La Responsabilité Des Gouvernants

globales sur les IDE et sur les bénéfices des multinationales. ← Le réformisme : pour une mondialisation plus équitable Les altermondialistes proposent un nouvel ordre commercial mondial, fondé sur une nouvelle approche des droits et responsabilités et une volonté réelle de mettre la mondialisation au service des populations les plus démunies. ← La déglobalisation : le renouveau du « développement autocentré » Proposition un retour au niveau local. Diverses solutions sont proposées

Chapitre 7 La notion de risque et l’évolution de la responsabilité Résumé La responsabilité civile consiste dans l’obligation de réparer le préjudice subi par autrui et dont on doit répondre personnellement. Le risque lui-même a évolué dans la société, tout comme a évolué le fondement de la responsabilité qui le répare. Initialement, il était constitué par la faute de l’auteur du dommage. Aujourd’hui, c’est une approche des situations générant le risque qui permet de mettre en cause la personne

le faite de concevoir un système politique sans représentants serait totalement absurde. Tout d’abord parce que énormément de citoyens, à l’époque, n’avaient pas suffisamment d’instructions ni de temps pour y avoir un intérêt comparable aux responsabilités que les décisions engendrent. E. Sieyès serait donc d’avis à nommer des personnalités plus instruite ayant pour objet de représenter le peuple, c’est l’idée d’un suffrage restreint avec une seule catégorie de personne pouvant votés, et se serait

légitimité du référendum se confronte à deux problèmes : la souveraineté et la démocratie représentative. 1 - Démocratie représentative et démocratie directe - La démocratie représentative est considérée comme une souveraineté nationale où les gouvernants appliquent le pouvoir en fonction de la Nation s’exprimant par un territoire, une population ou une revendication déterminée. - Débat sur la souveraineté permettant le référendum : opposition entre la souveraineté nationale appartenant aux représentants

Et logique propre : compétition qui oppose individu ou groupe d’individus qui rivalisent pour conquête d’un poste ou responsabilités qui permettent de diriger la société. La politique implique l’existence d’une scène où les prétendants peuvent rester en compétition. + distinction dirigeants/dirigés qui est au cœur de la science politique. ⇨ Aussi bien les gouvernants que les gouvernés (et les relations sociales entre ces deux pôles). ⇨ Et l’enjeu de ces relations sociales

Sociéte et vie politique Toute nation, tout Etat ne peut fonctionner sans organisation politique. Parmis les gouvernants l’acteur principal est le président de la république. Les citoyens sont ainsi gouvernés. La politique est une activité et même un art, la vie politique française est aujourd’hui projeté dans un cadre qui dépasse les frontières, elle est influencer par l’UE. Les fonctionnaires, homme politique etc.. prennent de nos jours part au fonctionnement des constitutions européenne. Tout

démocratique moderne. Les citoyens d'une même nation forment une communauté politique. En démocratie, chaque citoyen est détenteur d'une partie de la souveraineté politique ; c'est donc l'ensemble des citoyens qui, par l'élection, choisissent les gouvernants. On distingue 3 étapes de la citoyenneté : • la citoyenneté civile correspondant aux libertés fondamentales (liberté d’expression, égalité devant la justice, droit de propriété) ; • la citoyenneté politique fondée sur la participation politique

appartient à un groupe particulier : la classe politique. Les membres de la classe politique sont les gouvernants. Les destinataires de ce même pouvoir sont les gouvernés. Cette distinction montre que ces groupes se trouvent dans une différence de situation qui est visible à 2 points de vue : - Du point de vue quantitatif : Il y a plus de gouvernés que de gouvernants. - Situation inégalitaire : Les gouvernants imposent leurs décisions aux gouvernés. La relation est inégalitaire car elle se caractérise

grave, puisqu'il consiste à placer en tête-à-tête l’exécutif et le législatif sans solution ni arbitre pour trancher les désaccords susceptibles de s'élever entre eux. Si le régime parlementaire aménage, lui aussi, des contrepoids, le jeu de la responsabilité politique et du droit de dissolution lui permet de se débloquer. Au contraire, le régime présidentiel ne comportant pas ces solutions, on conçoit que le freinage puisse aller jusqu'à ce que le professeur Garner appelle la « prohibition du pouvoir

Gauche​2002- … Droite​ → Il y a eu au sein de la droite française, et par-delà au sein de la sphère politique une longue phase de domination du pouvoir par famille gaulliste et ses alliés. Comme on le constate, il y a alternance au sein des majorités gouvernante : Robert Badinter parlait de la « Loi de l’insomnie » pour parler de ce phénomène. La majorité au pouvoir « s’endort », laisse les opposants s’installer, et se réveille pour reprendre à son tour le pouvoir. Il n’existe pas une Ve rep de gauche