La Preuve Loyale

père Don Diègue (vers 8 : «  Viens mon fils »). Ce dernier, déshonoré par un soufflet, cherche à persuader son fils de le venger. Nous verrons dans une première partie comment Don Diègue met en avant le lien filial qui oblige Don Rodrigue à faire preuve de loyauté et quelles figures de style Corneille va utiliser dans ce but. Dans une seconde partie nous étudierons l’importance accordée au courage et à l’honneur par les deux personnages et comment Corneille construit son texte pour servir son récit

sont froids et indifférents (ce qu’il n’est pas). Il opère alors une espèce de renversement naïf et orgueilleux ; c’est lui qui a raison ; sa sincérité spontanée et brutale, ses indignations contre les vices, ses éclats en plein salon sont autant de preuves, à ses yeux, de sa bonté naturelle. Tous les hommes de cœur devraient l’imiter ; avec un orgueil fou, il se propose comme exemple et blâme, comme prophète irrité. Caractère complexe et nuancé, animé de tendances contradictoires, homme sympathique

divers, de son riche passé, de ses multiples voyages, et de la découverte d’autres contrées et civilisations. Dans le passage qu’on est amené à commenter, et à scruter ses significations les plus enfouies, l’écrivain adopte une attitude loyale contre le dénuement dont souffre la plupart des pays du tiers-monde et qui est causé sans doute par l’impérialisme économique exercé férocement par les pays arrogants du Nord, alors s’agit-il pour Le Clézio de critiquer le rythme effréné de la mondialisation

réaliser) . Tout ce qui est inhabituel le perturbe, le dérange (la mort de sa mère parce que cela modifie ses habitudes), mais il ne s’en cache pas. En fait il est loyal et sincère avec lui même et les autres. Et si lors de son procès, dont il s’est totalement détaché sans prendre conscience qu’il s’agissait de son jugement, il avait fait preuve de remords par rapport à son attitude juste après le décès de sa mère, il n’aurait pas été condamné. En fait Meursault est une victime du système, de l’hypocrisie

réalisé par Sophie Deraspe, le personnage de Créon est aussi présent seulement, celui-ci est cette fois un chef d’état antagoniste qui veut faire cracher le morceau à Antigone pour qu’elle lui dise ou est Polynice. Mais loyal à elle-même et ceux qu’elle aime, Créon devra faire preuve de beaucoup de patience et d’indulgence avant que celle-ci ne se soumette à ces demandes. Mots : 738 mots.Plan phrasé : On peut dire que Créon est un piètre tyran car il tente de sauver Antigone ( Argument principal

Séance 1: La preuve L'admission de la preuve déloyale Introduction A l'aide de l'expression suivante, « on répugne à laisser impuni un coupable avéré et à sacrifier la vérité pour des principes non écrits », il est possible de comprendre la position de la jurisprudence de la Chambre criminelle au sujet de l'admission de la preuve déloyale. La preuve est d'une importance fondamentale en procédure pénale car c'est sur elle que se fondera la conviction du juge. En effet, la théorie des

Respecter les personnes : • C'est respecter chaque personne quelles que soient son origine, sa culture, sa religion ou sa non religion. • C'est respecter tous les métiers quelques que soient leurs positionnements dans l'entreprise, • C'est faire preuve de simplicité et d'humilité dans nos relations. • C'est manifester la considération que l'on porte aux autres par notre capacité d'écoute. - CHAQUE SERVICE EST UNE ÉQUIPE, DARTY EST UNE ÉQUIPE La réussite ne peut venir que par le collectif :

à l'acte IV. Tartuffe: faux dévot. Hypocrite et pique-assiette. Il n'arrive pas avant la scène 2 de l'acte III et sera absent pendant presque tout l'acte V. Dorine: suivante de Mariane. Personnage plein de bon sens et de franc parler. Monsieur Loyal: sergent royal. Un exempt: officier royal chargé des arrestations. Flipote: servante de Madame Pernelle. II- Résumé: Orgon est l’archétype du personnage de cour tombé sous la coupe de Tartuffe, un hypocrite et un faux dévot. Il est, ainsi que

contre Gargantua, il fuit sans demander son reste «Picrochole en tel désespoir s’enfuit » (p.339). Il fait preuve d’une grande lâcheté, sans se départir de sa mauvaise humeur et de sa colère. Gargantua et Grandgousier sont, quant à eux, le contraire même du mauvais prince mis en scène par Picrochole. Rabelais fait un éloge de Grandgousier. Il le décrit comme étant généreux, bon, loyal, pieux, pacifique. En effet, Grandgousier utilise tous les moyens pour éviter la guerre contre Picrochole

parfois la responsabilité de l’auteur de la rupture des négociations alors même qu’aucune faute n’a été commise. B) La liberté contractuelle, exigence néanmoins limitée De manière générale la négociation d’un contrat doit être menée de façon loyale et raisonnable. Ainsi bien que les pourparlers fassent partie de la phase précontractuelle, c'est-à-dire qu’aucune obligation légale ou conventionnelle ne soit encore imposée aux partenaires, certains devoirs s’imposent aux futurs contractants. Au