La Rente Différentielle

décentralisée appuient justement le développement d’organisations et d’agents intermédiaires qui ne dépendent plus des seules autorités publiques. 2. La décentralisation de l’aide et la prolifération d’acteurs et d’organisations intermédiaires La « rente du développement » transite aujourd’hui en grande partie par des réseaux d’intermédiaires nationaux, hors des services étatiques, et par des circuits d’aides non gouvernementales. 1 Courtiers en développement : Les villages africains en quête de

dans le capital humain : la formation initiale. a) Le calcul coût/bénéfice. Comment se détermine le choix d'investir ou non dans l'acquisition de capital humain ? Quel est le bénéfice attendu ? Il va dépendre d'un différentiel de salaire. Il faut prendre en compte le différentiel de salaire sur l'ensemble de la carrière, et non seulement sur une année. Quels sont les coûts ? Frais de scolarité, achat d'ouvrages. Coût d'opportunité : je perd le salaire que j'aurai touché pendant cette année

de l’économie politique et de l’impôt" Théoricien du capitalisme libéral, il sut en dégager les principes plus systématiquement que Smith dont il ne partageait pas l’optimisme. À partir des travaux de Malthus, il établit la loi de la rente foncière différentielle. Pour démontrer cela, il considère que l'exploitation la moins productive (exploitation marginale) détermine le prix de marché. Partant de ce prix de marché, les exploitations plus productives que l'exploitation marginale dégagent un excédent

l’ordre du jour politique (donc encore moins éco), les Etats ont besoin des recettes que rapportent les douanes. L’argument de ses tenants est que le LE favorise la spécialisation et la diversité et empêche la stagnation (Ricardo : l’augmentation de la rente nuit à l’accumulation de capital, ce qui justifie les M de produits agricoles à bas prix). L’adoption du libre-échange Le libre-échange en Grande-Bretagne : Dominant l’économie, la GB veut se procurer les M à bas prix et jouir d’un marché

Il est l'auteur d'un seul ouvrage, écrit en français vers 1730, Essais sur la nature du commerce en général; on pense qu'il a été écrit en 1730 mais la publication est posthume en 1755. Lui aussi formule une théorie de la valeur, mais aussi de la rente, du profit... On trouve aussi une analyse monétaire et une esquisse du circuit économique. Il reprend l'idée de PETTY sur l'idée de valeur: dépend de la valeur du travail et de la terre. On pourrait déterminer la valeur à partir de la quantité de travail

classe : * Les travailleurs Ce qui leur revient, c’est le salaire de subsistance * Les propriétaires fonciers Ce qui leur revient est la rente. Ricardo définie la rente : C’est le revenu différentiel versé aux propriétaires des terres les plus fertiles. Pas de différence entre une paysans qui paye une grosse rente pour une terre très fertile et l’inverse * Les capitalistes Ce qui leur revient est le profit. Pour Ricardo : « C’est ce qu’il reste pour payer le

théorie smithienne des composantes pour expliquer qu’une hausse des salaires se résout par une hausse des prix, laissant le profit inchangé. Ricardo a alors développé son modèle du blé, qui se fonde sur deux traits centraux : la théorie de la rente différentielle, basée sur les différences de fertilité des sols et l’hypothèse de l’uniformité de l’input et de l’output de la production, tous deux étant du blé. En résulte la démonstration de l’existence d’une relation inverse entre profits et salaires

toute nouvelle terre mise en exploitation est moins productive que les anciennes déjà exploitées (20 quintaux à l’ha contre 30 quintaux). Les anciens propriétaires terriens bénéficient d’un avantage différentiel ou marginal (30-20 = 10), sans y apporter leur travail. C’est la rente foncière différentielle. • Une économie doit tendre vers un état stationnaire, dans lequel le profit est nul. Seul le progrès technique peut le modifier. • Il envisage la spécialisation d’un pays de telle façon que

disciple dans toute l'Europe. (c'est un touriste avant l'heure ! ) Il rencontre alors Voltaire, les physiocrates et surtout Quesnay et les encyclopédistes (surtout Helvétius, rédacteur de l'article "Epingle"). De retour en Ecosse, il bénéficie d'une rente à vie (pour service rendu). IDEES DE L'AUTEUR • • • • • • • Le "penchant naturel" des hommes est à l'échange Cette aptitude favorise la division du travail qui a pour conséquence une augmentation de la productivité, source de l'accroissement de

de rivalité sert de trait d'union entre les différentes conceptions. L'hypothèse de Cool et Dierickx (1993) s'avère ainsi cruciale. L'intérêt de la notion de groupes stratégiques ne résiderait pas tant dans la capacité à déterminer des profits différentiels, mais à expliquer les différentes formes et l'intensité de la rivalité. Ce double constat nous amène à proposer la définition suivante des groupes stratégiques en tant qu’ “ ensemble d’entreprises qui se considèrent comme concurrentes et conçoivent