La Protection Du Domaine Réglementaire

Chapitre 2 L’acte administratif unilatéral Section 2‐ Les différentes catégories d’AAU . Actes décisoires/ non décisoires . Actes indiv./réglementaires I‐ Décisions administratives et actes non décisoires A) Les actes décisoires 1) Qu’est ce qu’un acte décisoire ? Un acte décisoire, une décision est un acte ayant pour objet ou pour effet de modifier l’ordonnancement juridique. Il en résulte par conséquent des droits et des obligations qui s’intègrent dans l’ordre juridique, maintenant l’état

Cette nature ne se confond plus aujourd’hui avec la planète. Car il n’y a plus de nature par tout sur le globe mais il y a des espaces aménagé par l’homme. On a conservé cette notion sous le terme de protection de la nature. Elle est devenu une spécialité du droit de l‘environnement. La protection de la nature c’est les espaces naturels et les espèces naturelles. 2- L’écologie Ce terme et cette discipline a été crée en 1866 utilisé la première fois par un Allemand Häckel. L’écologie

relatifs aux autorités professionnelles En fonction de la taille et de la complexité des marchés, le système de régulation doit faire un usage approprié des autorités professionnelles qui exercent des responsabilités de surveillance directe dans leur domaine de compétence propre. Les autorités professionnelles doivent être supervisées par le régulateur et doivent respecter des normes de confidentialité et d’équité dans l’exercice de leurs pouvoirs et de leurs responsabilités déléguées. 7 C. 8

l’Etat sur le plan local. Pour les communes, ce sont le maire ou le conseil municipal. Il ne faut pas confondre personne publique et autorité administrative. B. L’objet des personnes publiques territoriales : la vocation géographique Le domaine d’action de ces personnes publiques est géographique, c-a-d qu’elles exercent leur action sur une partie ou totalité du territoire français. Au sommet, il y a l’Etat qui est une personne morale de droit public ayant un champ d’action national et

essentielles. Cette grande diversité terminologique est aussi très visible dans l’évolution historique. Parfois cette notion est purement et simplement abandonnée au profit de celle de droits de l’Homme lorsqu’il s’agit notamment d’insister sur la protection internationale des libertés. Parfois même, cette notion est conservée mais on lui accole un complément (libertés publiques et droits de l’Homme…) comme si 1 l’expression « liberté publique » n’était plus suffisante pour rendre compte du contenu

compagnie nouvelle du gaz de Déville-Lès-Rouen. Par la voie législative ou règlementaire une personne privée peut être chargée de l’exécution d’une mission d’intérêt public. C’est le cas par exemple des sociétés de prévoyance, c’est ce que le CE a reconnu dans un arrêt du 20 décembre 1925 : « établissements Vézia ». Cette solution a été confirmée par un arrêt du CE du 13 mai 1938 : Caisse primaire, aide et protection. Lorsque le gouvernement charge une personne privée de réaliser une tache publique

souvenir des refus d'enregistrement des lois édictées par le Roi sous l'Ancien Régime, et continue à se méfier d'un pouvoir judiciaire réputé conservateur. D'autre part, la séparation des pouvoirs implique que les litiges administratifs appartiennent au domaine du pouvoir exécutif ; le pouvoir judiciaire ne saurait donc y prendre part. La conséquence de ce principe est l'existence d'une juridiction administrative autonome ; l'arrêt Blanco (T.C, 8 février 1873) fonde la nécessité d'une juridiction administrative

Les éco-entreprises et les éco-technologies Editorial La protection de l’environnement est une préoccupation croissante et légitime de notre civilisation industrielle. A cette fin, de nombreuses entreprises proposent des services ou conçoivent et fabriquent des équipements de nature à prévenir et réduire les pollutions de toutes sortes. C’est ainsi que s’affirme, depuis plusieurs années un secteur industriel employant plus de 150.000 personnes en France. A la base de ces activités très diverses

droit administratif dans ce cadre. C’est pour cela qu’il faut le mettre en relation avec le « juge », c’est-à-dire la jurisprudence administrative, pour pouvoir mieux l’encadrer. Nous passerons donc sous silence les sources constitutionnelles, règlementaires, doctrinales, internationales et communautaires du principe de légalité au profit de ses sources législatives et jurisprudentielles. Alors, interrogeons-nous sur le poids de la jurisprudence face à la loi, dans le cadre du principe de légalité

s’impose immédiatement au citoyen. C’est le privilège de la décision. ; le pouvoir de l’exécution. ° les privilèges de protection permettent aux personnes publiques d’être à l’abri de mesures qui pourraient leur être défavorables. Ex : l’intangibilité des ouvrages publics ; imprescriptibilité du domaine public (on ne peut pas faire commerce avec tout ce qui relève du domaine public). * des obligations particulières à la charge des personnes publiques. Comme l’administration est tournée vers