La Pitié Dangereuse

personnels (l’identité sociale réelle). Cette population habitant les banlieues « inspire plus de dégoût que de pitié »[1].Le titre de l’œuvre de Louis Chevalier « Classes laborieuses, classes dangereuses »[2] montrent bien que se sont des gens qui inspire la peur. L’attention exclusivement portée à la délinquance de ces jeunes, en leur faisant jouer le rôle de la classe dangereuse, renforce la stigmatisation dont ils sont déjà l’objet dans les différents secteurs de la vie sociale. Robert Castel

de ces couples misérables. Dans le portrait sans concession qu’il en fait, ce n’est pas vraiment contre la misère qu’il s’insurge. Elle existe de fait et l’on s’y habitue, semble-t-il. Ici, on est loin du misérabilisme, de la charité et de la pitié dangereuse. C’est même avec une forme de cynisme assez déroutante qu’il s’élève plutôt contre la beauté flétrie dès l’enfance, contre le gâchis des dons et des talents. Un enfant qui ne réalise pas son potentiel c’est Mozart qu’on assassine. Tout enfant

avions européen arrivent jusqu’en Tanzanie souvent remplie d’arme et reparte remplie de poisson les pilotes contribuent a l’économie du pays en payant des femmes pour combler leurs nuits. Les tanzanien pêchent le poisson de façon rudimentaire et dangereuse en mettant des filets dans l’eau alors que des hommes plongent pour faire fuir le poisson vers les filets tout en sachant que des crocodiles rodent mais le pays est tellement pauvre qu’il n’ont pas le choix et dés que l’un meurent un autre le remplace

libre de faire ce qu’elle a envie de faire par rapport à notre époque ? Est-elle tout simplement libre ?bien sûr que non. Le lecteur sait donc comment réagis la société et comment le personnage se sentira, il ya donc une part de compréhension et de pitié. Mais il ni ya pas que l’écriture qui fait que l’on s’attache à un personnage, il ya aussi la personnalité de celui-ci. La plupart du temps, le lecteur s’attache à un personnage quand il est pathétique. Prenons comme exemple Jean-Baptiste Grenouille

douleurs du regard d’autrui : a) La pitié : La pitié m’évoque une lecture d’un roman de Stefan Zweig intitulé « La Pitié Dangereuse ». L’intrigue principale de l’œuvre relate le cas presque pathologique d’un jeune officier Autrichien victime de sa pitié pour une jeune femme paraplégique. Ce sentiment de pitié devient ici le rouage du drame. J’insiste à citer l’œuvre de Zweig car il a écrit en guise de prologue une réflexion très fine sur le sentiment de pitié que je ne peux m’empêcher de citer :

grottes creuses, le désirant pour mari. Et quand le temps vint, après le déroulement des années, où les Dieux voulurent qu'il revît sa demeure en Ithakè, même alors il devait subir des combats au milieu des siens. Et tous les Dieux le prenaient en pitié, excepté Poseidaôn, qui était toujours irrité contre le divin Odysseus, jusqu'à ce qu'il fût rentré dans son pays. Et Poseidaôn était allé chez les Aithiopiens qui habitent au loin et sont partagés en deux peuples, dont l'un regarde du côté de Hypériôn

créature. II/ Que fait-il ? a/ Il étudie à l'université et passe son temps a étudier la physique lorsqu'il a du temps libre. b/ Il donne vie à une créature, celle ci se révèle hideuse et est repoussé par tout le monde, elle se révèle ensuite dangereuse du faite qu'elle veule se venger de l'être humain. Victor fait donc tout pour réparer son erreur. c/ A la fin, il tente de retrouver sa créature pour se venger de lui. III/ Regards sur lui ? a/ Au fur et mesure que l'histoire progresse

 Résumé des Liaisons dangereuses : Lettre 153, du Vicomte de Valmont à la Marquise de Merteuil : " […] le moindre obstacle mis de votre part sera pris de la mienne pour une véritable déclaration de guerre : vous voyez que la réponse que je vous demande n’exige ni longues ni belles phrases. Deux mots suffisent. " Réponse de la Marquise de Merteuil, écrite au bas de la même lettre : " Hé bien ! la guerre. " Il est délicat de résumer de façon linéaire un roman épistolaire, surtout lorsqu’il s’agit

est de bien faire son métier. c'est un praticien : il visite les malades, incise les bubons, observe les effets du sérum, presse les autorités de prendre les mesures indispensables. Fur et a mesure du récit ,Il s'endurcit contre la pitié, quand elle devient dangereuse : ainsi, pour poser les diagnostics dans les maisons dont on lui ferme la porte, il se fait accompagner par la troupe. Sa position finale est celle d'un homme laïque et pratique, remplaçant l'absence de foi par la certitude qu'il faut

origine éthique : je me trouve investi d’une responsabilité nouvelle par la présence d’autrui. J'ai le devoir de répondre à son appel. L’homme qui n’est pas capable de nouer un lien avec autrui apparaît dans une situation dramatique pour lui et dangereuse pour autrui. C’est le reproche que fait Rousseau à ses contemporains. La modernité apporte certes des progrès techniques, mais elle a tendance à faire oublier le lien fondamental qui unité les hommes entre eux. Aux yeux de Rousseau, l’indifférence