La Representation Du Surnaturel Au Theatre

la fois vraie (Sarrasine a sculpté Zambinella en femme) et fausse (il s’agit de la statue d’un castrat). – Vie/mort, naturel/surnaturel se mêlent également dans le corps du vieillard. Cet « être sans vie », dont le visage rappelle une « tête de mort », a gardé une certaine vivacité. D’où le recours à l’oxymore « cadavre ambulant », qui introduit une dimension surnaturelle dans le portrait. Cette dimension préside aussi à l’évocation du tableau de Vien : elle tient à la fois au sujet (un personnage

Le théâtre entre les deux guerres : Cocteau, Giraudoux, Anouilh Quels ont été les acteurs du théâtre entre les deux guerre ? quelle a été l’influence de la guerre sur le théâtre ? Intro : Un contexte bien particulier Crise, horreur de la guerre, naissance des régimes totalitaire… Plan I – Jean Giraudoux 1- biographie 2- oevres théâtrales II – Jean Cocteau 1- biographie 2- oevres théâtrales III – Jean Anouilh 1- biographie 2- oevres théâtrales

assez clairement : l’épopée de Digénis Akritas, le roman chevaleresque, l’allégorie, la poésie, 6 HEGEL, F., Esthétique, trad. Charles Bénard, Paris, Ed. Le Livre de poche, 1997, t. 1, p. 394. 6 © Kalliopi Ploumistaki 2004 la prose, le théâtre (crétois), la chanson populaire. La création littéraire étroitement liée aux faits historiques ne favorise pas les critiques de caractère poétique et rhétorique, mais, en principe, langagière. Car la question de langue, le conflit parmi les partisans

n'avait pas la connaissance de la lecture ces chansons de gestes étant présenté par un jongleur qui a la liberté de s'inspirer ainsi que changer une histoire. Il va donc diversifie sa manière de présente, il va réciter des poèmes, faire des représentations acrobatiques, des aires musicales ou encore des danses. Le jongleur va devoir régulièrement retravailler ses spectacles par rapport à son public et à l'endroit où il se produit.! " • Les manuscrits! " ! Grâce à l'invention de l'imprimerie

le mouvement du Sturm Und Drang émerge et devient l’un des thèmes principal de la littérature du Nord. En effet, Sturm Und Drang qui signifie en français « Tempête et élan » est un mouvement Précurseur du romantisme, son nom vient d’une pièce de théâtre de Klinger et naît en réponse au rationalisme dominant. Il prône la supériorité des sentiments, préfère la passion à la raison mais c’est avant tout un mouvement de contestation mené par la jeunesse. De nombreux romans vont émerger de ce mouvement

lecteur. Cette œuvre est une œuvre tragique. En effet, on est dans une situation de terreur, d’angoisse et de pitié. Ce livre appelle plusieurs niveaux de lecture c'est-à-dire qu’on peut le lire comme une fable moderne, comme une interprétation de théâtre… Tout cela montre que cette œuvre n’a pas été écrite pour le plaisir, mais elle a été écrite par l’auteur pour chercher à atteindre un but précis et qui est dans cette histoire de montrer la haine de sa famille envers lui. 6*Prolongements Possibles

philosophes, il participa grandement à l’élaboration de l’Encyclopédie en écrivant 149 articles.    Tirso de Molina   Tirso de Molina (1583 – 1648), de son vrai nom Gabriel Téllez est un des grands auteurs de théâtre du siècle d’or espagnol. Il est notamment connu pour avoir écrit la première pièce de théâtre sur le personnage de Don Juan, avant Molière : El Burlador de Sevilla (1625). Auteur fécond avec 317 pièces à son actif, il fut accusé de corrompre les mœurs par des « pièces profanes ».   Albert Camus

Auteur : Jean ANOUILH (1910-1987) Date : 1944 Genre : Pièce de théâtre Mise en scène : Par Nicolas BRIANCON en 2009 Thématique : ARTS, RUPTURES ET CONTUINITE Domaine artistique : ART DU LANGUAGE B. L’auteur • Jean Anouilh est né à Bordeaux en 1910, d’un père tailleur et d’une mère musicienne. Il mène des études de droit puis travaille dans la publicité. • Passionné de théâtre, il décide de s’y consacrer après une représentation de Siegfried de Giraudoux en 1928. Il devient secrétaire du

Problématique : Le Lac des cygnes de P. I. Tchaikovski dans sa version de R. Noureev d’après M. Petipa et L. Ivanov est bien inscrit dans notre réalité chorégraphique grâce à des troupes et des compagnies comme celle de l’Opéra national de Paris : théâtre de répertoire qui permet de jouer des pièces issues de notre patrimoine chorégraphique faisant de celui-ci, un répertoire vivant. Ce ballet est donc porteur des contraintes, des imaginaires et de la réalité chorégraphique tels qu’ils existaient à

spéculation pourrait aboutir à une réflexion sur l’influence du rôle de l’auteur sur celui du metteur en scène. En premier lieu nous pourrions prétendre que ce rôle n’est guère important et qu’il ne requiert très peu de considération dans la représentation d’œuvre ordinaire, puis que celui-ci reste tout de même considérable et qu’il suscite toute son intention pour la conceptions d’œuvre contenant certaines scène plus complexe, ainsi pour finir nous pourrions approfondir sur le liens de ses deux