La Raison Peut Elle Vaincre Les Passions

la bonheur, mais les passions et les plaisirs le font incapable à les atteindre; il veut connaitre soi-même, mais il devient la proie des plaisirs et s’eloigne ainsi de soi-meme; il veut implémenter la justice, mais la justice humaine est relative, parce que l’homme est l’être tombé. Situé au-dessus de l’abysse d’entre le grand et le petit infini, l’homme est condamné à égarer pour toujours dans la proximité des grands secrets de l’univers- incapable à connaitre la raison absolue des choses. D’ici

Les LumièresLes Lumières     Le courant des Lumières est né en Europe au 18ème siècle. Ce mouvement repose sur une attitude intellectuelle que l’on peut résumer par l’expression de Kant : « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ». Il ne peut être séparé par la naissance des sciences modernes.   Quelques notions clés :   . Vaincre l’obscurantisme Les philosophes des Lumières insistent sur la nécessité de développer l’esprit critique et luttent donc contre le fanatisme, la superstition

ne souffre pas du discrédit ; elle donne un emploi aux « puissances de la tromperie ». La ruse inteMent au royaume des dieux ; Zeus lui doit l'existence et il 1' « épouse », il allie le pouvoir de simulation à son propre pouvoir ; Athéna marie la raison à la ruse, et les diverses puissances divines en ont chacune une part, investie dans les savoirs dont elles sont titulaires. Son expression mythique la constitue servante de I'intelligence. Sa réalisation humaine est Ulysse' qui ne recherche qu'une

qui est éternel, homogène etc. 3. Il s’oppose à Héraclite, pour lui, la sensibilité et la perception sont sources d’erreurs. 4. Ce qui est, est et ce qui n’est pas, n’est pas 5. Si l’être n’est pas éternel, le non être le fut déjà. On ne peut donc pas partir de rien et arriver à quelque chose. 6. L’être est éternel, sans commencement ni fin 7. L’être est immobile puisque l’apparition et la disparition est un passage de l’être au non-être, et c’est impossible. 8. L’être est

Sujet de dissertation : L’Histoire peut elle nous servir de mémoire ? « Avis aux grands de ce monde : peu importe ce que vous accomplirez, la seule façon de vous inscrire dans l'Histoire, c'est de vous trouver un bon biographe ». Cette citation de Bernard Werber, écrivain contemporain français, attire notre attention sur ce qu’est l’Histoire. Ainsi comme le propose cet auteur elle ne serait qu’un bon récit, bien écrit et argumenté. Il suffirait pour entrer dans « l’Histoire » de savoir

stratégie argumentative : Renverser la thèse adverse : Dom Juan commence par rappeler la thèse de Sganarelle qui serait de rester fidèle à la première dont on est tombé amoureux. Il la critique déjà → « quoi ! » puis la ponctuation forte. Il peut ensuite la critiquer plus nettement : « la belle chose » ironique qui indique l'inverse de ce que pense Dom Juan. Champ lexical de la mort qui l'assimile à la fidélité. Développer sa thèse : A l'exact opposé car il commence par l'adverbe

ne souffre pas du discrédit; elle donne un emploi aux «puissances de la tromperie». La ruse intervient au royaume des dieux ; Zeus lui doit l’existence et il 1’ « épouse », il allie le pouvoir de simulation à son propre pouvoir; Athéna marie la raison à la ruse, et les diverses puissances divines en ont chacune une part, investie dans les savoirs dont elles sont titulaires. Son expression mythique la constitue servante de l’intelligence. Sa réalisation humaine est Ulysse1 qui ne recherche qu’une

La lucidité est une passion sans motif qui n’est dérivée vers aucun objet. S’il n’y avait pas ce feu de l’intelligence, il n’y aurait pas de pouvoir de discernement. L’intelligence apporte la lumière, l’intellect apporte son sens de la distinction et l’un et l’autre concourent pour démêler la confusion. Quand celui qui a ou détient le pouvoir ne cherche pas à discriminer, quant son égo est tel qu’il est prisonnier de ses confusions, quand l’égo entre dans l’arène des passions, c’en est fini du pouvoir

philosophie : comment renoncer a une passion? La passion est un désir très fort qui nous submerge et que l'on a du mal a maitriser. Patior= souffrir. souffrance liée a la passion. La passion, c’est, comprendre les rapports de l’homme à son âme, à son corps et au monde. La passion est un phénomène qui nous affecte, dont notre âme et notre corps pâtissent, parce que nous ne pouvons en dis- cerner l’origine clairement et distinctement. En d’autres termes, la passion se manifeste par des idées confuses

de têtes Sans attirer sur soi mille et mille tempêtes ; L'issue en est douteuse, et le péril certain : Un ami déloyal peut trahir ton dessein ; L'ordre mal concerté, l'occasion mal prise, Peuvent sur son auteur renverser l'entreprise, Tourner sur toi les coups dont tu veux le frapper ; Dans sa ruine même il peut t'envelopper ; Et quoi qu'en ma faveur ton amour exécute, Il te peut, en tombant, écraser sous sa chute. Ah ! cesse de courir à ce mortel danger ; Te perdre en me vengeant, ce n'est pas me