La Perfectibilité De L Homme

cultiver la terre, c'est-à-dire de lui faire produire, par un travail et une technique, les richesses qu'elle renferme, au moins à titre de potentialités. Par extension, on appelle la culture l'ensemble des connaissances et des savoir-faire dont un homme est capable au terme d'un processus qui commence avec l'éducation. Mais surtout, dans un sens plus large, la culture renvoie à l'ensemble des processus qui permettent à l'homme de dépasser sa condition animale, ce qui alors donne à la culture un champ

fondent une confiance nouvelle en la perfectibilité de la nature de l'homme. Le corps est réhabilité : la peinture renaissante exalte la nudité. Rabelais prône son épanouissement physique : «Un esprit sain dans un corps sain». Les Idéaux L'éducation, préoccupation majeure des humanistes, se fonde sur l'étude des humanités : la connaissance du grec et du latin et l'étude des modèles antiques. Il s'agit de former un homme accompli : le modèle de l'honnête homme. Le contexte politique inspire de

besoin de la nature pour se soigner, se nourrir et donc pour survire. Au fil des millénaires, cet état « homme-animal » a évolué, et aujourd’hui, l’homme moderne est incapable de s’auto-suffire dans la nature. Mais ce dernier ne peut cependant pas se passer de la nature et de ce qu’elle offre pour s’épanouir et non pour subvenir à ses besoins, comme il le faisait avant. « On ne nait pas homme, on le devient ». Cette parodie d’une citation de Simone de Beauvoir signifie que l’humanité se conquiert

domine le monde des idées en Europe au XVIIIème siècle et dont les traits fondamentaux sont un réalisme en prise sur l’expérience, ouvert au sensible et au monde des sentiments, le rejet de la métaphysique, la croyance dans le progrès et dans la perfectibilité de l’Homme, le combat pour la tolérance et le respect des libertés civiles. Les principales idées défendues par les philosophes des Lumières étaient : - la liberté : « Les Hommes naissent tous libres. C'est le plus précieux de tous les

à la barbarie qui est l’état dans lequel le « sauvage » vit en liberté, en dehors de toute civilisation, fuyant ainsi la société des hommes et dans lequel il exprime férocité et violence. (Ainsi, l’homme sauvage ne devient il que « réellement » homme par la civilisation ? La civilisation fait elle l’homme ?) Dès lors, la civilisation n’est elle pas la culture qui permet l’humanisation de l’homme en le rendant comme extérieur à la nature sauvage ? Néanmoins, les critères de civilisation ne peuvent

craignent pas. Ce n’est pas un état de terreur. Objection à Montesquieu et Hobbes. Le D paraît en 1755 et succède au D sur les sciences et les arts (réponse au concours de l’Académie de Dijon). Il expose le principe selon lequel « la nature fait l ‘homme heureux et bon mais la société le déprave et le rend misérable » (dialogues). Dans ce D, R tente de comprendre ce changement, de faire une généalogie de l’injustice et de l’inégalité pour découvrir les rapports de convenance entre l’homme et la société

nouvelle information et n’est pas capable de s’auto-corriger. Or si je prends un ordinateur, je m’aperçois que celui ci possède certes un programme, le « bios » qui concerne la description des fonctionnalités de la machine, et établit l’interface homme machine. Mais contrairement au code génétique, le bios est accessible à de nouvelles informations, il peut disposer de mécanisme auto correcteurs, et enfin, et surtout, ce programme n’est qu’une infime partie des programmes qui font que l’ordinateur

développe ses idées dans des œuvres tels que « Du contrat social » (1762) ; « Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes » (1755). A)  L’originalité de la conception Rousseauiste du « contrat social Rousseau est un homme ancré dans le XVIIIème siècle. Il faut étudier John Locke car il y a eu un enchainement logique entre les deux auteurs. John Locke est connu pour ses deux traités sur le gouvernement civil. Sa version du « contrat social » diffère de celui de Rousseau

accumulée peut être traduite par la culture. La culture ne procède pas seulement d’une accumulation en strates de connaissances divers et variées. Elle résulte aussi du fait que l’homme lui donne un sens. L’homme tend vers la perfection. Et la perfectibilité (Rousseau ) se substituerait ainsi à l'étroitesse mentale, à la clôture spirituelle du monde animal. Certains ne reconnaissent qu’une relative rupture entre l'animal et l'homme. Il y a pour eux une continuité entre l’un et l’autre. Et nous

qui a avait écrit plusieurs textes pendant sa vie. Il fut née en 1712 et il mourut en 1778. Il avait écrit plusieurs textes et celui que je vais analyser dans cette analyse s’appelle Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les homme. Le thème de ce texte est la différence entre l’homme et l’animal et sa problématique est qu’est –ce que différencie l’homme de l’animal? Pour répondre a cette problématique Rousseau avait décrit que c’est la liberté ,l’âme et le perfectionnisme