La Répétition ou l'Amour puni

allons voir cmt ce poème invite le lecteur à modifier son regard. Nous pouvons identifier 3 mouvements ds ce poème : o un amour paradoxal pr des être malaimés (vers 1 à 6) o êtres réduits à un destin fatal et sombre (vers 7 à 16) o Invitation à l'amour (vers 17 à 28) Analyse linéaire : Forme : alternance v 10 syllabes et v de 5 syllabes > v pairs et v impairs, donne une cadence particulière et une force accrue au propos de Hugo. Procédé Interprétation I titre Pas de titre au poème

[…] la bête qui fonçait tête basse et muette [à propos de la Lison, la locomotive de La Bête humaine de Zola]. L’allégorie consiste à représenter de façon imagée, souvent concrète, une idée, rendue alors moins abstraite. Ex : « L’amour est un oiseau un rebelle », « l’impitoyable faucheuse » (la mort). Les figures de style par substitution : La métonymie désigne une réalité (objet, sentiment…) par l’une de ses caractéristiques ou par un terme ayant un rapport logique

Troie sont des animaux, nous sommes dans l’héroï-comique, un comique qui transforme en héros ceux qui sont loin d’en être, et qui déclenche alors l’humour ou l’ironie. Selon le récit d’Homère dans l’Iliade, la guerre de Troie fut déclenchée par l’amour de Pâris (un prince troyen) pour la belle Hélène, l’épouse de Ménélas, le roi de Sparte en Grèce. Ménélas venu rechercher sa femme avec son armée réussit à vaincre la cité de Troie grâce à la ruse du cheval de Troie, et la ville finit incendiée.

« héros » entourés de gens ordinaires en prenant souvent appui sur des mythes comme Eurydice (1941), Antigone (1944) ou Médée(1946). Après la guerre apparaissent les Pièces brillantes qui jouent sur la mise en abyme du théâtre au théâtre (La Répétition ou l'Amour puni en 1947, Colombe en 1951), puis les Pièces grinçantes, comédies satiriques comme Pauvre Bitos ou le Dîner de têtes (1956). Dans la même période, Jean Anouilh s'intéresse dans des Pièces costumées à des figures lumineuses qui se sacrifient

Question de corpus : Ce corpus est composé de trois textes. Le texte A est extrait d’une scène de théâtre, c’est la fin de l’acte I scène 1 de L’impromptu de Versailles de Molière publié en 1662. Le texte B est un extrait de l’acte I de La Répétition ou l’Amour puni écrit par Jean Anouilh et publié en 1950. Le dernier extrait, le texte C, est la fin de l’acte IV scène 2 de Kean de Jean-Paul Sartre publié en 1954. Ces textes représentent bien les interrogations concernant le jeu d’acteur, nous verrons

Lycée Notre-Dame de la Providence Avranches Objet d’étude : écriture poétique et quête de sens, du Moyen-Age à nos jours Séquence 1 : la poésie amoureuse Problématique : l’amour ou son expression sont-ils naturels ou dépendants de l’histoire ? Groupement : NB : seuls, les textes mentionnés à l’encre bleue et accompagnés de la précision : (LA), ont fait l’objet d’une lecture analytique 1) "Ce n’est merveille si je chante"

tragique et dans la lignée de la tragédie  : · La mort est placée sous le signe de la fatalité » fatal et déplorable événement » · L’alliance de la mort et de l’amour est traditionnelle dans de nombreuses tragédies , les deux amants sont enlacés et s’embrassent : « je reçus d’elle des marques d’amour au moment même qu’elle expirait », néanmoins ici, le héros ne meurt pas, sa souffrance

vous-même ; D'un dessein qui vous perd rompez le coup fatal ; Gagnez une maîtresse, accusant un rival. Auguste, à qui par là vous sauverez la vie, Ne vous pourra jamais refuser Emilie. MAXIME Quoi ! Trahir mon ami ! EUPHORBE           L'amour rend tout permis ; Un véritable amant ne connaît point d'amis, Et même avec justice on peut trahir un traître, Qui pour une maîtresse ose trahir son maître. Oubliez l'amitié, comme lui les bienfaits. MAXIME C'est un exemple à fuir que celui

au cycle de l’absurde. Camus réunit ici l’absurde et l’amour, en choisissant de mentionner le cœur et non par exemple l’esprit ou le cerveau. Cela accentue la notion de bonheur, de bonheur et évidemment de la vie, le cœur représentant la vie. Les battements de cœur, ces pulsations régulières, rythmées et répétitives puis qui s’éteignent avec la mort pourraient être un clin d’œil à la tâche de Sisyphe et la punition de Meursault ; une répétition sans fin jusqu’à la mort. Camus parle des sommets, ce

1730 : L'amour et la Vérité 1720 : Arlequin poli par l'amour 1720 : Annibal 1722 : La Surprise de l'amour 1723 : La Double Inconstance 1724 : Le Prince travesti 1724 : La Fausse Suivante ou Le Fourbe puni 1724 : Le Dénouement imprévu 1725 : L'Île des esclaves 1725 : L'Héritier de village 1727 : L'Île de la raison ou les Petits hommes 1727 : La Seconde Surprise de l'amour 1728 : Le Triomphe de Plutus 1729 : La Nouvelle Colonie ou La Ligue des femmes 1730 : Le jeu de l'amour et du hasard