La Métaphore

que porte parole, il se doit de faire part de l'urgence de son message, grâce à l'ordre"écoutez", à l'impératif. c) Guide et bâtisseur Le poète a tout d'abord une fonction de "pasteur" employé ici dans son deuxième sens, celui de guide. La métaphore dans les deux derniers vers du poème, "La poésie est l'étoile/Qui mène à Dieu rois et pasteurs", montre son statut de guide. Ainsi il va mener les hommes à travers l'obscurité jusqu'au savoir, comme le montrent les mots "votre nuit (...) complète"

l’autre : rivalité entre la femme et de l’aurore -comparaison femme- nature. Comme dans la tradition grecque, tous les poèmes sont construits sur des métaphore. II-Evocation métaphorique 1)Fuite de la nuit -la nuit est assimilée à une bergère avec une métaphore filée -la nuit rassemble les étoiles dispersées dans les pâturages du ciel : métaphore du troupeau -sensation de mouvement avec l’enjambement entre le vers 1 et 2 et donne de l’ampleur à l’action. Emploi de l’imparfait pour une idée

SENGHOR Commentaire littéraire  I- L’hommage à la femme a) La femme noire à différents moments de la vie Vers 3 : Mère et enfant. Vers 6 : Jeune fille : éveil de l’amour. L’indicatif présent est opposé au passé. La foudre (« foudroie ») est une métaphore réitérée par l’« éclair ». Le poète est dans le chaos : « tonnerre » : allitération en [T]. La femme est la savane, elle frémit, gronde (personnification de la savane) : « savane ; femme ; tamtam ». Allitérations en [F] et [V] pour le souffle. A

argumentatives (logos) dans le sens où elles peuvent permettre d’exposer un argument en le condensant, en le rendant plus frappant. Exemple de la phrase de Marx : “la religion est l’opium du peuple”. Il s’agit d’un argument exprimé par une métaphore, et qui vise une première conclusion : « c’est-à-dire un moyen de maintenir les foules tranquilles en endormant artificiellement leurs souffrances, en abolissant leur sens critique et leur pouvoir d’action » ; la conclusion ultime qui est visée par

à répéter ce qu’il a ingurgité. La métaphore de l’oie que l’on gave avec le verbe à connotation péjorative «  on ne cesse de criailler à nos oreilles comme si l’on versait dans un entonnoir, » et la négation restrictive « ce n’est que redire ce qu’on nous a dit », ainsi que l’injonction « qu’il ne lui demande pas seulement de lui répéter les mots de sa leçon » suggèrent qu’on ne demande à l’enseigné que de rabâcher un savoir qui vient d’en haut. La métaphore alimentaire est reprise avec l’affirmation

gelée le long des parois d'un bocal de verre et je vitupère contre mes essais éphémères mon tempérament affreusement velléitaire et ce teint d'albâtre qui n'est pas le mien comme je voudrais qu'il fût d'albâtre ou d'ébène ou autrement même sans métaphore mais au moins qu'il ait quelque tenue que mon visage sans retenue puisse soudain passer pour un tissu une pierre un songe soit en quelque sorte un tableau fasse tableau mais ce n'est pas le cas même ce mot albâtre jeté au visage jeté tout à trac

monde à travers la Clio. Métaphore avec Evian et la fleur. Métaphore qui utilise un cliché. La femme est remplacée par la fleur. Toute les caractéristiques que la fleur : fragilité, élégance = attribué à la femme via la fleur donc métaphore, fleur substitué à la femme. Métaphore contrairement à la métonymie ne substitue pas dans un rapport logique (ex de la pub du chapeau melon), mais pas de rapport logique entre la femme et la fleur = un clichée. + La métaphore est de la l’ordre de la qualification

Dans le poème Baudelaire évoque la grandeur de l'Albatros en utilisant de nombreuse métaphores souvent en rapport avec les champs lexical de la grandeur et de la noblesse comme par exemple : "vastes oiseaux des mer "v.2 ," ces rois de l'azur "V.6 , "Ce voyageur ailé" ,v.9 .Baudelaire fait même usage d'une métaphore hyperbolique un " prince des nuées " (vers 13) aux " ailes de géant " (vers 16). Dans ces métaphores , c'est tout l'aspect majestueux et souverain de l'oiseau qui est déployé Dans ce

Malheureusement, dès le 8ème chapitre, le mécanisme se grippe un peu (désolée pour la métaphore douteuse). Les 7 chapitres suivants décousent, petit à petit, l’atmosphère magique qui avait été magistralement créée dès les premiers mots. En effet, dans ces 70 dernières pages, les rebondissements manquent de cohérence, les dialogues sont un peu trop nombreux et longs, et le propos devient beaucoup plus terre à terre, avec des préoccupations tellement…. humaines... Quel dommage… Quant à l’épilogue

présence du registre du tragique ou pathétique à travers différentes figures du style comme les comparaisons ou métaphores. En effet, le poète ne craint pas la mort mais l’accepte telle qu’elle est. Le poète sait que la mort approche c’est son destin comme tout les êtres humains il ne peut y échapper. Or, il voit la mort comme étant une chose sereine presque apaisante en utilisant une métaphore rapprochant la mort et l’endormissement : « La nuit douce ». L’infinité inquiétante de l’état mortuaire est