La Représentation Du Monstre

Les caractères de La Bruyère, « Gnathon » ---------------------------------- Introduction  Entrée en matière ► XVIIème s → classique (représentation stable du monde) Pouvoir politique fort → Dieu Règles + Raison (mesure) Éduquer + Plaire Exemple d'auteurs : Molière, La fontaine, Perrault, Raçine ► Cet œuvre → étude sur les hommes, observation du cour et des mœurs des hommes Complexité de l'homme → 1 texte = 1 type Problèmatique ► Comment La Bruyère dénonce-t-il

spectacle, toujours plus agressif de la violence à l’écran ?... Même si la plupart des recherches échouent à établir un lien de cause à effet entre la représentation de la violence et le passage à l’acte, elles convergent pour admettre que l’exposition prolongée accroît l’agressivité, augmente les effets négatifs sur les attitudes et les représentations mentales et morales des spectateurs. (...) Les programmes pour la jeunesse, farcis de japo-niaiseries au rabais, sommaires, laides, déprimantes

« moue » de concentration qui ombre le visage idéalisé du jeune chevalier. Son visage n’a plus rien de la beauté impersonnelle et sereine des saints médiévaux, il respire de la concentration et de l’énergie. Son regard semble guetter l’approche du monstre, prêt au combat, la main sur l’écu, tout son être tendu en une décision inébranlable. L’originalité iconographique réside dans le fait que Donatello représente Saint Georges sous les traits d’un jeune homme imberbe s’apparentant à une figure de David

XVème siècle : il était alors utilisé pour désigner une chanson gaie et entraînante. Au XVIIIème siècle, on parlait de voix de ville, pour désigner les chansons introduites dans une pantomime ou une pièce de théâtre : c'était la seule forme de représentation autorisée, en vertu du monopole détenu par la Comédie-Française en matière d'art dramatique. Cette pratique se poursuivit durant tout le XIXème siècle, sous la forme des comédies-vaudevilles - popularisées notamment par Eugène Labiche - où l'action

Dans la mythologie grecque, existaient trois soeurs, les gorgones.Deux d'entre elles étaient des monstres et l'une était très belle, Méduse. On disait d'elle que ses yeux bleus avaient la clarté d'un lac et que ses cheveux blonds rappelaient les champs de blé. Poséidon tomba amoureux de Méduse et l'entraîna une nuit dans le temple d'Athéna. La déesse offensée métamorphosa Méduse en un monstre dont les traits furent ceux d'une très vieille dame, sa belle chevelure devint des serpents hideux et son

parle elle parle, quels sont les personnages, les situations. Quelle problématique, question, évoque notre photo. Quelle émotion on éprouve lorsque on regarde cette photo, qu'est ce qui nous choque, questionne... ?La photo de la planche 15 est une représentation sous forme de dessin de Jonas qui sort de la bouche d’une créature aquatique, en effet sur cette planche le personnage principal est

bourgeois dans ses préoccupations. Elle restera néanmoins un succès. (Complément de wikipédia). Max et les maximonstres Maurice Sendak, Where the wild things are, Harper and Row, 1963 Plusieurs pages d’images à la suite = pause (suspense) Monstres à grosse tête (un peu enfantin tout en faisant peur) Ils sont hybrides. La taille de l’image évolue tout au long de l’album (accroissement de l’action, de l’intensité) Max, délibérément, se retranche de son humanité en se déguisant en loup (tout

l’ensemble de l’activité humaine. Kant pensait que le « je pense »/le cogito, est une condition de possibilité de toute représentation, il n’y a pas une représentation qui ne passe pas par un sujet pensant, cela signifie que je suis conscient de tout ce que je me représente , du début à la fin. Cela veut dire que le « je pense », le sujet, le cogito , n’est pas maitre de toutes ses représentations. Si il y a un inconscient Il y a quelque chose en moi qui échapperait a la conscience. Ça veut dire qu’il y a

Violé. En étudiant tous ces documents nous devons définir quelle est la meilleure représentation. Dans une première partie, nous allons voir comment l’auteur représente et met en scène le viol, ensuite dans une deuxième partie, nous allons voir quelles significations apparaissent dans les affiches et enfin, en troisième partie nous verrons la fidélité au film à travers les différentes affiches. I/ La représentation et la mise en scène du viol. A- Le réalisme adopté par les auteurs. Nous pouvons

romanesque inscrit l'oeuvre dans un contexte. Inciter à la lecture intégrale des oeuvres. Problématique En quoi l'incipit romanesque, lieu de séduction et de choix d'écriture, expose-t-il les grands traits des personnages et construit-il une représentation de l'homme et du monde ? Groupement de textes François RABELAIS, Gargantua, 1534, Chapitre I, « De la généalogie et des anciennes origines de Gargantua » Mme DE LA FAYETTE, La Princesse de Clèves, 1678, incipit « La magnificence