La Métaphore

une comédie imparfaite, le dernier est une tragédie, et tout cela cousu ensemble fait une comédie» En réalité, cette pièce relève plus de la tragi-comédie  Champs lexical de l'obscurité _ "sombre", "ombre", "éclat douteux", "le voile épais" __ METAPHORE (idée d'un lieu qu'on ne peut pas voir). "n ouvrant son voile qu aux rayons...", "n admet en ces lieux sombres que ce qu en peut souffrir" = TOURNURE RESTRICTIVE. Cela montre que l'obscurité a plus de poids que la lumière. b. lieu

ALa comparaison La comparaison permet de rapprocher deux termes à l'aide d'un mot annonçant la comparaison (comme, de même que, ainsi que, etc.). Elle est rapide comme l'éclair. BLa métaphore La métaphore permet de rapprocher deux éléments mais sans mot annonçant la comparaison. La métaphore sous-entend la comparaison. Ses yeux sont des étoiles. CLa personnification La personnification consiste à attribuer à un objet, une chose ou une idée des caractéristiques humaines. Le vent murmure aux oreilles

l’évocation visuel. L’allégorie de la « Nature » (représentation concrète d’une idée abstraite). Comparaison initiale de l’anatomie, métaphore de la forge. Métaphore filée du corps. Métaphore de l’usine l.50. Métaphore du sang avec l’or l.40. Volonté de donner à voir l’anatomie du corps humain au lecteur dans l’état actuel des connaissances. De part ces différentes métaphore le corps humain est assimilé à un microcosme, une petite société dans laquelle chacun est un rouage d’une machine en mouvement

-les yeux sont décrits par une métaphore, on peut deviner par la métaphore que ce sont des yeux (l.6 „ses yeux sont deux antres“ „son regard“) -le visage de la femme aimée est décrit globalement (de la ligne 9 à 16 – tout le paragraphe) -certaine tension y est maîtrisée (l. 15 „arraché, vaincu et révolté“, l.16 „herbe terrifiée“) -à travers des images poètiques l’auteur crée une expression (l.17 „le petit front“ – qui est de nouveau décrit par une métaphore) -(l.18 „narines mobiles aspirent

tant que figure et la subordonnée comparative : « il est plus grand que toi ! ». La métaphore : exprimée sans outil : « C'est un serpent ! ». On parle de métaphore filée quand la métaphore se développe en 2 termes au moins. Les clichés : comparaisons et images passées dans le langage courant sont des clichés (« malins comme un singe, sauter sur l'occasion » …). La personnification : image (comparaison ou métaphore) qui prête des qualités humaines à un objet, un lieu, un animal … L'allégorie : image

Théophile Gautier : "La caravane", Poésies diverses I - L'HOMME, VICTIME D'UN UNIVERS HOSTILE A - Un monde aride - métaphore du v.1 : "Sahara du monde" : monde = désert, lieu ds lequel l'homme survit difficilement. - difficulté de survie soulignée par "ni minaret, ni tour" (v.6) = vide architectural = absence de vie humaine. Impression de solitude renforcée par l'absence divine (sous-entendue par le substantif "minaret" qui désigne la tour d'une mosquée du haut de laquelle sont lancés

vieillissement de la jeune femme. Le terme « fillette » insiste sur sa jeunesse. La seconde strophe contient un éloge, sous la forme d’une énumération de ses attraits : on note des termes valorisants dans chaque expression : « mignons », « légers », et des métaphores mélioratives (« de rose »/ »de guêpe »/ « d’émail »/ »de nymphe »). On peut y voir une antithèse avec l’énumération péjorative de la troisième strophe : les parties du corps-moins nobles- sont cette fois associées à des termes dévalorisants (« ride

Ionesco, Beckett…. Un registre pathétique (la souffrance d’un être faible confronté à la violence et suscite la pitié chez le lecteur.) Les genres de prédilection sont la tragédie et le mélodrame. Indices : champ lexical de la souffrance ; métaphore, hyperboles ; ponctuation expressive : phrases exclamative et interrogative ; interjection. Auteurs : les auteurs romantiques comme Hugo… Un registre dramatique (lorsqu’il évoque une menace qui suscite des émotions fortes et du suspense. Le

à l'amplification épique. – Deux métaphores filées contribuent par ailleurs au grandissement épique de la scène. La métaphore maritime (« la clameur montant d'une marée » / « le cri roulait, grandissait, avec une violence de tempête, emplissant peu à peu l'horizon » / « pour s'épandre et s'élargir ») compare les cris de la foule à un véritable raz de marée qui immerge peu à peu tout l'espace dans une expansion illimitée qui rappelle le Déluge 4. La métaphore du brasier (« un tremblement de l'air

pareil, comparable à...), comparatif (plus.._ que...), adverbe (autant plus, moins...). La comparaison explicite, illustre un énoncé, le rend plus clair et plus vivant parfois plus convaincant en faisant appel à des références connues. ■ La métaphore Plus complexe, cette figure est une comparaison incomplète. Le comparé est donné ainsi que le comparant (parfois juste suggéré), mais il n'y a pas d'outil de comparaison. Il appartient alors au lecteur de retrouver les analogies qui ont permis le