La Potestas

en elle-même est stricte et soumise à des règles du droit aussi bien juridique que domestique. La gens et plus particulièrement la familia est soumise à un droit domestique où le pater familias fait figure d'autorité suprême détenant la patria potestas. Le pater exerce un pouvoir total sur les membres de la famille. Par exemple il pouvait tout à fait répudier son épouse, notamment pour stérilité ou tentative d'avortement. Ou encore la tuer. En effet, la loi des Douze Tables de 450 av. J.-C (qui

peut être mis à mort sans décision judiciaire par n’importe qui. DES POUVOIRS DE TYPE REVOLUTIONNAIRE : Le pouvoir du tribun s’appelle la TRIBUNITIA POTESTAS. En apparence, on pourrait se dire que le tribun ne dispose pas d’un pouvoir énorme car il n’est pas investi de l’imperium comme les magistrats supérieurs, mais seulement la POTESTAS, qui est un pouvoir de type inférieur. En réalité, la tribunitia protestas investit le tribun de pouvoirs redoutables pour défendre les intérêts de la Plèbe

de la civilisation romaine, à l'aube de la république " la loi des douze tables" légifère l'esclavage. L'esclave ou " servus», selon le droit romain est individu privé de tous ces droits, soumis au bon vouloir de son maître jouissant du dominica potestas. De ce fait il possède tous les droits sur son esclave, il a le droit de vie ou de mort sur ce dernier, il peut le vendre ou le prêter tel un objet.Florus les qualifie " d'homme de second rang" ou encore étant " de la plus basse condition" Des auteurs

Grèce, on retrouvait souvent sous un même toit père, mère, enfants, domestiques et esclaves. Chez les RomainsDans l'empire romain, le pater familias règne dans sa famille. Il a droit absolu de vie et de mort sur ses enfants. L'antique « patria potestas » du droit romain en est un bon exemple: lorsque l'enfant vient de naître, il est amené et montré à son père. Si celui-ci le trouve fort et beau, le nouveau-né est accepté dans la famille. Sinon, il est tué ou laissé à l’abandon sur une place publique

observe que les citoyens romains laissent la direction des affaires à quelques familles qui occupent les magistratures, et sont élus par leurs clientèles. II. Les magistratures Les formes du pouvoir Il faut distinguer la notion de potestas et d'imperium. La potestas est l'autorité reconnu par le droit. Elle est réservée au magistrats inférieurs : questeurs et édiles et censeurs. L'imperium, c'est le pouvoir de commandement. Il est réservé aux préteurs et consuls. La désignation des magistrats

feuille. - Decretum, le décret requête faites par le prince , il prend position juridique. Il énonce sa volonté juridique sans être interrogé. - Edictum, non propre au prince, c'est l'acte que constitue le magistrat en vertu de son imperium, sa potestas. Le prince peut prendre à l'oral des mesures juridiques ce sont les orationes, l'oraison du prince. Il n'est pas consigné par des procès verbaux , la mention ne peut être qu’incidente dans les sources écrites. Dans les codes , ce sont ces quatre

grande. Cependant, Celui-ci émet l'idée que l'ordre ecclésiastique a une responsabilité plus grande car elle doit répondre moralement devant Dieu. ❖ Autorictas: Empereur doit se soumettre aux prélats quant aux mystères divins. ❖ Potestas: Les Prélats se soumettent à l'Empereur en ce qui concerne l'ordre public. => Dernière phrase est une menace non dissimulée contre l'Empereur!! • Texte 21 : Les deux pouvoirs selon Saint Augustin ( vers 426) Ce texte est issu

qu’elle signifie il faut faire la distinction entre les « alieni iuris » par des compétences juridiques, tous ceux qui ont au-dessus d’eux en ligne masculine un ancêtre mal toujours vivant elles sont soumises à la puissance de leur père la patria potestas qui elle appartient au chef de famille qui est le pater familias celui-ci dirige domine la domus ce qui signifie la maison. Cette domus se compose du pater familias qui est le seul à être capable tous les autres sont ses sujets qui sont soumis à

se repentir et faire pénitence à Canossa en 1077. Le pape et l'empereur continuent à s'affronter jusqu'à la mort du premier, en 1085. Grégoire VII se montre intransigeant sur la « théocratie pontificale » : l'auctoritas du pape est supérieure à la potestas du roi. De son côté, Henri IV défend la « théocratie royale » : l'empereur tient son pouvoir de Dieu seul, et l'Église et l'État se trouvent confondus1. Le conflit ne se termine qu'en 1122 avec le Concordat de Worms mais il rebondira avec la Lutte

ce que les différends se règlent de façon diplomatique et pacifique. Ainsi, les Etats souverains se voient imposer un comportement dans leurs relations internationales. Si ces normes ne contreviennent pas à la souveraineté des Etats, à la Summa potestas, qui est le caractère suprême d’une puissance, c’est parce que le droit international n’est applicable que dans la mesure où il a été consentie par l’Etat. En effet, il n’existe pas d’entité supérieure aux Etats, et rien ne peut leur être imposé