo- concentration…………………………...43 ❖ Les alliances complémentaires…………………………………55 ❖ Les alliances de co-intégration…………………………………61

croissance externe, poursuivre la diversification en hors domicile et à l’international (business strategy). - Accélérer sa stratégie commerciale (prix accessible, innovation, marque forte, écoute des consommateurs)..., continuer à améliorer sa compétitivité pour gagner en productivité (operation strategy) Nous développerons les niveaux 1 et 2 de cette démarche stratégique (le corporate et le business). Le niveau 3 (opérations) renvoie plus spécifiquement au marketing opérationnel qui traduit sur

un 1er temps des objectifs stratégiques ayant un impact important sur la vie de l’entreprise. Ensuite, elle va adopter des décisions tactiques consistant à s’adapter aux évolutions de l’environnement. 1. La rentabilité : La finalité de recherche du profit se traduit dans les objectifs de taux de rentabilité des capitaux propres assignés aux divers centres de profits. Le responsable de l’unité concernée va devoir répondre à un objectif de rentabilité qui se décompose en sous-objectifs relatifs