La Personnification Dans Les Fables De La Fontaine

Le lion est par défaut le roi des animaux, il représente dans les fables de La Fontaine le monarque orgueilleux et puissant. Dans cette fable, il n’est que très peu caractérisé en tant qu’animal, puisque le fabuliste utilise le champ lexical de l’humanisation on le voit lorsque celui-ci emploie (l. 36) «  sacrés ongles » plutôt que griffes, (l. 1) « femme de lion » plutôt que femelle, on a donc ici une personnification du lion. LF donne sa définition de la cour royale des lignes 17 à 23, il lui

Lion". Phèdre a écrit au ......................... la fable ........................... . Au XVIIe siècle, Jean de La Fontaine, écrivain classique, la reprendra comme il l'a fait avec celles d'Esope, et en modifiera l'aspet formel afin de la rendre plus attrayante. Il la nommera "La Génisse, la Chèvre, et la Brebis, en société avec le Lion" Au travers de ses fables, il critique la société dans laquelle il vie, et pour chacune d'elle, il fait passer un message en incluant une morale en rapport

répétition de deux histoires à la moralité proche pose le problème de la place de la fable. L’auteur le résout par la médiane qui a un rôle a la fois conclusif et initial et permet de faire l’articulation entre les deux. II Mise en scène 1) La Fontaine est un vrai dramaturge, il a l’art de conter. Il y a ici une diversification des inspirations. La construction de la syntaxe nominale avec élision du verbe souligne brutalement l’opposition, répétée à deux reprises : « Quoi ?moi ?quoi ?ces gens-là 

politique en annonçant le parallèle entre le fonctionnement du corps et celui de l’État. Le récit lui-même ne commence qu’au vers 6 avec l’annonce de la révolte des membres contre l’estomac. L’humour du narrateur est ici rendu sensible par la personnification des différentes parties du corps : «chacun d’eux résolut de vivre en gentilhomme ». Dans cette fable singulière, les animaux et les hommes sont remplacés par les membres personnifiés, qui se révoltent, parlent longuement (v. 8 à 13) et finalement

La Fontaine, Fables, Le Philosophe Scythe Rappel : - Virgile : Ecrivain Roman qui a écrit l’Enéide - Platon chercha à montrer la supériorité de la philosophie sur l’art oratoire notamment dans le Gorgias. Il encourageait également à rechercher la vérité comme moyen d’accès au bonheur. - Philosophie: l’ami de la sagesse -philophe = amis -Sophia = sagesse - Stoïcisme : Effort que fait l’homme pour accéder a la vertu et qui impose d’annihiler sensations et sentiments, d’accepter un certain

Double objet d’étude L’argumentation Fables, essais, apologues… Convaincre, persuader, délibérer… Thématique : Les différents paravents mis en place par les auteurs dans l’argumentation. Problématique générale : Quels sont les paravents que mettent en place les auteurs devant leur critique ? L’argumentation indirecte est-elle plus efficace ? Pourquoi a-t-elle été mise en œuvre ? Mouvement littéraire et culturel Européen Le XVIIIème siècle :

remplacé par la joie de la fin. Extrème rapidité des paroles des courtisans à la fin. Proposition de liaison : Dans un récit, les composants du récit sont les personnages, c’est à travers eux que La Fontaine met en place la cour et la critique du roi. Les personnages : personnification du roi et de son peuple La critique des courtisans L’hypocrisie : on remarque que les courtisans sont très peu évoqué comme des animaux, pas de personnalité. Comparaison entre le

de ces courts textes et de transmettre une idée bien particulière. D’ailleurs, si le poète fini son texte par une morale, il laisse le lecteur sur une réflexion, ou sinon il peut utiliser des procédés par exemple des personnifications comme le fait Jean de la Fontaine dans ses fables quand il personnifie des animaux en les faisant devenir « humain » et donc que le lecteur se mette à la place des animaux. Un grand point positif de la poésie est bien évidemment son vocabulaire enrichissant et varié

Pies i wilk. Jean de La Fontaine Jeden bardzo mizerny wilk — skóra a kości, Myszkując po zamrozkach, kiedy w łapy dmucha, Zdybie przypadkiem brysia Jegomości, Bernardyńskiego karku, sędziowskiego brzucha: Sierść na nim błyszczy gdyby szmelcowana, Podgardle tłuste, zwisłe po kolana. "A witaj, panie kumie!! Witaj, panie brychu! Już od lat kopy a was ni widu, ni słychu, Wtedyś był mały kondlik — ale kto nie z postem, Prędko zmienia figurę

essentiel de lire les classiques, et l’on peut se contenter de lire directement les œuvres à la source, Lafontaine, par exemple, s’est inspiré presque exclusivement d’Esope, Phèdre (qui s’inspirait déjà lui-même d’Esope) et de Guéroult pour écrire ses fables, ainsi, la célèbre fable le corbeau et le renard est, à l’origine, écrite par Esope, Lafontaine n’a fait que la reprendre pour pouvoir à travers cette fable pour pouvoir critiquer « les flatteurs » comme il le dit si bien. Par conséquent, l’intérêt