La Pratique Référendaire Sous La V République

formel 43 1.2. L’Etat de droit au sens matériel 43 2. Des institutions légitimes 43 2.1. La distinction légalité / légitimité 43 2.2. Les mutations de la légitimité 44 Annexe 1 : Quelques notions sur les institutions politiques de la Cinquième République française 46 Annexe 2 : La démocratie représentative 53 Annexe 3 : La démocratie française : une démocratie semi-directe 56 Annexe 4 : La séparation des pouvoirs : quelle signification aujourd’hui ? 58 Annexe 5 : La démocratie d’opinion : l’influence

« juger les fous » : réforme de 07/2011 (ii) Procédure de « culpabilité civile » des malades mentaux (iii) La loi du 05/07/2011 sur la psychiatrie b 2) Les juridictions d’exception (i) La Haute Cour de Justice (ii) La Cour de justice de la République (iii) Les juridictions militaires b 3) Les juridictions de droit commun (i) Le juge d’instruction (ii) Le juge des libertés et de la détention b 4) Réforme de la « garde à vue » : la loi du 14 avril 2011 c) Les juridictions de jugement c

caractérisé par l’obéissance justifiée par son rattachement à l’entité abstraite qu’est l’Etat. Dans le prolongement, les romains sont à l’origine de la notion de Res Publica (« chose publique ») qui a beaucoup inspiré le concept contemporain de République. II. Qu’entend-on par institution « publique » ? En premier lieu, il ne s’agit pas des institutions « privées ». Il est de coutume de désigner le mariage, par exemple, comme étant une « Institution ». Il est vrai que les règles et la sanction

séparation souple des pouvoirs. La Vème République a souvent fait l'objet de discussion quant à sa qualification constitutionnelle. Certains auteurs ont pu qualifier la Vème comme un régime semi présidentiel. Si l'on souhaite analyser la Vème comme un régime mixte, il vaudrait mieux parler de régime semi- parlementaire, puisque c'est la logique parlementaire qui prévaut. Sous la Vème lorsqu'un gouvernement à le soutient du Président de la République mais qui n'a pas le soutient de l'Assemblée

s'engagent à se conformer aux arrêts définitifs de la Cour dans les litiges auxquels ils sont parties ». Pourtant les Etats ne sont pas obligés d'appliquer les jurisprudences de la Cour qui n'ont alors qu'un caractère déclaratoire. Cependant, dans la pratique les Etats appliquent ces jurisprudences, et l'article 6-1 a ainsi eu une influence importante sur les jurisprudences nationales des pays cocontractants de la Convention. En quoi l'article 6-1 de la Convention européenne de sauvegarde des droits

bas les décrets, puis la loi, lois organiques et on trouve au sommet la Constitution. La plus haute norme du droit français qu’est la constitution exige des lois et normes inferieur le respect des textes constitutionnels. La constitution de la V° république réglemente la fonction juridictionnelle dans ces articles 64 à 66 intitulés « de l’autorité judiciaire ». L’Etat doit donc rendre justice aux citoyens et déléguer par le biais de la constitution des missions aux fonctionnaires. Il existe un principe

lois régionales (arrêtés municipaux etc..) et les lois nationales (article des Codes..) : elle (la Constitution) est l’une des sources du droit. L’étude du droit constitutionnel, c’est l’étude du texte de la Constitution. Mais c’est également la pratique Constitutionnelle, la façon dont les articles sont appliqués par le pouvoir public, car parfois, les textes et leur applications s’éloignent parfois, alors qu’ils ne sont pas sensés être dissociés. Il y a aussi une nouvelle dimension jurisprudentielle

Chapitre 1 : Le monopole étatique de la justice La justice est une affaire d’État Section 1: Le principe de monopole I) Du pouvoir judiciaire à l’autorité judiciaire La notion de monopole Étatique n’a toujours pas existé (sous l’ancien régime), il y a deux règles essentielles du droit Français : le juge est tenu de respecter l’article 4 du code civil : il a l’obligation de juger sinon c’est un délit. Seules les institutions Étatique peuvent trancher les litiges et conférer

Droit constitutionnel L1 droit / Université d’Avignon / Année 2008 – 2009 Cours de Mme Valérie Bernaud COURS DE DROIT CONSTITUTIONNEL LA CINQUIÈME RÉPUBLIQUE SÉANCE 1 HISTOIRE CONSTITUTIONNELLE On compte de 1789 à 1875 13 Constitutions : la Constitution de 1791, celle de 1793 qui a été immédiatement suspendue, la Constitution du Directoire de 1795, la Constitution de l’an 8 dite du Consulat, transformée en celle de l’an 10 (Consulat à vie), puis de l’an 12 (1er Empire), la Constitution sénatoriale

institutions légitimes PAGEREF _Toc399424917 \h 432.1.La distinction légalité / légitimité PAGEREF _Toc399424918 \h 432.2.Les mutations de la légitimité PAGEREF _Toc399424919 \h 44Annexe 1 : Quelques notions sur les institutions politiques de la Cinquième République française PAGEREF _Toc399424920 \h 46Annexe 2 : La démocratie représentative PAGEREF _Toc399424939 \h 53Annexe 3 : La démocratie française : une démocratie semi-directe PAGEREF _Toc399424944 \h 56Annexe 4 : La séparation des pouvoirs : quelle signification