La Persuasion De Las Casas Controverse

sur quelqu’un d’autre dans l’œuvre de Montesquieu De l’esclavage des négres , il se met dans la peau d’un esclavagiste pour pouvoir sensibilisé et donc persuader les lecteurs, Ou encore Jean-Claude Carrière qui, Dans La controverse de Valladolid, oppose deux protagonistes, Las casas qui fait un plaidoyer en faveur des indiens, et Sépulvéda qui, lui, fait un réquisitoire . Jusqu’à présent nous avons étudier La littérature argumentative dans un débat d’idées, Nous allons maintenant parler des limites

où le littérateur utilise de multiples procédés pour défendre sa thèse. Contrairement à un texte scientifique qui vise à décrire les faits précisément, le texte littéraire cherche l'esthétique avec différents procédés : les champs lexicaux, la persuasion, et, en particulier dans un texte argumentatif, la prise de position, les jugements de valeur et la manifestation de la pensée et des sentiments par le langage et l'attitude. La différence entre un discours scientifique et un texte argumentatif

Cannibales » de ses Essais ; par Jean-Jacques Rousseau et Saint Lambert au XVIIIème siècle dans leurs ouvrages, Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes et Ziméo ; et enfin par Jean-Claude Carrière en 1999 dans la Controverse de Valladolid. Tandis que Rousseau vante les qualités physiques des hommes « barbares » que la nature rend « forts et robustes », ce sont essentiellement les qualités morales qui dominent les textes de Montaigne, de Saint-Lambert et de Carrière

Intro : Instruire et plaire, ou « Placere et docere », tels étaient les impératifs d’un discours réussi et assuré de persuader les juges lors d’un procès, selon l’orateur et avocat Cicéron, virtuose en la matière. Il semble en effet que la persuasion doive passer par la séduction d’un discours agréable, qui entraîne l’auditeur à adhérer presque insensiblement à la thèse que défend l’orateur. Nombre de discours argumentatifs se signalent en effet par des procédés rhétoriques qui séduisent le lecteur

restée en Afrique. ____________- Justification religieuse : « bénis nos fétiches » (l.39), « les fétiches hollandais qui m'ont _____________converti » (l.45-46). _________● On voit clairement que l'on est dans une démarche de conviction et non de persuasion (qui __________..pourrait renvoyer au pathétique) : ____________- On va du général au particulier : on commence par énoncer des principes généraux « nous », _____________« on » = généralisation → on ne passe au « je » que dans un second temps

polémique et c’est exactement ce que chercher l‘auteur. Son argumentation direct lui a servi pour choquer mais a la fois convaincre les lecteurs autrement dit les Français. La vrai histoire de la controverse de Valladolid est un débat qui opposa essentiellement le dominicain Bartolomé de Las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepúlveda au collège San Gregorio de Valladolid. Le débat porte sur le fait de savoir si les Espagnols pouvaient coloniser le Nouveau Monde et dominer les Indiens. Cet

pour toucher, susciter la pitié, l’indignation, la colère… grâce aux registres littéraires appropriés. IV – Persuader à l’oral : L’oral (la dimension « audio-visuelle », théâtrale, et la présence du destinataire) est encore plus propice à la persuasion que l’écrit : jeux sur le ton et le volume de la voix, le rythme de l’élocution, les allusions ; gestuelle, mimique, jeux avec l’espace en présence, des accessoires… V – Remarques complémentaires : 1. Les pronoms : a. « Je » : façon d’affirmer

validité des arguments : on peut considérer que les affirmations du loup n’ont, employées comme arguments, aucune valeur. Chacun des personnages cherche aussi à agir sur les sentiments et émotions de l’autre, employant de ce fait les moyens de la persuasion. - le Loup veut en imposer par sa grosse voix : « dit cet animal plein de rage. » - mais l’Agneau, loin de se laisser émouvoir, cherche à apaiser le Loup pour l’amener sur le terrain de la raison : « Que votre Majesté ne se mette pas en colère.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .14 • Vinci et la représentation du corps . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .15 • La controverse de Valladolid . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .16 • Martin Luther et la Réforme protestante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .18 • L’humanisme, ou

barbare, nommé Chram, fait la guerre à Clotaire son père, réga d'une partie de la Gaule. Le père fait brûler son fils avec tous ses amis prisonniers en 559. Sous un Chilpéric, roi de Soissons, en 562, les sujets esclaves désertent ce prétendu royaume, lassés de la tyrannie de leur maître, qui prenait leur pain et leur vin, ne pouvant prendre l'argent qu'ils n'avaient pas. Un Sigebert, un autre Chilpéric, sont assassinés. Brunehaut, d'arienne devenue catholique, est accusée de mille meurtres ; et un