La Rente Ricardo

financière, le niveau particulièrement élevé des taux d'intérêt à certains moments, le "retour du rentier" (cf. montée de la bourse depuis 20 ans) et les risques de déflation généralisée ne peuvent qu'accélérer un "retour de Keynes". FICHE David RICARDO “ L'échange lie entre elles toutes les nations du monde civilisé par les nœuds communs de l'intérêt, par des relations amicales, et en fait une seule et grande société”. Anglais //(1772-1823) COURANT DE PENSEE Classique PRINCIPAUX OUVRAGES

productivité donc tout le monde y travail. Nbreuses ponctions de l’Etat non réinvestit dans l’agri mais utilisées pour conso de biens de luxe. Pour QUESNAIS, physiocrate, agri est la seule activité qui produit des surplus. RICARDO en 1817, souligne un gonflement de la rente conduit au détriment de l’inv, au blocage de la croiss, vers un état stationnaire. Equi précaire avec pop>ressources (cf MALTHUS). Ancien régime : famine, guerre, etc. XVIIe : fin des famines en GB et XVIIIe en France avec

d’augmenter la taille globale du marché et favorise donc la DT. Les pays ont intérêt à s’ouvrir pour se spécialiser. Vient la question dans quoi se spécialiser. A.Smith : avantages absolus. Probleme de cette théorie résolue par les avantages comparatifs de Ricardo. Chaque pays a un secteur où il est plus productif que les autres. Toutes les nations ont un gain au libre échange. Echanges de différence de biens. Donc échanges interbranches. Comment ces gains vont-ils se partager entre les pays ? Les gains de

Travail productif et improductif 3. DAVID RICARDO (1772-1823), VALEUR, REPARTITION ET DYNAMIQUE DU PROFIT 3.1. Rappels biographiques et historiques 3.2. La théorie ricardienne de la valeur 3.2.1. Le paradoxe de la valeur 3.2.2. Le travail incorporé, déterminant de la valeur 3.2.3. Le problème de l’hétérogénéité du travail 3.2.4. Convergence du prix courant vers le prix naturel 3.3. La théorie ricardienne de la répartition 3.3.1. La théorie de la rente différentielle : principe et illustration 3

naturels, travail et capital. Y=f(T, W, K) a) Les facteurs naturels : il s’agit des ressources du sol et du sous sol que l’homme utilise pour obtenir une utilité économique. Le sol est un facteur naturel car il procure la rente qui permet de satisfaire le besoin de l’homme (se nourri). Le sous-sol est un facteur naturel (or, fer). Les facteurs naturels sont une incidence sur l’action économique pour deux raisons. Ils permettent la spécialisation internationale : chaque

démarche méthodologique notamment dans l’Essai de Mill et dans les Convictions de Cairnes. L’ensemble de ces auteurs classiques ont fondu les concepts méthodologiques classiques dans une optique de validité du système Ricardien. Après la mort de Ricardo, James Mill et John Ramsey Culloh ont tenté d’identifier le Ricardianisme à la science économique, par contre Senior et John Stuart Mill ont ressenti la nécessité de formuler des principes qui régissent les méthodes de la recherche économique. Dans

Grundrisse (1858). 1) L’unité de la production et de la circulation. 2) La déduction de la baisse du taux de profit. 3) La composition et la baisse du taux de profit. 4) La critique de Ricardo et les effets de la puissance productive sur le surtravail. II. La critique des formulations de la loi chez Ricardo et les avancées de Marx dans le brouillon du Livre IV (1861-1863). III. La formulation de la loi dans le brouillon du Livre III (1863-1865). IV. Les conditions et les effets de la croissance

sociales ? Comment est-ce que la croissance économique évolue t-elle et grâce à quels mécanismes ? Dans une première partie nous verrons comment Smith intervient sur ces différentes questions et dans une deuxième partie nous verrons comment Ricardo reprends et modifie les théories de Smith sur ces mêmes questions. 1. L’ANALYSE CLASSIQUE DE SMITH A. La division du travail et « la main invisible » Selon Smith la richesse est considérée comme étant les choses nécessaires à la vie.

Grundrisse (1858). 1) L’unité de la production et de la circulation. 2) La déduction de la baisse du taux de profit. 3) La composition et la baisse du taux de profit. 4) La critique de Ricardo et les effets de la puissance productive sur le surtravail. II. La critique des formulations de la loi chez Ricardo et les avancées de Marx dans le brouillon du Livre IV (1861-1863). III. La formulation de la loi dans le brouillon du Livre III (1863-1865). IV. Les conditions et les effets de la croissance

l'Eglise d'Etat d'Angleterre" et d'être un plagiaire de James Anderson qui a formulé, le premier, le principe de la rente extensive et des rendements décroissants dans l'agriculture: la rente est déterminée par la différence entre les coûts de production d'une unité de produit sur la terre la moins fertile mise en culture et les coûts de production des autres terres. David Ricardo, favorable au libre-échange, s'est aussi opposé à Malthus à propos des lois protectionnistes sur les grains: Malthus