La Science Doit Elle Conduire Au Bonheur

aboutit à des inventions indépendamment des progrès scientifiques : pour être transmissible il lui faut être fondé sur des savoirs, des règles, des principes et non sur un talent (qualité individuelle difficilement transmissible). La technique et la science ont un rapport étroit, elles se nourrissent l’une l’autre, en particulier à partir de la révolution scientifique du 17ème siècle. Les procédés techniques ne sont pas nécessairement matériels : outils et outils à faire des outils, ils sont aussi de

que les messagers de Dieu transmettent à l'homme pour le guider sur terre. Le crédit accordé à ces croyances, l'accomplissement de ces prescriptions font accéder l'homme au bonheur ici-bas et à la félicité dans l'au-delà. Autrement dit, la piété et la fidélité aux instructions de Dieu et du Prophète conditionnent notre bonheur en ce monde éphémère et notre béatitude dans l'autre monde, univers éternel et de l'infini. On sait ce qui particularise le bienheureux: il est celui qui vise un but juste,

extérieur, et la fois sur soi-même. Ainsi, on est plus libre de ses choix, puisque nous pouvons nous contrôler, ce qui constitue une certaine liberté d'exister et une autonomie de penser. La conscience est destinée prendre conscience d'elle-même, le bonheur n'étant possible que si l'on en prend conscience. Autrement dit, la liberté est inhérente la conscience. Mais poser la conscience au fondement de la connaissance, c'est affirmer la transparence de l'individu lui-même, or, cela est contesté. La

essentiellement la quête du bonheur, à laquelle on peut accéder en valorisant des qualités morales telles que l’amitié et l’entraide. Fondé sur la frugalité, le désintérêt du politique, l’égalité, le système philosophique épicurien proclame enfin le droit de philosopher, accordé à tout un chacun. L’épicurisme est né dans une période de troubles politiques où le projet philosophique est avant tout de construire une sagesse morale pour parvenir au bonheur. Mais qu’est-ce que le bonheur ? Peut-on l’atteindre 

juin 2014, série L Les œuvres d’art éduquent-elles notre perception ? „Comprendre le sujet Ce sujet porte sur l’influence des œuvres d’art sur notre perception : ont-elles pour effet de l’éduquer, c’est-à-dire de la former, de l’améliorer, de la conduire et de l’élever vers son plein épanouissement ? Nous reconnaissons aux œuvres d’art le pouvoir de frapper notre perception en lui donnant à voir une beauté ou des nuances que nous ne savons ordinairement pas percevoir. En captant notre sensibilité

pour faire du profit. Ils s’en servent dans leur communication. On gagne en réputation.) On parle d’éthique instrumentalisé, le but est de maximiser le profit. Est-ce alors un comportement éthique ? * Qu’est-ce que l’éthique ? Ce n’est pas une science. C’est une des quatre branches de la philosophie (avec la métaphysique, la logique et l’épistémologie). L’éthique n’apporte pas de réponse, elle soulève des interrogations, poser plus de question qu’elle n’apporte de solutions. En revanche, elle

gardien, les feintes de regards ou de corps, les courses et appels des partenaires… Il y a toute une science là-dessus, et l’apprendre est un grand plaisir. Foncer comme une « brute» est un plaisir primitif, et donc quelque part un anti-plaisir. C’est pour ça que plus on est un virtuose, plus on éprouve de plaisir. « L’AMATEUR EST BEAUCOUP PLUS LIBRE. IL PEUT ÉPROUVER DU PLAISIR, MAIS AUSSI DU BONHEUR. » Peut-on quand même prendre du plaisir dans un sport sans le maîtriser? Oui, mais là il s’agit

moderne « c’est la raison qui anime désormais la science et ses applications»[footnoteRef:1]. Cette affirmation d’Alain Touraine, montre clairement qu’à l’époque moderne, la raison s’identifie à la science. Car, si la raison est définir comme savoir, il faut reconnaître que ce savoir lorsqu’il est encadré par la rationalité dévient la caractéristique de la science. Ainsi, elle poursuit le même but que la science, à savoir la recherche de l’efficacité qui est l’attribut de

plusieurs domaines : l’appartenance à une culture qui n’est dans ce sens pas opposée à l’ignorance car cette appartenance est effective pour chaque Homme, le domaine théorique, & la pratique. Nous pouvons ainsi nous demander si la culture, le savoir doit être une priorité, & en particulier une priorité morale afin d’échapper à un état lacunaire, d’ignorance. Autrement dit, nous devons nous demander si l’ignorance est un mal, nous pencher sur son caractère immoral ou bien qui s’apparente au mal au sens

Weber est également un analyste de la modernité. A son époque, il constatait la tendance croissante à la rationalisation qui est une caractéristique du développement de la civilisation occidentale. Il considère que la sociologie devrait être une science compréhensive et empirique dans la mesure où le monde est constitué par  « l’agrégation des actions produites par l’ensemble des agents qui le composent ». Pour Weber, une analyse du social renvoie aux actions et intentions qui font l’action.