La Religion Chez Phedre

variété  (éloge) et le peu de rapport qui se trouve pour le dessein… » et l’on souligne la prolixité de Corneille (qui s’oppose implicitement à la production peu nombreuse de Racine ; en 1688, celui-ci n’a composé que 9 tragédies et une comédie – Phèdre datant de 1677). En somme, ce que La Bruyère reproche à Corneille, c’est à la fois de n’avoir pas totalement respecté les règles édictées par Aristote, et du coup d’avoir produit une œuvre inégale, admirable par bien des aspects, mais qui par d’autres

Nymphe de la Seine), Racine était très apprécié du roi et de la cour. Il écrivit surtout des tragédies. Ainsi dans Bérénice (1670), il mit en scène ,sous des noms antiques, la séparation de Louis XIV et de Henriette d'Angleterre, qui s'aimaient . Dans Phèdre (1677), il raconte l'histoire d'une femme qui cède à la passion plutot qu'à la raison et elle subit le chatiment du roi (de l'autorité, de Dieu...) tout ça pour renforcer l'autorité Royale.. La même année il se maria et, fut également nommé historiographe

c'est qu'elle suppose l'intervention humaine et que de ce fait elle se construit à partir d'éléments relatifs et on a là une tout autre vision de la vérité qui s'organise à partir de point de vue partiel. Ce qui apparaît ici et qui était impossible chez le devin, c'est la notion de perspective qui s'organise à partir d'un regard à un certain moment, dans une certaine perspective, qui va voir quelque chose à un moment mais du coup ne pas en voir d'autre. Ce que met en cause cette notion de perspective

du Soleil, dont elle est la fille, au même titre que Circé et Aétès (Apollodore 1,9,1 « Phrixus vint chez les Col- chidiens dont le roi était Aetès, fils du Soleil et de Perséis, et frère de Circé et » ; 111,1,2 « Minos épousa Pasiphaé, fille du Soleil et de Perséis »). Sur le plan étymologique, son nom rayonne de l'éclat de la lumière et l'apparente à d'autres personnages solaires comme Phèdre, sa fille, ou Phaon, l'amant de Sappho. Son nom se décompose comme suit : un radical Tiacri, de rcâaiç

sur un certain atomisme et sur la déclinaison des atomes (le clinamen), qui doit amener le lecteur à écarter de lui ce qui peut lui causer du déplaisir d'une part, et à écarter d'autre part toute crainte infondée, notamment celle propagée par la religion. L’œuvre se divise ainsi en trois moments : les deux premiers chants développent les théories atomistes qui président au fonctionnement de l’univers ; les chants III et IV évoquent l’âme et la vie psychique de l’homme ; enfin les deux derniers

grands auteurs de tragédie : Eschyle, Sophocle et Euripide. Le théâtre romain ne semble pas avoir assez apprécié la tragédie pour que se développe une littérature tragique importante. Sénèque, cependant, a adapté en latin des tragédies grecques comme Phèdre ou Médée. La tragédie humaniste[modifier] La tragédie humaniste est un genre théâtral du Théâtre de la Renaissance. Elle consiste en une déploration passive d'une catastrophe. Le personnage est une victime, cette tragédie est essentiellement statique

Commandeur tué en duel par Dom Juan quelques mois auparavant. Celui-ci, se défiant du mort, l’invite à dîner par bravade. La statue incline la tête, indiquant qu’elle accepte l’invitation (scène 5). Acte IV Le même soir, Dom Juan attend son dîner chez lui. Les visites se succèdent alors. Apparaît d’abord son créancier M. Dimanche qui, ne pouvant parler tellement Dom Juan le couvre de compliments, ne trouve pas un instant pour réclamer son dû, et est expédié dehors avant même d’avoir retrouvé ses

confidence. Nous sommes plus proches d’un discours de confession que de l’aveu. B. Le triomphe de la raison : Enfin, à travers la tension de cette scène de révélation, l’écrivain classique ne fait que rappeler que si la passion est inévitable chez l’individu, l’Honnête Homme saura la maîtriser. * Le lexique de la transparence confère à l’héroïne, une pureté, « aveu, il est vrai innocence, laisser paraître ». Elle est bien l’opposé des courtisans dont la vie est régie par la dissimulation

trouve que ce jour-là on executait un noble, et cet évenement avait attiré une partie du pablic habituel du theatre. La qualité de la pièce finit néanmoins par s’imposer et est devenue aujourd’hui la pièce de Racine la plus jouée après Andromaque et Phèdre. Racine s’est basé sur l’histoire romaine pour écrire sa pièce, la base du récit est conforme a l’Histoire, malgrès le fait qu’il ai un peu viellit les personnages et qu’il « invente » le personnage de Junie et son amour réciproque pour Britannicus

« Il y a bien longtemps que je dis que le poète est souverainement intelligent, qu'il est l'intelligence par excellence-et que l'imagination est la plus scientifique des facultés, parce que seule elle comprend l'analogie universelle, ou ce qu'une religion mystique appelle la correspondance » (théorie des correspondance de Baudelaire). Reverdy, Le Gant de Crin : « Une imagne n'est pas forte parce-qu'elle est brutale ou fantastique, mais parce-que l'association des idées est lointaine et juste » (Importance