La Personnification Dans Les Fables De La Fontaine

complices de cette petite scène. II) La coccinelle : une allégorie parfaite de la liberté et de la sagesse La personnification vers 18 « dit l'insecte du ciel bleu » nous permet de nous rapprocher de la fable. En effet la figure de l'insecte parlant ne date pas d'hier, ce procéder étant notamment utiliser vers la fin du XVIIème siècle dans les Fables de la Fontaine lorsque Jean de la Fontaine caricaturait la cour du roi, en mettant en scène des courtisant sous forme d'animaux dans des apologues. Dans

Jean de La Fontaine, Fables, Les obsèques de la lionne. Nous avons réussis à dégager trois problématiques de ce texte : La première a pour but de montrer comment les animaux mettent-ils en scène leur fausses comédie au près du roi ; La seconde vise à montrer quel est la stratégie du cerf pour sauver sa peau ; La dernière veut montrer quelle est la satire généralisée de ce texte. Voici le plan que nous avons choisit pour répondre à ces 3 problématiques : Nous allons dans un premier axe, parler

siècle, c'est au tour du célèbre fabuliste Jean de la Fontaine de critiquer la société grâce à ses écrits. Il s'amuse à caricaturer les nobles et autres courtisans ainsi que le roi Louis XIV dans ces fables, souvent en utilisant la personnification. Nous pouvons citer par exemple la fable Les obsèques de la Lionne où le roi est représenté par le Lion, qui est dans le cas présent, le mari de la défunte. Cependant, les publications des fables n'ont pas un grand impact dans la vie à la cour, luent

et homodiégétique s'il n'est pas personnage mais s'il apostrophe le lecteur. Dans l'autobiographie, le narrateur est autodiégétique et homodiégétique.  Figures de pensée Adynaton Allégorie Chleuasme Euphémisme Hyperbole Kakemphaton Personnification Prétérition Prosopopée Synesthésie Adynaton Un adynaton (pluriel adynata) est une figure de style qui se construit comme unehyperbole, mais dont l'effet est comique à cause de son caractère improbable. Il est assez employé dans la poésie

 INTRODUCTION. « Les Deux coqs » de La Fontaine est la 12ème fable du VIIème livre du deuxième recueil publié entre 1678 et 1679. Cette fable reprend celle du fabuliste grec Ésope, intitulée « Les Deux coqs et l’Aigle ». Cette fable raconte la rivalité de 2 volatiles, auprès d’une poule. Cette scène est comparée à la Guerre de Troie qui oppose les Grecs et les Troyens, en raison de l’enlèvement d’Hélène par le prince Pâris. Ce dernier, par amour, la vole à son mari Ménélas. Ménélas fait appel à

frère Thomas, âgé de 14 ans, la respecte. Jeanne raconte ce qui se passe à l’école. Chaque mardi et jeudi, le matin, la jeune et blonde mademoiselle Laurencin, son institutrice, fait découvrir avec amour et passion à ses élèves les fables de Jean de la Fontaine. (Même si elle est jeune et institutrice, elle n’hésite pas à employer les mots « sans tourner autour du pot » : quand un enfant lui demande ce que signifie le mot « excrément », au lieu d’utiliser un autre mot poli, elle indique que

communication. La parole poétique est une création qui s’intéresse aux mots eux-mêmes. Les poètes classiques ont codifié une « langue poétique » distincte de la prose et fondée sur l’utilisation d’images (métaphores, comparaisons, allégories, personnifications), sur un lexique particulier (registre soutenu) et sur une syntaxe particulière (importance de l’inversion). Les conceptions modernes se détachent de l’esthétique classique en utilisant toutes les ressources du langage (registre soutenu ou familier

Comparaison : Mettre sur le même plan deux éléments différents grâce à un mot-outil. ( Comme, tel que, semblable à, pareil à, ressembler à, faire à...). Métaphore : Une comparaison sans mot-outil. Ex : Il a attrapé le virus de l'automobile. Personnification : Une métaphore qui consiste à attribuer, à un objet inanimé des actes, des pensées d'être vivant. Ex : La voiture se cadre et rugit. Gradation : Énumération dont les éléments sont rangés en ordre croissant, crescendo. « Le désir ensuite,

Texte 1: “Les animaux malades de la peste”, Fables, La Fontaine Introduction : cette fable s’articule autour d’une scène de jugement qui aborde le problème de la justice avec le thème du bouc émissaire, c'est-à-dire celui qui paie pour les autres. Le texte propose la satire de l’organisation sociale. La société est dominée par la loi du plus fort, fondée sur une perversion, une vacance du droit et un ordre inique. Qu’elle représentation du pouvoir et de la justice cette fable

La fontaine : Le rat et l’huitre Classicisme : plaire et instruire *Les fables d’Esope Imitation de la norme, pas encore d’originalité, logique classique. A l’égard de la fable, l’apologue (le genre de la fable) a perdu de son prestige, genre scolaire, ce genre permettait aux écoliers d’apprendre le latin, pensé universelle de la morale, genre didactique, apprentissage de la morale. La fontaine, le grand prochain c’est de redonner une dignité