La Répétition ou l'Amour puni

Julien , « il se leva » ligne 6, on comprend qu’il destine un discours au public, dans le but de mieux capter l’attention, il fait en sorte d’être vu et entendu de son auditoire. De plus, il regarde la salle « je ne vois sur ce banc… » ligne 25 - Répétition du vocatif « Messieurs les jurés » ligne 9, « Messieurs » ligne 11, 18, 24. Interpellation essentielle, stimule intérêt du public. - Pronom démonstratif « votre » 11, relatif « vous » 14,12. Un discours donc largement destiné à être entendu,

chemin, en vain et tous ces pêchers vont être punis. La Statue du Commandeur va être envoyée par Dieu, va brûler Dom Juan et celui-ci va périr. Le Commandeur a été tué par Dom Juan lors d’un duel avant le début de la pièce et pour que le pêcheur soit puni, la statue va reprendre la vie. . Description Dom Juan :Dom Juan est un riche noble. Il est infidèle : « Ce départ si peu prévu serait une infidélité de Dom Juan ? » (acte 1 scène 1), il a plusieurs femmes : « C’est elle qui me témoignait une envie

superpose le couple homme/femme. Le principe de Marivaux c’est le brouillage hiérarchique. Arlequin courtise Euphrosine. La spécificité de la pièce est que l’amour est esquissé: c’est l’amour humain, de l’humanité qui rythme la pièce. Il n’y a pas d’intrigue amoureuse. Scène1: arrivée sur l’île. Iphicrate révèle à Arlequin que les maîtres vont être puni. Arlequin est heureux d’être affranchi et déborde de son nouveau rôle de maître. Scène 2: arrivée de Trivelin qui empêche Iphicrate de frapper Arlequin

caractère de vos rôles, et de vous figurer que vous êtes ce que vous représentez ». Voilà le conseil du maître : pour un temps, l’acteur est celui qui prend un masque jusqu’à le confondre avec sa propre chair. Le troisième texte tiré de La Répétition ou L’Amour puni d’Anouilh est très proche du second en ce qu’il nous donne à voir une représentation privée de La Double Inconstance de Marivaux. Comme chez Molière, acteurs et metteur en scène, même s’il s’agit d’amateurs, s’interrogent sur les qualités

genre littéraire qui est fais pour être jouer, mais surtout pour être vu et si possible apprécié. La réalité n'est qu'une succession d'évènements sans forme, sans ordre. A propos du théâtre, Anouilh fait dire à l'un de ses personnages de La Répétition ou l'Amour puni: « Le naturel, le vrai, celui du théâtre, est la chose la moins naturelle du monde. D'abord dans la vie, le texte est toujours si mauvais! […] C'est très jolie la vie, mais cela n'a pas de forme. L'art a pour objet de lui en donner une précisément

qui exprime la faute : « osai ». Cette faute, en rappelant le rôle joué par le regard dans la passion racinienne, se traduit par le chiasme des adjectifs : « ce fils chaste et respectueux » / « un oeil profane, incestueux ». La chasteté (=rejet de l’amour) s’oppose directement à l’idée d’inceste (=amour interdit) comme le terme « respectueux » (=renvoie au sacré) s’oppose à « profane » (=signe de l’impureté). C’est bien cette notion d’impureté et de sacrilège qui soutient l’aveu. B. La brièveté de

nous soyons parfaits, mais que nous devenions la meilleure version possible de nous-même. Il est plus important d’être authentique qu’infaillible, et nous gagnons à écouter notre instinct. Les seules vraies erreurs sont celles que nous commettons à répétition. Les autres sont des occasions d’apprentissage. 3. Suivez les trois R : Respect de soi – La confiance est la clé de la réussite et si une personne ne se respecte pas, vous ne pouvez pas croire en elle. Ainsi, si vous ne vous respectez pas

scène. Nous sommes dans le monde des apparences malgré la présence réelle des acteurs. Ceux-ci jouent à être, à sentir à paraitre dans un décor stylisé, fabriqué. Ils s’expriment comme l’ont écrit des acteurs dramatiques. Cf. Anouilh, « la répétition ou l’amour puni » II- Le plaisir et l’intérêt du spectateur Si le théâtre est fondé sur un ensemble de conventions, il n’est pas pour autant toujours « conventionnel », proposant souvent des scènes osées et les justifiant et les excusant par la convention

reine est aussi une victime de sa passion. Cet amour incestueux est en effet voulu par les Dieux, et est qualifié par Phèdre de « vengeance[] céleste[] », le terme « céleste » renvoyant aux divinités qui ont puni la reine en la faisant tomber amoureuse de son beau-fils. La répétition du mot « Dieux » en début de trois hémistiches forme une anaphore qui crée une insistance et une sorte d’incantation, d’appel à la clémence face à sa situation désespérée. L’impuissance de Phèdre face à son amour

octosyllabe coupé en « parties : rythme rapide. Description de différents éléments du corps, le poète s’adresse à la femme aimée comme le confirme le titre « A celle qui est trop gaie », l’enjambement permet une description plus précise de la femme.V2 : répétition de « beau », insistance, la femme associée au paysage est un topos de la poésie romantique.V3 : « le rire joue » : métaphore, ouïe et vueV4 : « Comme un vent frais », toucher et vue : synesthésie : cette femme sollicite les sens du poète et du lecteur