La Perfectibilité De L Homme

fondent une confiance nouvelle en la perfectibilité de la nature de l'homme. Le corps est réhabilité : la peinture renaissante exalte la nudité. Ra-belais prône son épanouissement physique : «Un esprit sain dans un corps sain». LES IDEAUX L'éducation, préoccupation majeure des humanistes, se fonde sur l'étude des humanités : la connaissance du grec et du latin et l'étude des modèles antiques. Il s'agit de former un homme accompli : le modèle de l'honnête homme. Le contexte politique inspire de

nature, l’Homme est-il meilleur qu’à son état de société? En se perfectibilisant, l’Homme devient-il davantage libre? Tout d’abord, présentons la conception philosophique de l’Homme de Rousseau. Ce dernier énonça la théorie de liberté et de perfectibilité. Il avait une conception de l’Homme au commencement de l’Humanité, c’es-à-dire à l’état naturel, originel. À cet état, l’Homme était libre, perfectible, seul et doté d’amour de soi et de pitié. Il affirme ainsi que l’Homme est libre positivement

et tous les Hommes, naïfs et insouciants, se retrouvèrent dupé et dans l’obligation de faire avec des inégalités de conventions. Bien entendu, il existe naturellement des inégalités que l’on ne peut remettre en cause comme le fait qu’un naisse un homme et l’autre une femme, qu’un soit plus grand ou plus fort que l’autre, qu’il soit plus vieux ou plus jeune, en bonne santé ou pas. Mais les inégalités qui apparaissent avec le début de la civilisation sont plutôt des inégalités de convention, c’est-à-dire

progrès La foi des Lumières dans le progrès La base = l’Encyclopédie  mise en avant de toutes les sciences, bilan des connaissances dans tous les domaines scientifiques Mise en place de la perfectibilité de l’être humain donc recherche, mise à plat de toutes les découvertes et RI qui concrétise cette perfectibilité à un niveau collectif Le 20e s apporte danger  toutes les découvertes scientifiques du 20e s apporte une solution et un procédé mortifère. Ex : le vaccin de Pasteur : ce qu’il y a de négatif

tous les maux que celle-ci engendre ; cette inégalité est fondée sur la nature humaine. Fil conducteur : thème de la nature humaine et de ses variations au cours de l’histoire. Démarche en 4 tps : - Rousseau construit tt d’ab un homme à l’état de nature, ne connaissant ni le bien ni le mal, libre et n’expérimentant nullement l’inégalité ; - Conduit par des circonstances fortuites hors de cet état heureux, l’homme crée alors des « sociétés primitives », sans institutions

point qu'il retourne ainsi dans son état primitif, et que, tandis que la bête, qui n'a rien acquis et qui n'a rien non plus à perdre, reste toujours avec son instinct, l'homme, reperdant par la vieillesse ou d'autres accidents, tout ce que sa perfectibilité lui avait fait acquérir, retombe ainsi plus bas que la bête même ? Il serait triste pour nous d'être forcés de convenir que cette faculté distinctive, et presque illimitée, est la source de tous les malheurs de l'homme; que c'est elle qui le tire

distance de tel homme à tel homme qu'il n'y a de tel homme à telle bête". Autre différence entre l'homme et l'animal : "la capacité de se perfectionner", propre à l'espèce humaine. L'homme évolue au cours de sa vie alors que l'animal reste inchangé. Rousseau considère la perfectibilité de l'homme comme négative car cela le pousse à évoluer alors qu'il aurait préférer qu'il reste à l'état sauvage. L'homme, en évoluant, se rabaisse, perd ses qualités. Rousseau pense que la perfectibilité est la raison

civilisé. L'oeuvre se compose de deux parties cependant nous allons nous interesser à la première. Dans cette première partie, Rousseau décrit l'homme primitif dans l'état de nature, antérieur à l'institution de la société. Le problème est que cet homme se rapproche considérablement de l'animal. Il marque cependant le fait que l'homme est un agent libre par rapport à l'animal et c'est cette différence qui peut créer une tension entre ces deux objectifs. L'Homme est il bon ou méchant par nature

l'Église et proclame que tout croyant doit avoir accès au vrai texte sacré sans l'intermédiaire des prêtres. Il prône la Réforme qui aboutit au protestantisme. Le Français Calvin (1509-1564) fonde le protestantisme français. La Réforme - L’honnête homme - La Pléiade LES VALEURS DE L’HUMANISME UN RETOUR AUX SOURCES ANTIQUES Dans toute l'Europe, les érudits tels Erasme (1469-1536), Guillaume Budé (1467-1540), traduisent et travaillent sur les textes grecs et latins qui deviennent les modèles à

Elle développe l’esprit critiques afin de permettre aux hommes d’affranchir préjugés et superstitions. La raison permet une critique sociale et politique (Montesquieu) mais aussi religieuse et anticléricale (Voltaire et Diderot) Le progrès : Perfectibilité intellectuelle et morale de l’humanité qui vise à améliorer le sort de l’homme et contribuer au bonheur. Ainsi, pendant le siècle des lumières on peut noter des progrès considérables dans la société, au niveau scientifique et technique, dans le