La Rivalité La Méfiance Hobbes

formulées par Aristote, dont l'adage « L'homme est un animal politique » (c'est-à-dire destiné à vivre dans la cité) exerça une influence décisive sur la postérité, ainsi que par d'autres philosophes, comme l'Italien Machiavel ou l'Anglais Thomas Hobbes (« l'homme est un loup pour l'homme »), qui ont alimenté la psychologie sociale contemporaine. La psychologie sociale contemporaine est née avec le philosophe américain George Herbert Mead (1863-1931). Celui-ci considérait que notre conscience

locales s’organisent. Les premières à se structurer sont des églises orientales à Antioche, à Damas, à Césarée, puis elles gagnent l’Occident à Corinthe, à Smyrne puis finalement à Rome. Leurs institutions se dessinent et vont commencer à attirer la méfiance puis la haine des populations romaines. I – L’implantation du christianisme en Gaule Lorsqu’il apparaît en Gaule, le Christianisme se dote de règles de fonctionnement, il définit en son sein une hiérarchie des responsabilités. Cette structure

regain d’intérêt ou d’importance doit donc peut-être être accordé aux contraintes géographiques. §2 Le courant réaliste et néo-réaliste Il plonge ses racines dans les analyses classiques de Thucydide, Machiavel ou, encore plus près de nous : Hobbes et Clausewitz. Le point commun à ses auteurs est que les relations entre entités politiques distinctes (souveraines) sont dominées par le jeu de la puissance : chacun tend à faire prévaloir ses intérêts au moyen de sa puissance, en recourant soit

plaisir général. Mais comment réaliser le bonheur de tous, ou du plus grand nombre, sans faire de peine à personne? A la même époque, le contractualisme apporte une justification très convaincante au devoir d'obéissance à l'égard du Droit. Thomas Hobbes au 17° siècle, Jean Jacques Rousseau au 18° postulent que les individus, indépendants et égaux à l'état de nature, y ont volontairement renoncé pour établir par un "contrat" une autorité politique et des obligations communes. Le devoir d'obéissance

dangereux, comme des êtres capables de tuer, de torturer. Il y a une grande méfiance. Ce n’est plus la vision de l’état protecteur, porte parole du peuple souverain, comme le dit l’idée héritée de la Révolution française. On a peur du nationalisme. La protection nationale comme la protection supra nationale des droits de l’Homme relève de cet héritage. La peur de l’individu, la crainte de l’oppression, ici, comme chez Hobbes, est ce qui fonde cette construction supra nationale. • Il y a aussi

la volonté générale, elle peut tout faire. Donc la loi, si elle veut, peut porter atteinte à la constitution. C est pourquoi n 1789 les révolutionnaires, contrairement aux américains, n ont pas souhaité un contrôle de type juridictionnel. - la méfiance a l’égard des juges, encore aujourd’hui les Français n’aiment pas les juges, ça remonte a l’ancien régime : sous celui-ci les tribunaux de Provence s’appelait des parlements qui avaient énormément de pouvoir. Ils pouvaient refuser d enregistrer une

associées à la révsion. En pratique, il faut remarquer que bie que la constitution presente le referendum comme la voise normal d adoption et de revsion. En pratique la plupart des revisions sont passées par la voie du congrés. Elle s’explique par la méfiance traditionnelle de la voix politique. La contrainte est mentionné dans l’article 89 et interdit a une révision C et de porter atteinte à la forme Rép du gouv. Les circonstances ou il est possible de faire une révision. Il y a 2 limites circonstancielles

 Thomas HOBBES (1651) Léviathan Traité de la matière, de la forme et du pouvoir de la république ecclésiastique et civile Première partie : DE L’HOMME Chapitres I à XVI disponibles. Chapitres XVII à XXIX disponibles. Traduction originale de M. Philippe Folliot, Professeur de philosophie au Lycée Ango, Dieppe, Normandie. 23 novembre 2002. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, bénévole, Professeur de philosophie au Lycée Ango à Dieppe en Normandie Courriel: folliot

démocratie/démagogie vient de Pindare. On la retrouve chez Hérodote avec son Débat des constitutions, et elle fonde toutes les divisions ultérieures des typologies politiques de Platon, Aristote. Elle influence par la suite Marsile de Padoue, Machiavel, Bodin, Hobbes, Locke, Rousseau, Bentham, Kelsen, Dahl… Les noms pourraient être multipliés à l’envie. La Grèce, en effet, a expérimenté presque toutes les formes politiques de la démocratie démagogique d’après Périclès à l’encasernement spartiate. Pour Aristote

vote de cœur, de sang et de raison" » dans politique africaine N°69 5 « La question nationale, l'ethnicité et l'Etat en Afrique : le cas du Cameroun », dans l'ouvrage collectif du CIREPE publié par UNESCO/ENA en 1997 intitulé démocratisation et rivalités ethniques au Cameroun 6 « Clientélisme et ethnicité dans le jeu politique : Réflexions sur quelques mouvements thuriféraires au Cameroun », Most ethno-net Africa, publication UNESCO/ENA, 2001et aussi, « Le don dans le jeu électoral au Cameroun »